Qui suis-je ? En voilà une drôle de question.
 | Prénom(s) : Remna Louise Lily
Mon père voulait m'appeler Romarine, ma mère voulait m'appeler Emma. Ma grand-mère à trancher, je suis devenue Remna.
Nom : Solis
Surnom : Ren. Bien qu'elle préfère Remna.
Date de Naissance et âge : 19 ans. Mais elle s'approche à grands pas de la vingtaine. Et elle est née le 1er Mai 2171.
Groupe : La taupe de feu.
Nationalité : Franco-Américaine.
Manie, habitude, tic : Remna se verni les ongles lorsqu'elle est anxieuse. Elle transporte d'ailleurs avec elle un petit flacon de verni couleur poupre dans son sac. Ensuite, elle a plusieurs tics verbaux ; ayant vécu en Amérique un bon bout de temps, elle a tendance à sortir des "whatever" ou des "don't mind" dans ses phrases. Sinon elle agite souvent ses cheveux, mais sans plus. |
Tu connais Aphrodite ? Boujour, je me présente, Remna.
Harry, élève au lycée de West Monroe à Beverly Hills avait toujours trouvé sa voisine de table plutôt jolie. Très peu attentif au cours que Mr Chedd était en train d'enseigner, il ne pouvait s'empêcher de dévisager la jeune demoiselle avec des yeux brûlants. Il adulait sa silhouette gracile, ses épaules délicates, cette absence de gras, ces reins cambrés, ces hanches maigres mais harmonieuses et ces longues jambes fuselées. Plusieurs fois on l'avait surpris à roder autour des vestiaires féminins lors des entraînements sportif, plusieurs fois, il avait tenter d'apercevoir par une fissure, le corps galbé de cette fille à moitié nue.Le jeune homme fixa longuement les mains de Remna, les doigts fins de pianiste qui bougeaient avec souplesse, les ongles peints d'une couleur vive, impeccable. Harry repoussa en rougissant les pensées peu catholiques qu'il venait d'avoir et se cacha derrière le voile de ses cheveux blonds. Il y avait cependant cet argument vicieux qui se montrait à ses yeux, Ren était sortie avec nombre d'adolescents du lycée, donc pourquoi pas lui et peut être que... Et son visage était si beau, si lumineux au soleil... Ses traits étaient doux, plutôt pointus, mais ils lui donnaient tout de même cet aspect chérubin si irresistible... Et sa bouche ! Ses lèvres rouges, pulpeuses, ses dents blanches et brillantes...Lorsqu'elle souriait, on aurait cru atteindre le paradis... Tout donnait follement envie de l'embrasser ! Remna avait de longs cheveux soyeux et ondulés. D'une belle couleur blonde, dorée, aux reflets miels, caramels. Ils étaient si longs qu'ils lui descendaient sous les fesses ! Elle avait une épaisse frange qui formait une boucle tournée vers la droite, une espèce de pseudo mèche frôlant son nez en trompette. Cette chevelure l'attirait, lui donnait envie de passer ses doigts dedans, pour en apprécier la douceur. Lorsqu'elle passait, Ren répandait une douce odeur de shampoing, si bien que Harry rêvait d'y mettre son nez afin d'en humer le parfum jusqu'à l'ivresse. Un parfum agréable d'amande et de camomille. Ses yeux, par contre, étaient plutôt banals. Bleu, simplement. Certes, ils étaient en amande, et cela lui donnait des allures félines. Oh ! Et elle avait un grain de beauté, juste sur la paupière droite ! Ca donnait un petit quelque chose à son regard déjà intense... Quelque chose de féminin et de raffiné. Le regard de la jeune blonde était toujours pertiant, vif, pénétrant, on aurait voulu plonger dedans.
Cruelle diablesse ? Moi ?
Les premières années de sa vie, de sa naissance à environ cinq ans, Remna était une gosse insupportable. Elle pleurait pour avoir ce qu'elle voulait, crier sur sa génitrice quand celle-ci ne s'occupait assez d'elle, frappait sa soeur lorsqu'elle était un peu trop longtemps dans les bras de son père, tapait du pieds pour manger des frites. Personne de pouvait calmer cette petite furie, capricieuse et bêcheuse, et pourtant, elle parvenait toujours à avoir ce qu'elle voulait. Au fur et à mesure, Ren comprit qu'en argumentant et en souriant joliment, on pouvait obtenir plus de choses qu'avec des cris. cinq ans et demi, la jeune fille appris l'art de la manipulation et du chantage affectif.
En sixième année, lors de son entrée au collège, les jeunes garçons à peine sortis de leur couche culotte lui firent comprendre qu'ils la trouvaient à leur goût. Ils la sifflaient, lui offraient des services contre des baisers, lui montraient des bagarres prodigieuses pour s'attirer les faveurs de la princesse. Elle, souriait, observant les garçons avec un regard brûlant, elle voulait qu'ils la désire, elle aurait toujours ce qu'elle veut, si elle était jolie. A onze ans, Remna apprit à se servir de sa beauté et de son charme pour avoir se qu'elle voulait.
Pour son quinzième anniversaire, Ren était resplendissante, intelligente et rusée, elle faisait la fierté de ces parents avec se gentillesse, elle se montrait digne de sa petite soeur en lui offrant une enfance fabuleuse, elle faisait son possible pour rendre les gens heureux, mais son bonheur passait avant, bien entendu. Il faisait beau à Venise, lorsque que, seule dans un appartement loué, elle ressenti un choc terrible. Elle ne le savait pas encore, mais elle venait de se découvrit une bonne intuition. Celle là même qui vous cloue au sol lorsque vous êtes quasi sûre qu'une amie, soeur, ou autre membres cher à eu un problème. Deux heures après, on lui annonça la tragique mort de sa famille bien aimée, de sa cadette Chérie Sully, de son père John et de sa mère Sophie. Maligne, mais aussi aveuglée par la vengeance, Remna se rendit sur la scène du crime, cherchant à réunir le plus d'indices possibles concernant ce décès soudain. Ce jour là, la jeune demoiselle choicit sa vocation, et apprit également à se servir d'un revolver.
Aujourd'hui :
Remna est dans La taupe de feu. Et elle s'y plait. Elle retrouve d'autre personne ayant le même but qu'elle, déraciner ce salopart de parrain, et, par la suite, lui faire la peau. Elle reste tout de même assez solitaire, ayant du mal à supporter trop de compagnie. Femme fatale ? Oui, c'est c'est "modus operandi", sa façon de faire. Après tout, elle a toujours vécu de cette manière, et il est tellement aisé de séduire trois ou quatres gros porcs en manque de sexe, puis de les flinguer après. Des regards aguicheurs, sensuels. Des clins d'oeil discrets mais chauds, une dégaine de chatte en chaleur, elle attire les hommes comme du nutella attire une adolescente. Elle sait se qu'elle veut, et elle est d'une vivacité hors du commun. Remna gardera son objectif jusqu'à ce que celui-ci soit atteint, elle sera perseverante, s'usera pour obtenir sa vengeance, en se servant de son calme et de son habilité à manier les armes, elle continuera de se battre jusqu'au bout. Une battante, on vous dit.
Elle est peu être un peu trop fière, peu être même un peu vaniteuse. Mais après tout, la vie lui a retiré ce qu'elle avait de plus chère, une absence de modestie n'est pas à blâmer. Méchante aussi, elle peut le devenir si on l'agace, froide et synique, sarcastique. Garce, quotidiennement, pas question qu'une autre qu'elle chasse le mâle pour parvenir à ses fins, s'il faut toutes les buter, soit. Elle restera la première, un point c'est tout.
On ne refuse pas la mort, surtout si elle vient de ma part ♥
Spécialité : Profitant de sa dite beauté et de son charme légendaire, Remna "appate" ses victimes en rodant autour d'elles telle une féline. Elle s'empare de leur coeur avant de leur prendre leur vie.
Armes qu'elle possède : Remna possède plusieurs armes, toutes particulièrement discrètes. Elle a toujours, dans son sac, un petit écrin de velour rouge contenant un stylo. Stylo, qu'elle utilise comme une sarbacane afin de lancer de plus ou moins loin des fines aiguilles empoisonnées, ensuite, elle dispose d'un revolver silencieux ultra perfectioné, avec visée et infra-rouge, et pour finir, elle a également une petite lame enveloppées dans un tissu rouge pour se défendre en cas de... soucis majeurs.
Ses conditions d'entrée dans la Mafia : *C'est quoi c'te vieille question. Oh. C'est pas un interrogatoire là. Bordel.*
On pourrait se demander comment une charmante créature telle que Remna s'est retrouvée liée à une association telle que La taupe de feu. Et bien, il y a une explication toute simple, logique : l'esprit de vengeance. Lors de son quinzième anniversaire, la douce enfant s'était vu offrir un merveilleux présent, un merveilleux voyage à Venise, ville dans laquelle elle avait toujours révé d'aller. Elle séjournait alors dans un bel hôtel près du centre, ses parents et sa cadette Sully l'accompagnant. Mais voilà, le malheur arrive toujours, et pas forcément aux autres... Remna apprit dans la soirée du 12 mai que sa famille avait été retrouvée morte, égorgée dans un coin près du port, les citadins parlaient beaucoup, on entendit plusieurs fois le mot : Mafia...
Ne serais-tu pas un peu trop curieux ?
BANG BANG, IT'S MY WAY OF LIFE DUMBASS !
Un beau jour de mai de l'année 2171 naquit un bébé fort joli. Ses parents, plus qu'heureux de l'évènement, lui choisirent d'un commun accord un prénom unique et tout nouveau, celui de Remna.
La grossesse avait été superbe, la mère de Remna, Sophie Martin, avait supporter les petits coups de pieds de sa fille, les vomissements et autres nausées avec beaucoup de courage, et de bonheur, elle adorait l'idée de se voir maman, de voir un petit ange blond à la frimousse chérubine et craquante se blottir dans ses bras. Elle idôlatrait le métier de mère, le percevant comme le plus merveilleux au monde, elle se trompait bien, la pauvre, du moins pour les six premières années.
Remna, rebaptisée Ren, avait une enfance tranquille, aisée. Son père John, la gâtait comme si elle était une princesse, la couvrant de robes, dvd, jouets et autre dernières peluches à la mode, la petite fille avait tout ce dont elle rêvait, si bien que lorsqu'on osait lui refusait une chose, elle se mettait dans un état de colère impossible, et ne s'arrêtait que lorsqu'un un des deux parents cédaient.
Plus elle grandissait, plus elle prenait en beauté. Ses boucles se traçaient sur son visage de craie, sa bouche rouge comme les fraises faisaient jalouser plus d'une petite gamine. Elle avait comprit beaucoup de choses, qu'il vallait mieux être gentille pour avoir quelque chose par exemple, qu'un sourire vallait mieux qu'un coup de poing, que sa soeur Suly ne méritait pas de se faire arracher les cheveux le matin car elle n'avait pas donner son croissant.
Remna grandit donc de manière paisible, saine pour une enfant de son âge. Les années passaient doucement, dans la joie et l'harmonie, ses parents s'aimaient, avaient un emploi stable te pas trop prenant, si bien qu'il y avait régulièrement des sorties de famille, sorties que la jeune fille aimait beaucoup.
Vînt un jour un tragique incident. Lors d'un voyage dans Venise pour célébrer son anniversaire de quinze ans, la jeune fille apprit avec horreur que ses parents, ainsi que sa cadette, avaient été assassinées devant le port, par une bande de mafieux, qui, soi-disant, les avaient pris pour d'autres personnes. Voilà la tragique fin d'un merveilleux roman, mais également le début d'une histoire d'aventure à couper le souffle, pleine de rebondissements et de jets de sang. Remna la naïve devint forte et rusée, la jeune fille n'ayant plus qu'une idée ; se venger.
Alors bien sûr, à seulement quinze ans, on ne peut pas croiser le chef du gang et le buter avec un revolver, ce n'est pas si simple, et de toute façon, il aurait fallu une morte bien plus douloureuse.
La jeune demoiselle repartit donc dans son pays natal, sa grand-mère l'abrittant et s'occupant d'elle, elle grandit dans le calme, et obtînt son diplôme quelques années plus tard. Une fois majeure elle quitta son domicile, avec un unique objectif, ce dernier étant de venger la mort imprévue de ses géniteurs, ainsi que celle de sa soeur, par la même occasion. C'est saloparts devaient crever pour lui avoir dérober ce qu'elle avait de plus précieux, ils ne pouvaient pas rester libres, ces enfoirés. Un jour, assise à la terrasse d'un café branché dans le centre de Venise, Remna surprit une conversation plus que divertissante entre une homme et une femme. Il parlait d'une taupe en feu, ou de quelque chose du genre. Elle essayait d'écouter le plus possible, sans se faire prendre, et comprit, au fur et à mesure, qu'il s'agissait d'un réseau, pour renverser le parrain. Tout de suite mordue par l'idée, Ren, ayant attendu la fin de la conversation, interpella l'homme pour lui proposer sa candidature, ou un truc du genre.
Il s'appelait Julio, et il était beau. Brun, le teint mat et la peau satinée, il enseigna tout à la débutante, mettant en elle un confiance aveugle. Il lui apprit à se servir des armes modernes, lui donna des conseils quand aux possibilités d'actions de groupes, comment fallait-il se mettre hors de danger ou comment se faire passer inconito aux yeux du parrain. Julio devînt en quelque sorte le mentor de la jeune femme, l'ayant prit sous son aîle comme si elle avait été sa propre soeur.
Il mourut deux mois après le dix-neuvième anniversaire de Remna, cette dernière avait, et a toujours, beacoup de mal à s'en remettre.
GOAL N°1 : KILL THIS FUCKING PADRINO, KILL MILADY KILL !
 | Votre pseudo : Lou
Age, sexe : 15 ans, et je suis une fille =3
Avatar de votre personnage : Princesse Aï
Comment avez-vous connu le forum ? : Par partenariat avec un autre.
Qu'aimez-vous/Détestez-vous dedans ? : Je suis nouvelle donc pour l'instant, je n'ai rien à redire. J'aime l'histoire du forum. La mafia c'est genre trop la claa~sse, keuwah ~
Autres ? Je pourrais dire pleins de choses, mais je me contenterai d'ajouter : Le spaghetti est passé  . Yeaah.
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Sujet: Remna ~ La femme est un trésor quand elle a le diable au corps - Finie ! 
Mar 4 Mai - 9:04
