{ Royal sclave } A N D Y [

Invité

Identity

Prénom(s) :

Andy

Nom :

O'Summer

Surnom :

Andy; Andrew

Date de Naissance et âge :

14 Juillet 2166; 24 années.

Nationalité :

Américaine puis ayant suivit Connie jusqu'en Italie, Italienne.

Groupe :

Il fuoco talpa

Manie, habitude, tic :

Fume , vraiment beaucoup surtout dans les moments stressants ; A aussi toujours un doigt sur la gâchette de son M162759 et porte toujours un chapeau noir.

Profession :

Tireur d'élite.

Come on ! Let me look at you…

Wanna' understand you, my friend...

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Je ne suis pas ce qu’on appel un gars vraiment net. Enfin, je ne suis pas non plus un tueur sanguinaire qui vit pour l’odeur du sang non plus. Bon, c’est clair que c’est aussi plaisant pour moi de tuer des gens mais ce n’est pas non plus une priorité. Non, mon objectif premier et de tuer l’autre enculé de Parrain, alors je joue les rôles…et parfaitement bien d’après certain. Donc, c’est pas si rare que ça si je reviens avec du sang sur moi et un sourire de winner sur les lèvres…Oui, bon , j’aime aussi ça mais c’est pas de la même façon. Pour moi, plus le nombre de gens mourront de mes propres mains, plus je serai heureux car j’avancerai dans les échelons de la Mafia et là …je gagnerai. J’ai confiance en moi, oui. Très ? Non. Juste que je sais que j’ai un potentiel exceptionnel et que je l’exploite avec perfection, donc sur ce point, ça va. Disons que mon plus gros problème, soit doit être psychologique. Oui, comme dit précédemment, je ne suis pas quelqu’un de super facile à comprendre. Je vie que pour Connie et pour l’instant personne n’est au courent de son existence – et fort heureusement- alors je parais presque fou. Fou parce que je ne sais pas faire semblant de vivre sans aucune attache, alors j’ai droit à des regards replis de haine. Parce que, j’ai l’air d’un zombie sans Connie et que, de ce fait, je deviens pire que violent.
Avant, il y avait Connie avec sa douceur…Maintenant, on tue au rythme de 10 à 12 personnes innocentes par jour. Et le pire…C’est que maintenant, je m’en fous. C’est presque devenu instinctif.
Je te vois, Je te tue. Une habitude d’autant plus violente que je ne m’en aperçois même pas.
C’est horrible, hein ? De tuer ses enculés de collègues dans un excès de rage, parce que je n’ai pas eu mon cota de personne morte aujourd’hui. Pour l’instant, on ne me dit rien. Le Parrain, cet enculé, doit avoir vu que même si je commençais à tourner mal, j’étais un tueur hors pair.
Mais putain qu’il ramène son cul d’enculé celui là, que je lui explose la gueule vite fait, bien fait.

Let me K I L L you ♥

Spécialité : La technique de prédilection de votre personnage en tant que Mafieux.
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Armes qu'il possède
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Bon, c'est pas sorcier, hein. Vous voyez, les anciens M16 faisaient au grand maximun que des trous de 20 centimètres . Bah, la nouvelle génération veut que , en plus du tir en précision, j'ai la possibilité de changer la grosseur des balles.
Elles sont préalablement rangées dans les parties gauches . 5, 15, 20 voir 30 centimètres, je peux aussi bien nettement que dans le tas. Pratique, non ?

Ses conditions d'entrée dans la Mafia. :
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Han, cte tête XD

Haha, Non , je ne suis pas rentré par plaisir mais juste par vengeance. Je dois être un peu masochiste sur les bords . Bref toujours est-il que ma couverture m'a été trouvé par un de mes sbires et que de ce fait, je fais l'espion au sein de la Mafia. Connie habite à Venise ( depuis son enfance enfaite ) donc j'avais élu domicile chez lui au temps où j'étais son homme de main.

Tell me who you are...

" Tu me le promets?"
" Bien sûr. Je vous le promet "

C'était partie d'une circonstance du destin. Une rencontre imprévue de deux personnes qui tout opposait, un coup de Dieu, qui sait. Il était riche, beau, élégant. J'étais alors pauvre, sale et pas spécialement attirant. Nous n'avions que 8 ans tout au plus quand ma, notre vie changea tout au tout. Quand on est jeune, le monde parait plus grand, plus beau, plus. On était roi, on était puissant, le monde était à nos pieds. Nos jeux étaient tels tous les garçons de 8 ans.
Domestique, Maître.
Et mon dieu, je n'aurai jamais véritablement pensé à réellement intégrer mon statut. Entrer dans le jeu, hein ?! Parfaitement.
Et ce soir, ces prunelles sont encore plus verdoyantes. Arrête, ou je vais te faire la même Connie.

« Play, baby.
Play with the devil . »

Novembre. Le froid. C'est normal.
J'ouvre précipitamment la porte, m'engouffrant dans la rue, mon manteau noir sur les épaules. Parce qu'il fait froid. Longeant les murs, je me fonds dans l'obscurité naissante. J'aime la nuit. C'est calme, reposant. Le moment où tout le monde dort. Le moment parfait-depuis que la mafia traine le jour- c'est le seul moment où on peut sortir sans se faire harponner (C’est tellement connu, la mafia dort la nuit). Alors je longe les murs, non sans regarder si un de ces mafiosis ne faisait pas un tour, pour se dégourdir les pattes. Pas qu'il me gênerait...jusque que sortir une autre cartouche pour le buter me ferai juste royalement chier. Et puis, il avait dit qu'il fallait être prudent et moi, pitoyablement faible devant ses ordres, j'avais acquiescé. Non mais franchement, la pire faiblesse du monde était celle crée par l'amour.

Ouais, moi, Andu y’ Summer, était amoureux. C’était tellement impossible à concevoir à mon entourage qu’ils avaient tous tirés une gueule de déterré quand la nouvelle avait fait le tour de la famille. « Andy n’est donc pas gay ! » « Il a enfin trouvé une belle nana ! Préparer le champagne ! » Ces bouffons qui ne savait rien de lui. Oui, lui ! Ils s’étaient tous fait avoir avec leur pseudo vision de ma future « femme », trop heureux de ne pas me voir du côté « obscure » de l’humanité. Non mais j’vous jure, c’est chiant une famille homophobe.

Les rues deviennent de plus en plus sombres, comme si la nuit n’avait pas déjà assez réduit ma vision ! Je n’étais pas un chat, putain. Par habitude, mon M165927 (http://fr.wikipedia.org/wiki/M16_(fusil) ) était sorti, planqué dans mon grand manteau. J’aimais pas travailler dans ce coin de la ville. C’était un de ces quartiers où les enfants disparaissaient et où la pédophilie augmentait depuis plusieurs années. J’aimais pas ça, pas ça du tout. Paraissait qu’avant, la ville resplendissait que les voisins se disaient bonjour, que le taux de criminalité était 10 fois moins élevé que maintenant. La belle vie quoi ! Je m’imaginais bien les voisins s’invitant les uns chez les autres, partageant leur ragots, mangeant des barbecues à s’en péter le foi…Et ces pauvres gamins qui disparaissaient au nombre de 2 par semaine…Non mais je vous jure. Maintenant, tout le monde avait des flingues. C’était pas plus un effet de mode que ça, juste que les gens avaient peur. Le monde tournait en miette et les nouveaux flingues sortaient plus vite que les kidnappings d’enfant. Ici, c’était « Aie des armes ou crève ». Qu’il était beau le monde de maintenant, j’vous jure.
J’avais pratiquement atteint mon objectif….et les paroles de Connie qui me revenaient. « Fais attention à toi, hein ! » « C’est dangereux dehors alors tu reviens indemne, je t’en supplie Andy ! » Bien sûr qu’il ne savait rien de ce que je pouvais bien foutre à 2 heures du mat’ un Dimanche matin. C’était de mon propre chef que je ne lui avais jamais rien dit. Je n’aurais pas voulu qu’il …s’inquiète plus enfaite. Être malade d’amour était déjà suffisant, alors si en plus je devais m’imaginer le voir se mordre les doigts- habitude qu’il prenait quand il était stressé – à chaque fois que je devais sortir…non ! Et puis, s’il était mêlé à tout ça…Je ne me le pardonnerai jamais. On pouvait bien tout me faire subir, mais toucher à un seul de ces cheveux, et votre vie s’achevait dans la minute…Que dis-je ! Dans la seconde ! C’était ce qu’on s’était promit ce jour là.
À pas fluets, j’avançais dans la pénombre, mon chapeau noir parfaitement dissimulé dans la nuit, comme ma personne. Bien sûr qu’il savait que je devais tuer des personnes. Il n’était pas con pour ne pas voir le sang qui tachait mes vêtements le matin quand je revenais. Mais il ne disait rien. Il laissait couler. Je le gratifiais d’un regard et l’embrassais…Bien vite avant que l’autre domestique ne rentre dans la chambre pour le déjeuner. Personne n’était au courent de notre liaison chez lui. Personne ne devait l’être, parce qu’on ne bécote pas avec un domestique. Parce que c’est contre-nature, pour quelqu’un de son rang que de m’avoir, moi, pitoyable homme de main (et tueur à gage là nuit) pour amant. Le monde n’était qu’un ramassis de circonstances pourries. Mais il s’en fichait, il m’embrassait toujours avec le même empressement quand je rentrais, murmurant des « Sain et sauf, Dieu merci ». Et Dieu, que j’aurai pu tuer pour lui. Pour voir son sourire et l’éclat de ses yeux verts encore une fois…Je m’étais longtemps imaginé que la dernière vision de ce monde, je la voulais semblable à ses yeux. Profonds et doux. Malicieux et francs. Tout l’opposé de moi enfaite. Et ce soir, je tuais encore une fois pour lui.

Comptant les numéros des maisons les uns après les autres, ajustant mon M165927 contre mon flan, l’armant préalablement. Me collant à une des fenêtres de la dite demeure, j’attendais dans l’obscurité. De la lumière s’échappait de la maison et de la buée se formait sur la vitre ne laissant aucun doute sur la présence de quelqu’un. C’était facile pour l’instant. Je devais entrer et les incendier de coup, voir les carcasses de ces connards se décomposer devant la puissance et la quantité de mes balles. C’était juste un bain sanglant, comme d’habitude. Des missions dans le genre, j’en avais plus d’une centaine en expérience. Comme quoi, l’héritier d’une multinationale à beaucoup d’ennemis. Tss, cela me tuait de les voir se démener, lors de leur visite chez Connie. Courtoisie oblige, bonne manière de même. Et moi qui restait à sa droite, la main dans mon manteau, hésitant à le tuer maintenant ce connard qui faisait des courbettes. Mais non, je n’étais pas assez fou pour qu’il subisse la vision de l’horreur à laquelle je m’adonnais. Je faisais trop dans le romantique, moi, celui qu’on surnommait « le déchu ». « Sa folie nait par ce qu’il n’a plus rien, l’ange déchu, démon terrestre » Je n’aimais pas trop ce titre, beaucoup trop …divin. Pas que j’avais une vision chrétienne du monde…juste que le faite d’être pris pour un ange….Pas pour moi.
Bon, quand faut y aller, faut y aller.

Un. J’ouvris la porte.
Deux. Je positionnais mon M165927.
Trois. Je mis un doigt sur la gâchette.

…

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Quatre. Je poussais un horrible hurlement.

Mon sang se refroidit, non il devenait glace. Mon cerveau devait certainement être en train d’exploser…ou alors qu’on me tue ! Oui c’est ça, qu’on me tue pour ce que je vois. Que l’on me pende, qu’on me crève les yeux pour ne subir cela. Cette vision …mes yeux sombraient presque. Ce n’était qu’un cauchemar, hein ? Oui, un cauchemar tellement réel que la vision des coups et des marques cigarettes sur les bras de Connie paraissaient être faite depuis pas moins d’une heure. Les pieds ligotés aux mains et le maigre tissus sur ses épaules en lambeaux auraient pu me liquider sur place. Si je n’attrapai une crise cardiaque sur le coup, ce fut pour Connie.
Me jetant à corps perdu sur le sien, sur son corps, Dieu, Bouddha, Yala, où que vous soyez, faites qu’il vive. Sa lèvre fissurée, les hématomes sur ses jambes, sur ses bras …j’avais envie de vomir. Vomir de moi-même. Vomir de mon incapacité d’homme de main, d’amant et de raide dingue de Connie. Oui, j’avais peur là. Ses yeux mis fermés, il semblait dormir. Prenant avec précipitation son pouls, je regardai ma montre. Et la sueur qui perlait sur mon front avant l’annonce du résultat.

Il respirait. Dieu, merci. Il vivait ! La poudre blanche à la commissure de ses lèvres cependant n’annonçait rien de bon. Drogue ou Poison, à vrai dire sur le moment, je m’en foutais royalement.

CONNIE ! REPONDEZ !

Pas de réponse. Bon, il était en vie, c’était le principal.
Sortant un couteau de ma poche, je lui découpais le fil qui reliait ses mains et ses jambes. Putain, quelle bande d’enculé, il lui avait pas laissé une seule chance de se défendre. Les fils tombaient peu à peu…et la paume de main de Connie s’ouvrit. Un bout de papier tomba lentement sur le sol.
Un mot. Un mot de ses enculés. HAAA, Bah comme ça, se sera plus facile de les retrouver, ses bâtards, si en plus ils donnaient une adresse, ce serait exquis. J’enlevai mon manteau et vint le placer sur les épaules de Connie. Non mais, dans quel état il était. J’aurai pu m’étrangler sur place d’horreur, devant la souffrance qui avait du subir. Je les voyais parfaitement, les coups et les cigarettes qui s’enfonçaient dans sa peau blanche, lisse. C’était tout simplement inhumain. Et là, sa peau avait été brutalisée. Pas de doute, ils allaient crever. Crever d’un tel affront sur Connie, par ce que putain, il était mien merde ! C’était le mien, c’était ma chose ! MAIS PUTAIN QUOI ! Et le mot qui me narguait. Un doute s’empara de moi. Oui , j’avais soudainement peur. Peur du lien entre ce mot et Connie qui nageait dans l’inconscient. Peur d’une saloperie qu’il lui aurait fait , juste pour moi, juste pour ma gueule , parce que dans le milieu, j’étais un chien galeux. J’étais tellement connu dans le milieu que, par inadvertance, j’aurai pu tuer des membres de la famille de ces connards…Alors, avec lenteur je prie le morceau qui allait m’achever dans la minute. Je n’en n’étais pas encore conscient mais la force des mots pouvait bien effondrer un mur comme était celui qui se dressait devant mon cœur, mon âme et toutes les autres conneries dans le genre que les chrétiens avaient vite énumérés. Parce qu’ils les connaissaient par cœur, ces putains de point faible que j’avais vainement ensevelit, bétonnés
.Le froissement du papier contre mes doigts faisait presque écho tellement ma tête tournait. Je tournai mon regard vers Connie et le pris dans mes bras , le serrant comme jamais.

Regret.

Pardon. Pardon Connie.

La politesse n’était plus, juste le trou béant dans ma tête qui aspirait tout. Et une litanie confuse de mot incompréhensible, de regret et d’eau salée. Parce que putain, ils avaient fait fort ces enculés. Callé sur mon torse, Connie ne bougeait pas.

Conasse de journée.

Des draps blancs et une pression sur mes cheveux, une caresse. Lentement j’ouvre les yeux. Putain de cauchemar, qu’il était horrible celui là…et pourtant si réel. Les yeux encore dans le brouillard, je reconnais la forme sur le lit et avant que je ne puisse lui sourire, j’écarquille les yeux. Connie, et tous ces bleus…Connie et sa peau mortifiée…Connie et son sourire alors que tout va mal. Je me rappelai de tout. Que je l’avais porté jusqu’à chez lui -préférant ne pas utiliser le portable de mon bras parce que de un, je n’aurai su qui appeler, l’hôpital ayant fermé depuis longtemps et de deux parce que si j’avais dû informer les domestiques au château, ça aura été la Rasia. Ouais, ici personne ne sait garder des secrets. Alors je l’avais étendu sur son lit, le soignant comme je'avais pu avec le matériel à ma portée et avait attendu son réveil…avant que je ne m’endorme à mon tour.
Ma main vint se nicher dans ses cheveux. Que j’avais mal, là, derrière mes murs de béton.

Andy… »
« Taisez-vous !

Je n’étais pas spécialement énervé, juste que de le voir …réveiller m’emplissais d’une joie ? Je tapais vraiment trop dans le cliché du gay soumis, God Damn . Bah , qu’est-ce que j’en avais à foutre ? Personne n’était là et tant mieux.
Me levant je vins me placer devant lui, et fit une courbette.

Connie Fraditera , je démissionne.

Un cri. Des draps qui se froissent et une masse qui me fait tomber au sol. Déboussolé, mon chapeau tombe laissant voir mes cheveux ondulés et un filet de sang qui coulait de ma lèvre inférieur. Connie venait de littéralement et physiquement me tomber dessus. Prenant ma veste dans ses mains, il la secoue, la tête baissée.

JE REFUSE ! ARRETE DE DIRE N‘IMPORTE QUOI ANDY ! TU ES MA CHOSE…Tu n’es qu’à moi ! …Alors je refuse le fait de te voir partir ! C’EST UN ORDRE !

Les coups s’arrêtent en même temps que mon cœur. Jamais, au grand jamais Connie avait utilisé son statut sur moi. Non, Connie est quelqu’un de doux, de timide et n’abuse jamais de son pourvoir. Et alors que mes yeux s’écarquillent sur l’ordre en question, des pas se font entendre derrière la porte.
CODE ROUGE.
Si l’on nous voyait dans cette situation, Connie était la risée de tous !

Essayant de dégager mon corps d’en dessous du sien, ce dernier ne bouge pas d’un poil. Qu’elle était cette lueur malsaine dans ses yeux ? Il…veut qu’on nous voie ?! Damn , il était donc devenu fou.

Vous ne pouvez pas ! » lui murmurai-je.
« Et pourquoi donc ? »
« Parce que…vous serez la risée de tous.

Se mordant atrocement les lèvres, il dit d’entrée. Que tout est bon et que la personne en question peut entrer comme bon lui semble. Mon regard se glace sur la porte, le temps se fige sur le mouvement …Il courrait à l’échec et je ne pouvais rien faire ! Sentiment d’infériorité qui rongeait mon âme en même temps que la porte s’ouvrait.
Des secondes qui défilent des secondes qui se succèdent et le visage de Jonnie, la nouvelle domestique, qui commence à apparaître. Connie, rusé au possible, attrape précipitamment mes cheveux et réduit considérément l’espace entre nos têtes. Entre nos lèvres. Entre nos cœurs qui battent à plus de 200.

Le visage de la domestique se choquer en même temps que le mien.
Si le lendemain il ne devenait pas la risée de tous, je resterai avec lui et sa folie naissance.

Compte rendu de la journée : Les mafieux que vous cherchez semblent avoir été repéré vers un entrepôt totalement désaffecté. Cinq hommes gardent l’endroit comme si leur vie en dépendait.

Merde.

Il n’y a vraiment aucun moyen de rentrer ? Un passage ou autre ? »
« Il y a bien un moyen mais il est vraiment … »
« Parle

Cela serait de s’infiltrer en tant que mafiosi…Avec vos compétences, c’est du gâteau mais…Paraitrait que le Parrain serait quelqu’un de féroce et d’intouchable…. »
« Rien à foutre ! Trouve-moi une couverture et j’y vais.

Je quitte précipitamment la pièce, redoutant le moment où je devais avouer à Connie ce que j’allai sans doute faire. Un papillon dans le ventre, j’avance vers son bureau qui s’avère être entre ouvert. Poussant délicatement la porte pour m’engouffrer, je le vois lever les yeux de la paperasse énorme entassée sur son bureau. Il sourit, je rougis.

Je vous dérange ? »
« Non, bien sûr que non

J’aime cette faculté qui a à détendre l’atmosphère en moins d’une minute, si ce n’est que l’espace d’un sourire. Andy, ne pense pas à ça, tu dois lui dire.
Secouant la tête, je m’approche de son bureau pour me placer jusqu’en face de lui.
Ma tête me fait mal.

Heu…Je ne sais pas trop comment de dire mais…Je risque d’être absent quelque temps ici…Voir beaucoup de temps. J’ai prévenu pas mal de gens et votre sécurité sera plus forte que jamais. …

Un sale silence traine dans la pièce.

« Tu pars pourquoi ? »
« Je ne peux le dire »
« ? »

Si je te disais que j’allai tuer tes agresseurs, tu diras quoi ?

M’appuyant sur le bureau d’un main, j’attire son col vers moi, l’embrassant. Et dire que ça risque d’être mon dernier baiser.

« Attendez-moi, je reviens »
« A une condition »
« ? »
« Que tu arrêtes de me vouvoyer, c’est agaçant. »

Me, Myself && I 8D

Votre pseudo :

Peter

Et, t'es un gars ou une fille toi ?!

Age, sexe :

8059 ans ;Escargot( Et Seul, héhé <3)

Avatar de votre personnage :

Gilbert Nigthray

mon amüüüür 8

Comment avez-vous connu le forum ?

Qu'aimez-vous/Détestez-vous dedans ?

Qu'il n'y aie pas de Oz

Autres ?

Le spaghetti est passé par là

Bienvenuuuuuue !!

Avant d'étudier ta fiche en détail, il y a plusieurs petits points à mettre au point [hohohoho, quel beau jeu de mots]

Tout d'abord, ton pseudo... Ton pseudo doit être le prénom de ton personnage, or, tu as mi son surnom. Il va donc falloir que soit tu l'appelle définitivement Andy, soit que je change ton nom d'utilisateur. Ton choix? =D
Ensuite, le modèle de fiche.. Andy fait parti de la mafia, et bien qu'il veuille tuer le parrain, il a bien du y rentrer, dans la famille. Donc, le modèle de fiche n'est pas le bon, tu dois prendre celui avec la description de ses conditions d'entrées et tout le touti.

Ensuite, je suis sure que ce n'est que des erreurs inattentions, mais il a pas mal de fautes, il suffirait juste que tu te relise

*

En dehors de ça, je kiffe Andy, il a so la classe *o* Et comment tu rejoue Pandora Hearts, quoi XD

préviens-moi lorsque ces petits détails seront réglés, et puis je ne vois pas ce qui pourrait empêcher ta validation =)

Invité

( HAHA, APRES TOUT QUI TE DIS QUE OZ = Connie HEIN ?!! 8D /ZBBAF)

No problemo, je relis pas pour les fautes, j'ai confiance

Validée > Il fuolco Talpa

*VITE, les pro-mafieux, VITE, VENEZ !! /o*