Prénom(s) : Siméon Léonard Nom : Farinelli Surnom : Kido Date de Naissance et âge : 16 ans, né en Avril à Monaco Groupe : Scapins dannati. Nationalité : Franco-Italienne Manie, habitude, tic : "JE-JE B-B-BEGAIE TOU-TOUT LE TEMPS BO-BORDEL, CA SE V-VOIT P-P-PAS ASSEZ, HE-HEIN ?! CONNARD, J-J'VAIS T'BU-BUTTER !

Style ~*
Originaux. C'est sans doute le premier mot qui nous vient à l'esprit quand on voit Siméon, 'original'. Impossible de penser autrement, avec toutes ces gammes colorées et ce style particulier...

Tout d'abord, il doit être bien clair que Siméon ne porte jamais les mêmes vêtements. Jamais. Il possède un nombre inqualifiable de T-shirt, chandails, pull-over et chemises, un stock innépuisable de pantalons, qu'ils soient courts, longs, en jean ou en tissu et bien sur, des costumes par centaine, accro comme il est.

La plupart du temps, notre blondasse s'habille en fonction de son humeur.
Joyeux, il choisira des couleurs vives, gaies, des motifs enfantins ou grossièrement déssinés, style Hello Kitty ou alors The Beatles, enfin bon, un truc pas vraiment recherché qui s'accompagnerai avec un pantacourt en toile et des basket de couleur éléctrique. Mystérieux, vide, il choisira le cosstard-cravate, les pantalons à pinces et autres basiques du genre, énervé, il s'amusera à se balader en casquette-marcel-jean troué, question d'humeur, tout simplement. Par la suite, il y a cette histoire de costume, Siméon adore les déguisements et en porte le plus souvent possible. Et non, ce n'est pas contradictoire avec ce que je dis précedemment, car la starlette se change, environ, deux ou trois fois part jour. Ayant hérité de beaucoup d'argent et d'une demeure familiale entretenue par des domestiques, il peut bien se le permettre...Comme accessoires, le jeune homme porte souvent des patchs qu'il cous lui-même sur ses vêtements et met des macarons sur pratiquement tous ses sacs. Sinon, il a tendance à porter des chaînes argentées longues ou alors des colliers en plastique de couleurs diverses, proches de son cou. Il met quelques fois des bracelets du même style et on peut toujours le voir avec sa montre violette à plusieurs cadrans. Ses mains sont toujours gantées, de la même manière, pour son métier ou pour son allure, toujours blancs, les gants, cependant, en hiver, il a une paire de gants en cuir noir, parce que c'est plus la classe, quoi.

Physique ~*
Commençons donc par les cheveux, puisque je l'ai décidé. Hop hop hop, pas de grommellement, on lit et on se la ferme. Donc, les cheveux de notre ami Siméon, c'est sans doute le premier détail qui nous frappe sur sa physionomie, un blond miel ou doré ou platine ou cendré, Sim' change presque toutes les semaines de blond, toujours en fonction de son humeur, il conserve un tas de coloration dans un placard, juste au cas ou... Ensuite, sa chevelure est coiffée de sorte à ce que les côtés et l'arrière soient plus courts que le dessus. Ils sont aussi naturellement épais et lisses, gominés toujours pour que l'impression finale laisse une touche "en bataille" ou "saut du lit", un détail qui lui ajoute en classe, comme s'il en avait besoin fufufufufu !
À la suite de ce merveilleux ammassi de conneries, passons aux yeux de l'adolescent. Hep, finit les lèvements de yeux au ciel, sinon j'fais passer un pigeon pour qu'il vous fiante direct dans les yeux. Oui oui, j'peux faire ça. Posez pas de questions. Alors, les yeux de la blondasse, bien plus interressant que ses cheveux niveau couleur, sont attirants et mystérieux. Bah oui, vous connaissez beaucoup de gens qui ont les yeux vert émeraude vous? Et je vous parle par de ce vert si commun qu'on voit dans les yeux huître. Non, moi je parles d'iris entièrement vertes, profondes et sasissantes. Bon, quelques étincelles de si de là, mais rien de très notable quoi. Il faut dire, avec les sourcils froncés en permanence et les cils pâles qui viennent accentuer le tout, ça fait encore plus impressionnants.

Maintenant, passons au visage. Parce que c'est la prochaine étape logique. Le visage du petit tireur est plutôt fin, mais pas assez pour qu'on puisse vraiment le confondre avec celui d'une femme. Il a ces traits un peu carrés qui ferme toute envie d'imaginer. Sinon, il a des pommettes hautes, rosées, un menton bien sortit sans faire trop et puis un front large constamment caché par des mèches de cheveux blonds qui contrastent merveilleusement avec son teint trop pale. Le visage du jeune homme est aussi parsemé de quelques taches de rousseurs, surtout en été. Il possède également un nez fin et légèrement retroussé, héritage de sa chère mère française qu'il aime tant. Pour conclure le tout, décrivons la chose la plus importante dans tout visage : La bouche. Pour les pervers et perverses qui lisent ces lignes, sachez que l'adolescent a été doté de deux lèvres charnues et minces, mais bien pulpeuses. Tout pour inviter les baisers, surtout quand elles forment leur petite moue habituelle qui est trop mignonne. Son arme pour charmer les gourdasses, son sourire de petit chérubin, sourire qui révèle en elles un instinct maternelle incôntrolable...
Maintenant qu'on a finit la partie la plus intéressante, attaquons-nous au corps du jeune homme. Parce que oui, faut bien le décrire, y'a quelques pervers curieux dans le coin, faudrait pas les décevoir. Bref, passons. Pour commencer, disons qu'il n'est pas exactement très grand. Il n'est pas petit non plus, mais bon, il atteint tout juste la taille moyenne. Il fait environ 1 mètre 70, ce qui est respectable, mais pas très grand pour un homme. Côté poids, il est pas gâté non plus. On pourrait dire qu'il n'a pas une seule once de gras sur le corps et ce ne serait pas faux. Le pire dans tout ça, c'est que même s'il se mettait à manger comme un dingue des tas de trucs super engraissants, il prendre même pas un petit gramme! Côté muscles, il est plus gâtés. En effet, passer son temps à fuir la police et à faire de l'exercice pour passer le temps, ça sert pas à rien. C'est pas monsieur muscles non plus, mais il a une rondeur d'épaules, des muscles abdominaux et des tibias fermes, le tout ajoute un peu de charme à cette peau bien blanche. Le jeune homme possède un cou long et qui est à mourir d'envie de le marquer. Il a aussi deux épaules larges et frêles, des mains grandes, des doigts délicats et des bras longs. Sinon, il a aussi deux grandes jambes qui n'en finissent plus et deux pieds assez grands. Bon combler le tout, dame nature le dota d'un derrière présentable, plutôt plat, mais quand même plaisant à regarder. Pour ce qui est de l'avant, disons simplement que c'est pas petit, ni spécialement grand. Rien à cracher dessus quand même.




Le général ~*
Les personnes qui connaissent à peine ou peu Siméon pourront vous dire que c'est un garçon plus que charmant, poli et bien élevé, un bon parti pour toutes demoiselles de bonnes familles. Un garçon tendre et d'une grande intelligence. Vif, ouvert d'esprit et tolérant, oui les personnes qui le connaissent peu pourraient passer leur vie à complimenter et à dépeindre Siméon comme le parfait gendre, l'ami loyal ou encore le bon confident. Pourquoi ? Parce que son visage chérubin aspire confiance, parce que ses discours mille et mille fois répétés arrivent toujours à tromper les gens, à lui faire obtenir ce qu'il désire vraiment. Non, ces pauvres personnes obnubilées par la grâce et la sympathie que dégage le jeune blond ne remarqueront tout simplement pas le fourbe manipulateur qui se cache derrière ces traits de poupon, dissimulé derrière leur faible pouvoir d'analyse, l'adolescent peut vivre sa vie comme il l'entend, charmant, séduisant les jeunes demoiselles effarouchées pour les mettre dans son lit, jouant, faisant la cour pour obtenir ce qu'il désire. Car oui, Siméon est malsain, mais il le vit, très, très bien. Les traits de sa personnalité qui ressortent le plus sont souvent ses attitudes... excentriques ? Bizarres ? Comme vous avez pu lire dans la description physique, le jeune blond à un penchant douteux pour les costumes et autres déguisements, il aime à se vétir de manière à ce qu'on le remarque, il veut être à l'avant de la scène, sous le feu des projecteurs. (papillons de lumières /SPAFF/) Enfin bref, tout ça pour dire qu'il se fringue toujours à la wan again et que son style varie en fonction de ses humeurs, mais vous avez déjà lu tout ça, je continu et pas de protestations. Pour poursuivre dans la partie anormale de la chose, on pourra avouer que Siméon est un énooooooorme fan de Dirty Dancing et de Mamma Mia, ainsi que toutes les autres films un peu romanto-kitsh-tro-la-classe. Que voulez-vous que je vous dise, il adore, connaît toutes les répliques par coeur, même les chorégraphies , pour dire... c'est un gros malade, en résumé. Mais peut être que, derrière tout cela, derrière toutes ces fanfreluches et ces vêtements, se cache un être peu confiant, qui, tel le cancre, ne réclame qu'un peu de véritable attention, peut être, que tout ce qu'il recherche, au fond, c'est un personne qui le ferra se sentir bien vivant, qui le remettra sur le droit chemin, qui lui ouvrira les yeux, qu'il l'aidera et qui l'aimera et qui... Ouai, peut être. Ou pas.


En quelques mots ~*
Vif. Particulier. Manipulateur. Drôle. Enfantin. Addict. Naturiste. Obsédé. Héritier. Vicieux. Qui manque secretement de confiance en lui. Hyper actif. Charmeur. Perfide. Fouteur de merde. Agile. Intelligent. Coquet. Romantique. Minutieux. Heureux. Original. Fanfaron. Vantard. Tireur de pointe. Précis. Joueur. Grognon. Synique. Sadique. Cultivé. Méchant. Scatophile (bah ouai, tiens). Doux. Agréable, quand il veut. Chérbin. Affectif. Malin. Fourbe. Contradictoire...

Même que son chanteur favori, c'est Cat Stevens, avec Queen et The Hollies. Parce qu'il le vaut bien , oh yearh /SPAFFF/

Spécialité : Siméon est un spécialiste en armes blanches. Il excelle avec dagues, couteaux ou pointes, c'est un as de l'escrime, sabre, épée, fleuret, tout compris.
Armes qu'il possède : On ne saurait comptabiliser le nombre de lame qui se cache dans le corps de Siméon, dans les vêtements de Siméon ou même dans ses cahiers d'étudiant. Il possède malgré tout un silencieux, au cas ou les choses deviendraient, un peu plus... compliquées.
Ce qu'il pense précisement de la Mafia : C'est un criminel solitaire, car, ne supportant pas sa différence de langage et l'effet qu'elle produit sur les autres, Siméon préfère s'exiler. C'est un tueur à gage de métier, il est en contact avec des entreprises et autres associations qui lui refilent une liste, puis lui fait le boulot. Point. La mafia, il s'en balance, enfin, même si, il se considère un peu, lui, comme un mafieux, mais à son compte. Fin bref, Le parrain, c'est une enflure, c'est tout. Mais après, aller fourrer ses pattes dans une histoire qui ne le conserne pas, c'est autre chose. En gros, il l'ignore, sans se faire remarquer, c'est tout.
A t-il déjà eu affaire à la Mafia : Une fois, oui, mais indirectement. Il avait 14 ans, venait tout juste de changer d'établissement scolaire et était tout déboussolé. Il s'était fait un nouveau pote, grand, quelques années de plus, qui un soir, l'avait conduit dans une soirée bizarre. Ce soir là, il apprit que cet ami était un espion, et il ne fût pas le seul, un mouton du parrain était là. Buté, il a fini, son pote. Giorgio, c'était son nom.

Ce jour là, j'étais allongé sur le muret qui entourait ma maison luxueuse, il faisait chaud et les pantes de mon jardin vomissaient de couleurs et de bonnes odeurs. Le soleil, astre divin, se reflettait avec grâce sur l'eau turquoise de ma piscine et donnait un peu de couleur à mon teint blafard d'adolescent. C'est une plutôt belle journée, il n'y avait plus cours et je pouvais être tranquille. Mes parents étaient partis je-ne-sais-où, bosser peut être ? Mama devait sûrement être à un casting ou sur un shooting photo, quand à papa, en voyage d'affaire, je présume. Quelle belle vie, cette solitude douce me rendait heureux, moi Siméon, je ne me sentais bien qu'en étant libre, sans ordres, sans barrières, j'aimais ça. J'avais pas loin de quinze ans je crois, vif et insolent, je me fichait du monde extérieur, seul Moi devait compter. Il était quatorze heures, l'église du quartier chic dans lequel j'habitais sonnait, laissant les colombes posées sur son clochet s'envoler en vitesse. Ce paysage magnifique, c'est moment de détente, c'était mon quotidien, à moi l'enfant gaté. Car oui, je faisais ce qu'il me plaisait, si un soir je désirais une chose, soyez surs que le lendemain, je l'obtenais. J'obtenais toujours tout d'ailleurs, et ne me lassais jamais.

Des bruits de moteur qui gronde me tirèrent de ma rêverie. C'était habituel ici, chaque heure, un défilé de voitures de luxe, Ferrari, Mercedes ou même BMW, tout y passait. La mienne à moi, dormait tranquillement dans le garage, attendant que j'ai l'âge pour la conduire. Me relevant, j'entreprit de descendre pour aller voir ce qui se tramaît, à cette heure là, normalement, il n'y a pas un rat, peut être des domestiques et des jardiniers, mais personne d'autre.
C'était un magnifique engin noir aux vitres teintées, une coupe formidable et surement beaucoup de matériel sous le capot ; compteur électrique et raccords magnétiques, un petit bijou, quoi, je demanderai la même ce soir. La portière s'ouvrit sur un homme vêtu de noir, les cheveux rasés et le menton en pointe. Un vraie baraque à frite doublé d'une classe sublime, mais également d'un air... triste ?!
Me penchant un peu, j'observais ses moindres faits et gestes, il tenait un gros dossier dans les mains, genre paperasse de bureau, et avançait en cherchant quelque chose. Curieux comme une fouine, je sautais le mur sous les yeux horrifié de la bonne Maria qui balayait la terrasse et allait à la rencontre de l'homme.

- Monsieur Farinelli ! Monsieur Farinelli, ou allez vous ?! Vous n'avez pas le droit de sortir !

Je m'approchais en faisant de grands pas assurés, non je n'avais pas peur, j'étais, au contraire, tout exité, j'aimais les nouvelles rencontres, cela me rendait joyeux. L'homme s'aperçut que j'avançais dans sa direction et me héla, tout penaud. Un truc genre : oh toi, le gosse, viens par là ! Surpris, j'accélerai la cadence et arrivai en moins de deux devant la baraque habillée en noir.

- Vous désirez Monsieur... ?

- Goose, Robert Goose, chargé du service de l'enfance. Je voudrais savoir, tu es bien le rej'ton Farinelli ?

- Et bien oui, c'est moi. Que faites vous ici ?

Mon ton se fit plus dur. Que fichait cet homme des services sociaux devant chez moi, habillé en pingouin et pire, pourquoi voulait il me parler, à moi ? Me préparant à une réponse éventuelle, je n'aurais cependant jamais imaginé qu'il allait me sortir un truc comme ça :

- Tes parents sont morts petit, on a retrouvé leur corps dans une vieille cave à Naples. Un fou furieux apparement. Je suis désolé...

Un moment d'absence, du noir. Je senti le sol trembler sous mes pieds nus et coupés par les fracas de verre, ma tête qui hurte du goudron trop dur. Noir, toujours du noir. Ca y est, je suis tombé au plus profond de l'abysse, au plus profond de la solitude.. Je le reconnais, je n'avais pas toujours été très agréable avec mes géniteurs, enfant désobéissant et trop exité, gaté pourri, cupide, le portrait parfait, quoi. J'avoue qu'il m'était souvent arrivé de me dire que j'aurais bien voulu que mes parents crèvent, pour de futiles raisons bien entendu, genre la nouvelle console vocale refusée ou autres conneries du genre mais maintenant que je les savais loin, trop loin, je ne pouvais m'empêcher de culpabiliser. Comment avais-je pu être si ingrat...

- Il reprend connaissance, Maria, il revient à lui !

- Mi querido, je suis là, je suis là, ne pleure pas.

Je n'eu pas le courage de la repousser, de lui dire que moi aussi, je voulais mourir et que de toute façon, mainteant, rien n'avait plus d'importance, parce que j'étais seul, sans mes parents, et que plus rien ne comptait. Cependant, bercé contre la poitrine chaude et calleuse de cette domestique qui s'était toujours occupée de moi, je me laissais aller. PLeurer, un bon coup, cela ne m'étais pas arrivé depuis de longues années..Je l'entendais murmurer des chansons, berceuses espagnoles et italiennes, douces et relaxante comme sa peau, elle disait également qu'elle allait prendre soin de moi, que personne ne m'enverrai en orphelinat, et qu'elle ne laisserai personne me faire encore de la peine. Je me souviens lui avoir sourit, puis être aussitôt retombé dans ma torpeur noir et pesante. Je me réveillai deux jours plus tard....

Extraits du journal intime de Siméon L. Farinelli.

[...] Depuis que papa et maman sont morts, je me sens vide, comme si une partie de moi s'était détachée de mon corps, ça me fait mal, c'est horrible. Et puis de toute façon, en ce moment, la vie est sinistre, triste, même carrément pourrie je dirais. J'me sens seul, beaucoup trop, mon meilleur pote est mort, et je pense sérieusement à me suicider. A quoi bon vivre quoi ?! Certes, je suis riche, ça c'est cool, j'ai 15 ans et je me suis barrée de ma baraque, mais je m'ennui, et c'est un gros problême. J'me planque, en plus. Je ne sais plus quelle équipe de flics me court après, ils sont à la botte du parrain ces chiens, et moi je suis de plus en plus recherché. Mais j'peux pas mourir, j'ai promis. A papa et à mama, j'ai juré que je vivrai, c'était leur souhait, je l'ai lu quand les pingouins m'ont filé les choses dont j'avais hérité. Un sacré paquet de fric, en somme, et une envellope noire et cartonnée. Mes parents savaient qu'ils allaient mourir, il ne me l'avait juste pas dit, pour me protéger. Une bande de terroristes s'en était pris au bureaux de papa et du coup, à mama ensuite, les deux s'étant toujours arrangés pour que les psychos qui les avaient tué igorent jusqu'à mon existance. Je ne les aurais jamais pensé capable d'un tel sacrifice. Pour dire, depuis que j'ai lu cette lettre, je ne pense qu'a me venger. Mafioso, je vais finir, rien que pour pouvoir butter tous ces salauds... Hahaha, je m'imagine bien mafieux quand même... Non franchement, je finirai riche et entouré de jolies filles, et j'engagerai des pro pour faire le sale boulot. Haha, moi mafieux...

Après l'accident, ma vie continuait. Comme ça. Je venais tout juste d'avoir seize ans, et j'étais déjà blasé de la vie. Plus rien de m'inspirait, j'étais las. Le sexe peut être, me donnait un peu de bon temps. Chaque soir une nouvelle fille dans mon lit, je perfectionnais ma technique de séduction, je ne sais même pas pourquoi, bégayer me rendait "chou" à leurs yeux...

- C'est quoi ton prénom beau blond ?

- Ne-Neil (je répondais toujours un prénom différent, histoire qu'on ne m'identifie pas, j'avais certes, un réseau de conquêtes assez large...)

- Mais 'sois pas timide, je vais pas te manger, disaient elles toutes en souriant

- Mai-Mais, je ne fa-fais pas exprès, je-je bé-bégaie. Désolé-é

- Ce que tu es chou toi, viens voir.

ET TCHAK TCHAK BOUM BOUM.

C'était facile, ces intonations d'enfants boudeur qui les faisait toutes craquer, j'étais devenu un pro, personne ne me résistait. Personne de la gente féminine s'entend. Il y avait également autre chose que je perfectionnais, depuis la mort de Giorgio, mon meilleur ami, je m'entraînais à manipuler les armes, autant dire que ma peau en prenait un sacré coup. Recouvert de cicatrices et autres coupures dans le genre, je passais pour un vrai bad boy devant le regard animé de ces demoiselles, il est choooooooou... Amis de la niaiserie, bonsoir... Enfin bref, je pouvais à présent manier les armes comme un lanceur de sabres sur les marchés marocains, j'étais devenu un as et ne me séparais jamais de mes lames. Je m'en étais faite incruster une dans le bras, avec un système relié à je-ne-sais-plus-quel-organe qui fait que lorsque j'appuyais sur un certain endroit, une fente mécanique s'ouvrait sous mon épiderme et faisait sortir cette petite pointe très tranchante. On aurait pu me comparer à un robot, je crois. Mais tout cela, cet équipement et cette passion pour les armes ne m'étais pas venue volontairement, c'était devenu une sorte d'obligation. Après la mort de mon ami, après avoir assisté à un règlement de compte entre pseudo-mafieux, j'avais bien évidemment été pourchassé par cette bande qui ne voulait aucun témoin. Ayant réussi de justesse à m'enfuir, j'avais tout de même cette peur d'être traqué et retrouvé. Simple précautions, les armes blanches, mais on pouvait dire qu'avec cela, je ne courrais plus vraiment de grand danger. Je visais loin, précisément et j'étais plutôt agile. Le combat, c'était vraiment mon domaine, tant qu'il s'agissait de corps à corps, la j'étais imbattable. Après sur une longue distance, c'était plus compliqué..

Je me souviens du premier homme que j'ai tué, c'était d'ailleurs un des cinq qui avaient tué Giorgio. Un deuxième réglement de compte en somme, il m'avait menacé et avait voulu aller jusqu'au bout. Par chance, cet abruti était venu seul, et s'était rué sur moi tel Orochimaru sur Sasuke, ne réfléchissant pas au déroulement de la situation, qui lui échappait, apparemment.. La bataille à commencé, je m'étais fait surprendre dans une ruelle un peu sombre vers le milieu de la nuit, je venais de sortir d'un rendez vous, et je rentrais tranquillement dans ma planque. Puis soudain un voix rauque, grasse :

- Alors gamin ? Tu me remets ?

- Vo-Vous êtes le co-co-connard qui a bu-buté Gio-Giorgi-io.

- Enchanté, mon petit.

- C'est pas vrai-vraiment ré-réci-proque, si tu v-voix c'que je v-veux di-dire.

- Bouhouhou. T'as d'la réparti Kido, c'est bien. Et ouai, j'connais ton surnom. Tu vois, je connais tout d'ailleurs. Les autres s'en foutaient mais moi, ma.. J'aime pas laisser de témoins tu vois. Tu signes ton arrêt de mort, mon gars.

Il bondit sur moi, lourdement mais confiant. Un vieux doberman qui y croyait encore, qui croyait vraiment pour me faire peur. Mais j'en avais rien à foutre moi, de crever. J'aurais bien voulu, même, mais j'avais une promesse à tenir. Attendant le moment propice, j'évaluais tous les angles de riposte. Une, deux, deux pas en arrière et le boudin qui chute dans son élan. Une lame qui tombe sur sa jugulaire, laissant ainsi son sang impure couler dans la rigole du trottoir. Ca y était, j'étais devenu un tueur, un vrai.


[i][...]Oh, je viens de retrouver ce putain de bouquin. Le truc drôle ce que je pensais ne jamais devenir mafieux, ou un truc du genre. Bon même si je me planque, que je tu pour d'autres, j'en suis pas vraiment un. M'enfin, un mafioso isolé quoi. Ca compte pour la moitié. Donc bon, j'ai bientôt dix sept ans, et ma vie, c'est de la grosse rigolade. Poursuivi par les policiers et satisfait sur le plan sexuel et financier, on peut dire que tout roule à merveille.

Votre pseudo : Lou Age, sexe : 15 ans toujours, hermaphrodite. Avatar de votre personnage : Oz Bezarius - Pandora Hearts Comment avez-vous connu le forum ? Double compte parce que Lolz quoi. Qu'aimez-vous/Détestez-vous dedans ? "Ce-cette qu-quessti-ion est trou-troublante-e" Autres ? Comme toujours hein, bonjour la confiance x) Spaghetti !, Let's go, my friend !

Hey hey heeey ! Re-Bienvenue, hein 8D

Juste pour te dire, Siméon ne faisant partie d'aucune famille de Mafieux, le modèle n'est pas le bon 8D Tu as bien du t'en rentre avec le "conditions d'entrées dans la Mafia", non? Celui qui t'es approprié est donc "Modèle de fiche pour ceux qui ne font pas parti d'une famille de Mafieux. - n°1".

Bonne chance pour la suite de ta fiche, j'ai hâte de voir ce pauvre garçon en action , huhu

C'est le cas, se sont des mafieux solitaires, mais ne font aucunement partie d'une famille, justement 8D

Ps : si ton histoire est trop longue sur un post, j'effacerai mes messages /o

Euh, je crois que j'ai fini :3

Donc donc dooonc, officiellement, re-bienvenue ! ~

Siméon me fait kiffer quoi, j'aime son caractère sa façon d'être et tout, ça me fait rire =') Et puis j'ai vu peu de fautes d'orthographes, je t'admire donc [oui, moi et l'orthographe, ça fait 2]

J'aurais malheureusement quelques trucs à te demander d'approfondir / ou modifier :

• Au niveau de la temporalité : Tu parles des voitures, des chevaux sous le capot et ce genre de choses... mais je pense qu'en 2200, il n'y a plus vraiment de moteurs, tout doit être sur coussin d'air, un truc du genre, non? Enfin, ça je sais pas trop, donc pas grave si tu ne modifie rien. Ensuite, tout bêtement... la PS3, tu crois pas que se sera passé de mode depuis bien longtemps? Ils en seront surement à la 10 là ou on est, nop? Imagine le, ce pauvre Siméon, avoir un truc qui datte de Mathusalem... *spaf*
  
  
• Ensuite, je trouve que l'histoire est... comment dire... vraiment rapide. Les parents sont morts, hop, il veut devenir mafieux, il devient mafieux, tout est beau. Mais tu ne crois pas qu'il a du pas mal morfler pour arriver à devenir ce qu'il est devenu? Surtout comme il bégaye et tout [d'ailleurs, tu n'évoques pas dans l'histoire ce trait de caractère /o ]... Et puis, comment a t-il appris à ce servir d'une lame, il n'a pas du tout apprendre d'un coup, sauf avec une machine pour s'incorporer les entrainements, enfin, si tu veux pas que ce pauvre gâté s'entraine ou s'abime sa peau, il peut tout à fait avoir eu ce genre de machine.

Donc, il faudrait juste que tu approfondisse un peu la "after dead of papa maman", dans son journal, peut-être, se serait plus rapide [?], et puis aussi un peu le faire bégayer, puisque ca m'a l'air d'être important et que ca le soule [j'ai presque l'impression que tu as oublié ça après l'avoir évoqué dans son identité /o ] et je ne vois aucun problème à te valider après ça.

Buh, j'ai l'impression d'avoir été méchante ;o;

Perfecto ~

Validé quoi 8D

Penses à faire tes relationship [je fait d'ailleurs un appel pour tout le monde d'ailleurs, il faut RSer è_é], RP, demande d'habitation, et amuses toi encore une fois ! *on dirait trop une pub pour un club de vacances XD*