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 Lilly Romano.

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Lilly Romano. Vide
MessageSujet: Lilly Romano.   Lilly Romano. Icon_minitime1Lun 28 Juin - 9:31

Identity


    Lilly Romano. Splatter
      Prénom(s) : Lilly.
      Nom : Romano.
      Surnom : La menteuse.
      Date de Naissance et âge : Lilly est née le quatorze février 2188. Elle a douze ans.
      Nationalité : Italienne.
      Groupe : Civile speranza.
      Manie, habitude, tic : Lilly danse pour se donner du courage et s'ébouriffe les cheveux quand elle est inquiète ou qu'elle ne comprend pas.
      Profession : "Observatrice". D'un point de vue extérieur, elle est l'associée d'un informateur.


And me? And me?


    Ce qu'il pense (précisément) de la Mafia
    : Lilly s'en moque ; dans son monde rose, il n'y a que Hibou et elle. Protégée, elle ne connaît la Mafia que de nom et ne cherche pas à en savoir plus à son sujet. Bien souvent, elle entend les gens s'en plaindre, la maudire. Alors, malgré son détachement vis-à-vis de cette organisation, elle s'en est fait une idée grossière : la Mafia, c'est mal et ça rend les autres tristes.
    A t-il déjà eu affaire à la Mafia : Lilly a bien parlé quelque fois avec des mafieux mais jamais elle s'en est rendue compte. Ses parents sont étroitement liés à la Mafia, cependant ils se sont toujours arrangés pour que leur progéniture ne sache quel métier ils font et n'apprenne cette relation.


Tell me who you are...


« Pauvre pantin, pauvre humain, il y avait au-dehors quelqu’un dont le but était d’éliminer le misérable fou que je suis de ce monde perverti. Aussi, marionnettes meurtrières, de doux assassins n’attendaient qu’un geste de ma part pour planter en mon cœur un poignard aiguisé, déchirant ma peau pour atteindre cet organe vital sans lequel nous ne pourrions vivre. Longtemps, j’ai fui la colère de cet homme rongé par sa haine à travers différents pays ; longtemps, je me suis caché de ses foudres, mentant, échappant à son emprise ; longtemps, j’ai voyagé. Mais toujours, inlassablement, ses hommes armés me retrouvaient, où que je sois, quoi que je fasse. Alors, je me suis réfugié ici, à Venise. Ô douce Venise. Il n’y a meilleure cachette que celle-ci. Le Parrain exerce sur cette ville un pouvoir que je lui envie et la Mort, tendre poison aux baisers mortels, se promène en ses rues ensanglantées. Tant de raisons à cause desquelles Venise est devenue un repère pour ceux qui vivent grâce aux décès d’autres. Tant de raisons grâce à lesquelles ce peureux qui me courrait après, animé par le rêve de me voir me tordre de douleur, agonisant, n’aurait jamais osé poser un pied en son sein. Ainsi, je me suis installé dans un appartement inoccupé. Quelques semaines après mon emménagement, mon tortionnaire mourut, déléguant à ses enfants ses multiples dettes dues à sa folie de me rechercher. Je m’en réjouis ; je pouvais enfin me consacrer à mes recherches, à la finition de mes nombreuses inventions. Je m’enfermai alors dans mon appartement, payant la voisine pour qu’elle fasse mes courses, n’ayant le temps d’accomplir cette tâche. Le monde, ses paysages et ses horreurs, je m’en moquais. Ma vie était rythmée par mes découvertes, l’amélioration de mes machines, des calculs longs et complexes qui me distrayaient.

Seulement, il vint un jour où mes économies ne suffirent plus. Je survis grâce aux informations que je collecte et que je vends aux plus offrants ; mais si je n’ai pas d’informations, il ne me reste plus qu’à me manger la main droite et garder l’autre pour demain. Aussi je me devais de remédier à la situation le plus rapidement possible. Il me fallait des yeux, un jouet que je puisse manipuler pour préméditer les complots et les trahisons, pour subvenir aux demandes de mes employeurs avec qui je discutais via Internet. Oui, il me fallait un regard. J’étudiais mon entourage attentivement, pour dénicher ce quelqu’un dont j’avais immédiatement besoin. Je le trouvais dans la personne de Lilly ; cette gamine insouciante, rêveuse et vantarde, se proclamant justicière, était parfaite. Son caractère menteur, sa liberté de mouvement et son statut d’enfant suffirent à me convaincre que j’avais dégoté la perle rare, celle que je convoitais depuis quatre jours alors. Intriguée, la petite vint à moi d’elle-même, affirmant que la raison de son existence était de rendre ma vie plus joyeuse. Qu’importait son excuse pour pénétrer dans mon humble demeure. Qu’importait son prétexte pour apercevoir le monstre que j’étais, celui que ses parents abhorraient. Qu’importait sa folle curiosité à mon égard. »

« Et avez-vous réussi à faire de cette fillette votre regard ? »
« Comment croyez-vous que je fus au courant des nombreuses infidélités de votre femme, pauvre ermite que je suis ? »
« …Vous êtes fou, Hibou. »

Tu contemples quelques instants l’affirmation de ton interlocuteur, dont le pseudonyme t’arrache un sourire tant il est ridicule. Tu te demandes comment un si arrogant personnage, un si dérisoire être, peut-il oser porter un jugement sur autrui puis tu soupires. Oui, oui ! Sous-estime moi. Je ne suis qu’un fou, un pauvre fou. Un simple informateur inintéressant, qui retourne sa veste quand cela lui chante et vit enfermé dans son appartement exigu. Ne suis-je pas pitoyable ? Ne me trouves-tu pas misérable ? Sous-estime moi. Oui, sous-estime moi. Que je puisse te mener à ta perte sans que tu t’en rendes compte. Naît dans ta gorge un rire, qui t’échappe soudain et s’enfuit. Ta fierté te tuera, cher, très cher, patron. Et je serais là pour te regarder sombrer, toi qui te crois invincible, intouchable. D’ailleurs crois-tu que je t’avouerai tout ceci sans savoir ta fin proche ?

« Ceci dit, méfiez-vous des traîtres et des sourires hypocrites. Prudence est mère de sûreté. »
« Inquiétez-vous plutôt pour vous. Je suis bien entouré. »

Trop bien entouré. Des menteurs. Que des menteurs. Vos alliés sont des ennemis, des espions qui étudient votre comportement, vos tactiques et vos prochains mouvements. Néanmoins, je ne vous le dirai pas ; je n’ai pas été payé pour.

« Oui. Bien entouré. »

Et tu ris. Encore et encore. Sans t’arrêter. Pauvre humain sans cervelle.

_____________

Papa hurle. Hibou se tait. Et moi je pleure.

Encore et encore. Car je refuse. Je ne veux pas. Non, je ne veux pas. Personne n’a le droit de m’enlever Hibou. Personne ! Il est mon premier précieux ami. Il est bien plus important à mes yeux que les mots mielleux et les attentions hypocrites de maman, bien plus important que tous mes biens, bien plus important que les autres ! Il ne peut pas partir ! Je lui interdis de partir ! Je veux qu’il reste. Je veux continuer à venir accrocher mes dessins sur ses murs, à boire ses bouteilles de limonades, à manger ses bonbons. Je veux le savoir là, dans l’appartement d’en face, lorsque je m’endors le soir et deviner sa silhouette penchée sur son bureau lorsque je me réveille le matin. Je ne veux pas être seule, comme avant. Oui avant je mentais pour que les autres me remarquent. J’espérais, je priais à chaque nouvelle rencontre qu’on daigne s’intéresser à moi, à mon histoire, à mon passé, à ce que je suis. Mais avant les autres me fuyaient. Ils disaient que je n’étais qu’une frimeuse. Que je ne savais que me vanter. Moi, je voulais juste qu’ils me voient ! Qu’ils sachent que j’existe ! Je voulais hurler que je suis là, juste ici. Avant, les autres ne me proposaient jamais de jouer avec moi. Ils disaient que je trichais. Ils disaient que j’étais une incapable. Et moi, je me taisais. Et moi, je leur donnai raison. Et moi, alors, je m’asseyais dans un coin, seule, triste, et je les regardais rire. Ensemble. Je les enviais, les maudissais. Les jalousais. Moi aussi, moi aussi, je veux rire avec vous, avais-je envie de dire. Moi aussi, moi aussi, laissez-moi être avec vous. Je me ferais petite, ne bougeras pas, vous observerais simplement. Alors moi aussi, laissez-moi rire avec vous. Seulement, je restais muette. Mes mots refusaient de sortir et je m’enfermai dans mon silence. Mais Hibou est différent. Hibou a besoin de moi. Hibou m’a cherchée et m’a trouvée. Oui, c’était moi dont il avait besoin et de personne d’autre. Je ne veux pas qu’on me l’enlève. Je serai sage, alors, s’il vous plaît, permettez-moi de rester à ses côtés. Hibou est gentil, il ne me fera de mal, contrairement à ce que crie papa. Non, Hibou est discret et maladroit, mais attentionné. Quand je m’inquiétais pour le chat maigre de la voisine, il me rassurait. Quand je me trompais, il me pardonnait. Quand je me perdais, il me guidait. Il était là, toujours là. Avec sa politesse exagérée, ses sourires moqueurs et ses cheveux éternellement ébouriffés.

Papa hurle. Hibou se tait. Et moi je pleure.

Je ne connais pas le vrai prénom de Hibou et ne sait rien de ce qu’il a vécu, mais je m’en moque éperdument. Des informations tels qu’un âge ou un nom ne sont rien, absolument rien. Je n’en ai pas eu besoin pour me décréter sa nouvelle meilleure amie et m’immiscer dans son quotidien. Je n’en ai pas eu besoin lui adresser la première fois la parole et rire avec lui. Je n’en ai pas eu besoin. Oui, je me moque de son identité ou de sa soi-disant folie. Hibou est mon meilleur ami, le seul à qui je tienne vraiment. Mes parents ne comprennent pas pourquoi je mens tout le temps, pourquoi je souris, pourquoi je verse des larmes. Ils se contentent de compatir, sans chercher à me connaître. Ils ont tracé ma vie, sans rien me dire, ont décidé de mon avenir, sans m’avertir. Mes opinions, mes sentiments, mes émotions ne représentent à leurs yeux que des gênes. D’ailleurs, ils préfèrent leur travail, que je devine illégal, à moi. Alors je fuis la réalité dans des histoires dont je suis la protagoniste, fière et forte. Je cesse de sangloter, car je suis la justicière Lilly et qu’une justicière ne pleure pas. Je cesse de me plaindre, car ma priorité est la souffrance des autres et non la mienne. Et j’avance. Qu’importe la douleur, qu’importent les épreuves. Je croyais que je parviendrais à tout, en ignorant mes propres blessures. Mais je ne peux pas vivre ainsi. Je ne peux pas. Alors, un jour, j’ai parlé, me suis confiée, ai tout dit de ce que je ressentais et me sentis plus libre que jamais. Avouer à Hibou ce que je pensais m’a libérée. Lui ne m’a rien dévoilé de son enfance, ni de sa famille. Il s’est contenté de m’écouter. Il m’a écoutée, moi, que personne ne voulait entendre. La menteuse de service, celle qui s’invente mille histoires, qui se vante d’exploits imaginaires, danse étrangement pour se donner du courage et ne peut même pas aborder un passant pour demander l’heure. Moi. J’étais heureuse. J’étais vraiment heureuse.

Papa se tait. Hibou se tait. Et moi je hurle.

Mon refus. Non, il ne peut pas partir. Il ne peut pas ! Je hurle jusqu’à ce que je ne puisse plus, quitte à souffrir. Car je sais que je souffrirais bien plus s’il partait. Alors je hurle. Mes convictions, mes croyances. Je hurle que je ne veux pas, que ni papa ni maman ne pourront jamais nous séparer. Je hurle qu’on sera toujours ensemble et que je moque du fait qu’il soit une soi-disant erreur humaine. Car je l’aime moi, cette erreur humaine. Car je me suis attachée moi, à cet être qui ne devrait pas exister, selon les propos paternels. Car cet homme que tous insultent, je le considère comme un confident, un ami, un père et une mère. Il est mon monde, mon entourage. Celui que j’espère immortel tant sa perte me serait douloureuse. Hibou, c’est mon journal intime. Hibou, c’est celui qui me console. Hibou, c’est celui qui me rassure. Hibou, c’est celui avec lequel je joue.

Papa se tait. Hibou me serre dans ses bras. Et moi je souris.

Mes fins doigts s’accrochent à sa chemise. Hibou ne partira pas. Hibou restera toujours avec moi. Demain et après-demain. Et lorsque je m’endormirai ce soir, je saurai qu’il sera là, à quelques mètres de moi, dans l’appartement d’en face.

_____________

Tu tournes sur toi-même, exécute quelques pas sur le côté, te penche en avant gracieusement puis souris. Tu oublies ce parc aux teintes sombres et déprimantes, ce ciel gris aux lourds nuages cendres, cet homme à qui tu voulais pourtant demander ton chemin, pauvre enfant perdue dans un Enfer dénué de couleur. Tu continues de danser cette chorégraphie que tu as tant répétée, pour te donner la force de t’adresser à cet inconnu. Et tu virevoltes malgré cette fine pluie qui s’abat sur tes épaules et les regards intrigués qui se posent sur ta silhouette jaune. Puis tu te souviens, tu cesses tout mouvement, plonge tes yeux bleus dans ceux de celui qui te fait face et bafouille quelques mots, à peine audibles. Tu te sais incompréhensible, alors tu essayes encore, persévères et enfin arrive à te faire entendre. Mais lui-même ne sait guère où il est ; il erre sans but, comme une âme en peine, recherche le repos éternel, presse la mort. Il chancelle, titube, s’éloigne et tu ne perçois en ce dos qui t’abandonne plus une once de vie. Tu souhaites pleurer à sa place cependant tu te contentes de trottiner vers un autre car tu as promis à Hibou de ne verser aucune larme, ne serait-ce qu’aujourd’hui. Tu te diriges vers une femme qui, cigarette à la main, te tourne le dos. Tu hésites, recules, ouvres la bouche, la referme. Quand donc cesseras-tu d’être si timide ? Tu interpelles la demoiselle avec courage. Mais dès que ses yeux rencontrent les tiens, tu baisses la tête et tripotes une mèche de tes longs cheveux blonds. Cependant, ce n’est pas le moment d’être apeurée ou gênée. Alors tu lui demandes ton chemin. Elle te répond en grommelant et tu fronces les sourcils, décryptant ses paroles. Renseignée, tu t’apprêtes à partir lorsque sa main se pose sur ton épaule. Tu te retournes, la fixe innocemment et ton frêle corps d’enfant apaise ses soupçons. Oui, tu n’es qu’une fillette un peu pâle, souriante et joyeuse, vêtue d’habits ordinaires, aux formes peu prononcées et au corps commun. Qu’une gamine qui passait par là, habillée d’un ciré jaune. Qu’une enfant comme tant d’autre, de petite taille, dont les bras sont ornés de quelques égratignures, dues à ta maladresse. N’est-ce pas ? Qui pourrait douter de la candeur de tes traits ? Qui pourrait douter de toi, si banale ? Tu aimes le chocolat, le rose – bien que tu préfères le vert – et les jouets ; tu t’habilles de robes, de pantalons, de hauts simples et discrets ; et tu adores les trèfles à quatre feuilles. Les passants, ni même cette femme, ne se doutent du danger que tu représentes, sans en être consciente ; tu racontes tout ce que tu vois, dis tout ce que tu sais à Hibou. Mais Hibou, ton tendre Hibou, ton précieux Hibou, n’est qu’un marionnettiste qui utilise les informations que tu lui délivres à son propre profit. Oui, Lilly tu es sa marionnette. Une poupée fragile que ses sourires ont su charmer. Une poupée insignifiante face à sa grandeur mais qui lui est essentielle pour s’élever. Une simple poupée. Tu ne devines guère la haine que son cœur porte à ton égard ni même la pitié qui emplit son regard lorsqu’il se pose sur toi ; tu imagines entre vous une amitié forte, un lien indestructible et dans ses yeux tu perçois de la bienveillance. Pauvre idiote. Dire que tu crois si fermement à sa gentillesse, à son amour, au fait stupide qu’enfin quelqu’un t’apprécie. Oh, Lilly… Tu n’as pas conscience du rôle que tu joues, ni de la fausseté de ses bontés. Tu te méprends. Tu n’es qu’une poupée, Lilly. Qu’une poupée. Hibou se moque de tes sentiments et te ment. S’il ne daigne sortir de son appartement, c’est uniquement pour minimiser les risques de se perdre une balle dans la tête au détour d’une ruelle et ne pas être démasqué par un autre informateur. Lilly, Lilly, si tu savais… Lilly, Lilly, si tu apprenais la vérité… Lilly, Lilly… sûrement ton cœur se briserait.


And... you?


    Lilly Romano. Splatter
      Votre pseudo : Appelez-moi Lilly, tout simplement.
      Age, sexe : Quelque chose. Féminin.
      Avatar de votre personnage : Tsumugi Kotobuki de K-On.
      Comment avez-vous connu le forum ? Partenariat.
      Qu'aimez-vous/Détestez-vous dedans ? J'aime tout. Je ne déteste rien.
      Autres ? Plop. Je crois.
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Dimitri A. Visconti

Dimitri A. Visconti

[ TUEUR A GAGES ]
{ ~The next Einstein ~ }


Messages : 380
Date d'inscription : 12/04/2010
Age : 30
Localisation : En train d'astiquer mes bébés ♥
Faite-vous partie d'un sous-groupe ? : Aucun


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Lilly Romano. Vide
MessageSujet: Re: Lilly Romano.   Lilly Romano. Icon_minitime1Mar 29 Juin - 5:04

... Ta fiche est superbe. Vraiment VRAIMENT superbe. Ton style, ta façon d'écrire, de décrire les sentiments, d'exprimer ce qu'elle ressent.. je défaille quoi. Et sa relation vis à vis de Hibou, c'est si fort, mais c'est triste, de la voir autant manipulée, enfin, je trouve.
Ton personnage est un ange /o

Je n'ai qu'un seul mot : Fait nous encore rêver.

Validée
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Lilly Romano.

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