Prénom(s) : Alvaro, Leo
Nom :Martin
Surnom :Le concept de surnoms lui est totalement inconnu ...
Date de Naissance et âge : Il est né le 25 mars, 2174, il a 26 ans
Groupe : La talpa di fuoco
Nationalité : On le dit Cubain ...
Manie, habitude, tic : Non fumeur, il ne boit pas ou très peu, et n'a jamais touché a la drogue. Il joue avec ses couteaux et ses autres armes et ne peut s'empêcher de les passer lentement sur sa bouche ...



Alvaro n'est pas ce que les jeunes filles apellent un beau gosse. Ou du moins il l'était. Aujourd'hui, il reste banal. Air reveur, bouche en coin, mains dans les poches : comme tant d'autres garçons de son âge ... et c'est ce qu'il faut pour servir la Mafia, et c'est ce que les employeurs du jeune homme attendent de lui : se fondre dans la foule, ne pas se faire remarquer, et mener les missions a bien, sans encombres. Ses tenues bariolées, vestiges de ses années aux Caraïbes, ont laissé place à de simple vestes a manches longues et ses shorts hawaïens a des jeans larges bon marché. Niveaux accessoires, le garçon n'est pas excentrique non plus ; quelques colliers, un bracelet de coquillages, mais c'est tout, pas de boucles d'oreilles ou autres fantaisies
Des cheveux roux, courts et hérissés, quelques mèches sur le front, une dégaine "je m'en foutiste", Alvaro paraît jeune. On ne lui donnerait pas ses 26 ans : un visage enfantin, un ovale marqué au tein pâle, contrastant avec ses cheveux flamboyants et lui donnant un air fantomatique. De grands yeux noisettes fixant le vague, et un nez intact de petit garçon. Ou du moins en apparence. Car dans sa tête, Alvaro est loind d'être un enfant : la cicatrice sur le bas de sa joue, souvenir d'une bagarre au couteau, qui vient bousculer le tableau angélique composé par ses traits parfaits, en est la preuve. Car le jeune homme, malgrès ses apparences frêles et fragiles, sait se battre. Son corps fin de 55 kilos a peine, cache des muscles puissants, qui ont fait le malheur de plusieurs ennemis, tous contents de n'avoir qu'a frapper un gosse. Leurs désillusion furent brèves et nettes, et Alvaro les laissait là, gisant sur le bitume. Petit, agile et rapide, il fit le bonheur de plusieurs dealers cubain, ravis de voir un gamin aux airs innocents se débrouiller aussi bien. Car personne, en voyant Alvaro, ne pourrait deviner qu'il travaille pour la Mafia. Mais il suffirait de le connaître, même un tout petit peu, et surtout le regarder attentivement, pour remarquer la crosse d'un flingue camouflée dans ses grandes poches, ou le manche d'un couteau depassant de sa sacoche. Dans son Cuba natal, si on avait remarqué ses armes, personne n'aurait été choqué : un gamin avec un revolver, on en voyait tous les jours, et c'était devenu monnaie courante.
C'est donc habillé simplement, un jean acheté pour rien, et une veste en toile doublée, et d'un air ... simple, qu'Alvaro travaille. Mais malgrès ça, il ne se sent pas bien dans ses habits passes-partout.Il aurait préfèré s'habiller avec originalité, et surtout, s'habiller comme il veut, car les couteaux décorés, les chaussures customisées, il adore ça. Mais une tenue trop voyante, dans son travail, ça gêne. Alors Alvaro se contente de baskets simple, de vestes noires, et de jeans normaux.





Quand il veut, Alvaro peut être très calme, aussi bien qu'il peut s'énerver pour un rien. Et quand il s'énerve, il s'énerve vraiment, et il peut faire mal. Très mal. De la même manière, quand il est calme, il est très calme. Impulsif, alors. Débrouillard aussi. Souvent en galère, il s'en est toujours sorti indemene ou presque. Etonnant, me direz-vous, pour un jeune homme de 26 ans qui a parfois affaire a des hommes de 35 ans en pleine force de l'age. Il ne parle pas beaucoup non plus. Trop parler, ça peut être dangeureux. Et Alvaro, quand il est lancé, il n'arrive plus a s'arrêter. Cela peut-être un avantage, mais ça peut aussi causer quelques soucis. Alors il garde ses distances, et se tait. Il est également têtu. Il n'a pas forcément mauvais carctère, mais c'est un grand, très grand têtu. Il campe sur ses opinions quoi qu'il arrive, et celui qui arrive a le faire parler peut se considérer magicien.
Froid et méthodique, le jeune homme agit toujours de la même manière, que ce soit en baston ou en cours. Distant aussi,car il sait que dans son "métier", on ne s'attache pas trop aux gens, au risque de trop souvent s'enfermer dans le chagrin.
Malgrès ses airs ... enfantins, Alvaro est capable de vous terroriser, de vous traquer, de harceler, et de vous tuer même. Aussi bien qu'il est capable de vous réconforter, de vous mettre en confiance, puis de vous tromper, pour ensuite vous tuer. Un peu ... brutal, pour quelqu'un de 26 ans. Pas pour lui. Lui qui a vécu a Cuba, servi les cartels, vu tant d'hommes morts, pour lui, tuer, ce n'est pas inhumain. Sa philosophie, c'est celle de la jungle, remodelée au gout de la Mafia. "Tuer, ou se faire tuer". La est la question. Et lui, il opte pour la première option, celle du fort. Car etre faible, pour lui c'est mourir. Et à 26 ans, Alvaro se considère encore "trop jeune pour mourrir".
Alvaro était quelqu'un de très gentil dans le temps : attentionné, serviable ... mais sa gentillesse s'est envolée avec le meutre de son père, et sa serviabilité, il la met maintenant au service du Parrain. Pour lui, le Parrain c'est le maître, et on ne contredit pas le maître. Pas ouvertement, du moins. Car Alvaro deteste le Parrain. Il execute mais il le déteste. Alvaro est jaloux. Pas trop, mais assez pour détester le Parrain en tout cas. Etre homme de main ne lui suffit plus. Il veut diriger. Maitriser, donner des ordres, Alvaro rêve de tout ça. Mais il rêve surtout de reconnaissance. A Cuba, on le connaissait comme "Le petit gars", le "passe-partout", l'homme a tout faire. Pas comme un vrai meneur, un bon, un caïd. Et c'est ça qu' il veut. Mais Alvaro est patient. Attendre ce n'est pas un problème. Et pour lui, au vu de son jeune âge, il n'y a d'autres possibilités que celle de devenir le Parrain. Et c'est peut-être ce qu'il est venu chercher a Venise.




Spécialité : Alvaro adore l'aikido et toutes les techniques de clés de bras. L'avantage, selon lui, c'est que ça marche sur tous les types de personnes.
Armes qu'il possède : Alvaro adore, les couteaux. Il aime moins les armes a feu, mais apprécie un pistolet discret, c'est toujours utile
Ses conditions d'entrée dans la Mafia: Alvaro est entré dans la Mafia par hasard : il fut recueilli par le bras droit du Parrain de La Havanne. Il est ensuite venu à Venise pour changer d'air, et par soif de reconnaissance.




Alvaro est né un après-midi de mars, le 25 exactement, dans une maternité ... qui laissait à désirer. Il grandit dans une maison minuscule des quartiers populaires de La Havane. Il ne voyait que très peu son père, occupé dans toute la ville par ses histoires de drogues. La Mafia était partout autour de lui, et ses seules berceuses étaient des cris et des coups de feu pendant la majorité de son enfance. Sa mère était là, dans la maison, mais ne s'occupait pas de lui. Elle n'en avait litteralement rien a faire d'Alvaro. Alvaro. Prénom de son grand-père qu'il ne connaitra jamais, ce nom est chargé de mystère. Quand il sut marcher, le petit garçon sortait dès qu'il le pouvait. Et il n'était pas le seul a fuir des parents alcooliques ou drogués. Il sortait alors de la maison parfumée a l'alcool, pour retrouver une rue qui sentait la poudre, et parfois même le sang.
Et c'est là que se joua l'enfance d'Alvaro. Dans l'immense theatre dramatique de la Havane, ou la majorité des scènes sont des scènes de mort, de drogues et de trafic d'enfant. Le trafic d'enfant, Alvaro y échappait de peu. Tous les gosses de son quartiers connaissaient ses hommes qui emmennent parfois un copain dans leur voiture. Et c'est pour ça que dès que le 4x4 noir tournait à l'angle de la rue, Alvaro courait à la maison, et c'est seulement dans ces moments la qu'il était content d'être chez lui. Une maison qui n'était habitée maintenant que par une femme alcoolique, puisqu'il n'y venait que pour dormir, et parfois manger. Et ce fut la même routine pendant plusieurs années. Jusqu'à ce que sa mère s'enfonce totalement dans l'alcool, et ne sortait même plus pour acheter à manger.
Alvaro dut donc commencer a gagner de l'argent par ses propres moyens. Pas avec la Mafia pour le moment. Six ans, c'était quand même un peu jeune. Non, il lavait les pares-brises aux feux rouges des quartiers chics, tondait les pelouses, et parfois faisait la manche. Il achetait des conserves, et se les faisait réchauffer le soir, mais pratiquement jamais le midi. Et c'est le jour de ses 7 ans qu'Alvaro rencontra son père pour la première fois.
Occupé a faire réchauffer des pancakes caoutchouteux, les seul gateaux qu'il pouvait s'offrir, il entendit toquer a la porte. Il fut supris et intrigué, car personne ne venait jamais rendre visite aux Martin depuis bien longtemps. Et quand il alla ouvrir, il vit sur le pas de la porte un homme aux cheveux bruns-roux et au teint pâle d'environ 35 ans, gémir :

"Alvaro ..."

Et l'homme lui tomba dans les bras. C'est alors qu'il remarqua le couteau enfoncé jusqu'a la garde dans le dos du visiteur. Alvaro le soutint quelques instants, puis le traina juqua la cuisine et le posa sur la table, en appellant sa mère. Et la femme, quand elle vit son mari mort sur la table de sa cuisine, fondit en larmes. L'homme qu'elle aimait, mais qu'elle ne voyait jamais, était maintenant allongé là, sur la table de sa cuisine, mort ...

"Antonio, Antonio ..."

Elle pleura longtemps le père de son fils, qu'elle aurait aimé voir plus souvent. Et Alvaro aussi s'enfonça dans le désarroi et la tristesse.
Dans le quartier, tout le monde fut surpris de voir le gentil Alvaro, celui qui gardait votre chien, arrosait votre jardin ou repeignait votre maison devenir agressif, et bagarreur. Le garçon de 7 ans, qui avait perdu son père le jour de son anniversaire, ne resta pas longtemps dans me quartier : après des années de résistance, il fut emporté par le trafic d'enfant. Refilé a un couple qui s'aperçut vite qu'il n'avait aucune envie d'acceuillir Alvaro sous leur toit, le garçon s'enfuit, pour retourner dans son quartier. Mais plus personne ne voulait le faire travailler: maintenat, on avait peur de lui. Alvaro ne gagnait plus de quoi manger, et n'osait plus rentrer chez lui, de peur de voir le cadavre de son père. Il partit donc, et essaya de se débrouiller. Après un mois de galère, Alvaro fut receuilli par Alejandra Lopez, célèbre bras droit du parrain de La Havane, emerveillé devant les aptitudes de ce garçon pour la débrouille, mais surtout pour la bagarre. Car dans la rue, à 7 ans, il se battait souvent pour un morceau de pain ... Alejandro le présenta donc à son chef, qui lui aussi fut emerveillé devant les capacités d'Alvaro, et ravi d'avoir un enfant serviable a portée de main à qui on faisait tout faire, des livraisons au ménage.
Mais Alvaro n'executait que par peur de se voir mis a la porte par Alejandro. Il travailla donc longtemps sous les ordres du Parrain, livrant tout et n'importe quoi aux quatres coins de la ville.
Après 6 ans de travail, Alvaro était endurci et avait grandi, et le ménage ne figurait plus sur la liste de ce qu'il devait faire. Et quand par hasard il tomba sur l'assassin de son père, il tua, pour la première fois, à 13 ans. Cet assassinat lui permit de monter de grade dans la Mafia, et on lui confia des missions plus importantes. Puis jusqu'à ses 19 ans, il travailla sans relache pour monter à nouveau dans la hiérarchie. En vain. Tous ses efforts ne menaient a rien, et on ne prenait pas au sérieux ce jeune homme, qui pourtant le méritait surement plus que tous les autres, tant par sa serviabilité et son dévouement, que par sa maitrise des armes et ses capacités a se battre.
Il quitta alors Alejandro, la Mafia cubaine et La Havane, tout ce qu'il avait connu, pour s'exiler en Italie. Il passa 7 ans, a travailler, a essayer d'oublier les crimes qu'il avait commis, les horreurs qu'il avait vu. LE pays lui plaisait. Mais quand il arriva à Venise, la tentation fut trop forte : il renoua avec la Mafia et recommenca son boulot d'avant ...



Age, sexe : 15 ans, Masculin
Avatar de votre personnage : je l'ai trouvé sur "someavatars"
Comment avez-vous connu le forum ? Google =)
Qu'aimez-vous/Détestez-vous dedans ? J'aime bien. Sauf ... je sais pas. J'aime tout
Autres ? Bah ... non

Bienvenue sur Infam Industry ! =)

Alors par contre avant de commencer la lecture de ta fiche je te demanderai d'aller relire le règlement, merci.

Desolé pour la taille de l'avatar ... mais ça ne marche toujours pas, j'ai redimensionné avec Photoshop, mais ce n'est pas la bonne taille ... help !

Pour l'avatar il faut que tu places le lien de l'image dans la dernière case, si tu n'y arrives toujours pas, passe moi le lien de l'image et je te le mettrai.

Mais par contre ce n'est pas pour ça que je te demandais d'aller relire le règlement. Donc peux tu aller le relire attentivement s'il te plait ?

Mon personnage est trop jeune ... Bon je le change alors

Bonjour,

Non, ce n'est pas ça. Si tu avais lu le règlement, tu aurais vu que non, il n'était pas trop jeune.
Donc, une dernière fois, lis-le en entier, sans sauter de passages, et revient après ça. ^3^