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 Nella Dello

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Nella Dello Vide
MessageSujet: Nella Dello   Nella Dello Icon_minitime1Jeu 6 Jan - 2:09

(Et parce que je vais pas écrire un mot d'anglais, et parce que j'me veux rebelle de la société vois tu ? /SBAFF/ )

Identity


    Nella Dello 11010712455681284
      Prénom(s) : Nella (est-ce du moins le prénom qu'on employait le plus souvent pour la designer.)
      Nom : Dello. (court, simple, Angelo Sarco ne s'est pas foulé, ça prenait moins de place dans la paperasse, point. Quant à savoir quel est son vrai nom, celui de parents dont elle n'eut jamais de nouvelles, c'est une autre paire de manche.)
      Surnom : hmmm, Che cosa è?
      Date de Naissance et âge : née en 2176 (d'après les dires de son dossier), donc, âgée de vingt quatre ans.
      Groupe : Soci del diavolo.
      Nationalité : Italienne.
      Manie, habitude, tic : Nella a cette facheuse manie d'être une paranoïaque convulsive. Elle tique sur les portes entrouvertes, n'oublie jamais de regardez les rétroviseurs dans chaque voiture où elle se trouve -prenons en compte qu'elle monte rarement dans des voitures, hein.- Fenêtre tintée, porte blindée, gardée, appartement filmé lors de son absence, chek uppé pour ne pas trouver de mouchards. Bref, Nella est une de ces bonnes vivantes au féminin, une femme cool, une vraie.
      Sous Groupe : ; Hitmen


Let me K I L L you ♥


    Spécialité
    :

    Lorsqu'il s'agit de descendre une personne gênante, Nella proposera toujours ses services. Elle est davantage centrée dans le domaine des snipeurs, mais ne refuse pas s'il est nécessaire de s'y prendre autrement.

    Armes qu'il possède :

    Les armes chez Nella sont nombreuses, un peu normal puisqu'il s'agit du lien direct avec son gagne pain. Mais son arme de prédilection reste un sniper à l'attirail léger, nommé le Stokovitch et Bolotnikov pro-sniper version 6. Ancienne arme améliorée depuis cette dernière centaine d'années. Une arme à longue portée qui, en silencieux, peut toucher sa cible jusqu'à 1200 mètres de distance, ce qui permet à notre protagoniste, entre autre, une meilleure discrétion. Alliée à un zoom, un viseur, des lunettes thermiques qui, si Nella ne peut discerner les couleurs sait reconnaitre les différentes variances de gris, cette arme devient très vite un compagnon fidèle.

    Ses conditions d'entrée dans la Mafia. :


    Elle n'a de repère que Angelo Sacro, avant c'est le trou, un grand vide, un petit rien. Alors, lorsqu'il s'agit de penser à son apprentissage, est-il certain qu'elle s'en souvient. Les camisoles, pour ceux qui osaient courir dans les couloirs, les épreuves de force où on vous éclairait la rétine, nuits et jours, tentant de miner votre moral, de vous faire céder..de faire fondre cette barre de fer pour la modeler au bon vouloir d'un parrain qui, par la suite, reprit les reines de l'institution. Pas un mot plus haut que l'autre, il fallait tout retenir, ne jamais rien lâcher. Pas la place pour l'humanisme, le rendement était un mot stupre qui faisait grimper en flèche la libido des patrons, des contremaitres, de ceux qui faisaient la loi.
    Y'avait toujours un moment où on abdiquait..-pire- un moment où on aimait ceux qui ne nous aimeraient jamais.


Tell me who you are...



I.En fait, quand on y réfléchit, ça sent pas si bon que ça : un pot pourri.

C'était un mélange de couleurs, et chaque odeur renvoyait au concept d'un pot pourri. Vous savez, de tel genre que le nom est bien moche, le visuel davantage mais les senteurs assez...étonnantes. Ici, c'était une association de transpiration, de poudre noire, et puis quelque chose de ferreux aussi.
Et, après, on assiste, impuissante, aux causes de ce qui vous pique les narines. Pof, la porte de la chambre est défoncée, les objets de porcelaine se brisent comme par magie. Y'a le grand frère qui gueule, les parents qui supplient puis..un son saccadé, du genre tatatatatatatata !
C'était pas la vendetta, mais juste le troisième avertissement. La mafia, on peut pas l'oublier..parce qu'elle ne vous oublie jamais. Il arrive même qu'un jour, elle vous attrape. Il est alors trop tard pour se faire pardonner, pour embrasser la main du parrain.
Sous le lit, une petite fille aux cheveux noir corbeau se cachait . Parce que maman elle avait dit, tu bouges pas, alors il fallait pas bouger!.. Et même si y'avait trop de paires de chaussures, même si du rouge annonçait la couleur de la pièce, même si elle voulait vomir ses tripes face à la vision tord boyau de sa famille massacrée, fallait pas se dandiner d'un iota.
Papa, maman, le frère, ils sont tombés tous les trois au sol. C'était pas du joli. Les hommes sont partis et, alors, la gamine a senti une autre senteur, juste après celle du fer.
Y'a de la fumée qui a courue jusque sous le matelas gris et puis...elle a oublié.
Tout oublié, même les choses d'avant.

Ses parents ? Sa famille ? Une maison, un animal ?
Et puis, d'abord, comment qu'elle s'appelait ?! hein?


Un nom, c'est vite découpé, cuisiné, mâchonné, avalé..et puis ça se laisse lentement digérer, sans autre forme de procès. La gamine est à peine âgée de cinq ans, et déjà elle sait plus. Sans son identité..gobée par une situation post-traumatique, elle est devenue un étrange animal. Ses pieds son nus, son visage dégueulasse, ses yeux rougis, rongés, clos, son existence foutue.. Elle est dehors, quelque part. Du gris, du blanc, rien, pas grand chose. "Mademoiselle Haillonneuse..mais où vas-tu ? Mais où vas-tu ?!
et ton papa, où qu'il est ? Et ta maman, tu l'as perdue ?"

Elle s'arrête, recule d'un pas à la manière d'un chat effarouché. Elle passe sa langue sur ses lèvres, hésite, puis, finalement..

Je sais pas ...

"Il fait pas bon de rester ici, par les temps qui courent. Tu sais, une enfant, c'est facilement transportable. Une enfant, ca prend tellement peu de place. T'en as qui en mangeraient au petit déjeuné : des enfants !"

Mais je veux pas qu'on me mange...

"Alors viens, suis moi, j'ai une maison où tu seras en sécurité. Là bas il fait chaud, là bas il fait beau, là bas il fait bon vivre. Allez, attrape ma main, que je t'emmène. Allez attrape vite ma main, et monte dans ma voiture.
Tu verras, tu verras, Angelo Sacro c'est très joli."


II. Et dans les arbres, les oiseaux sont tous morts.

Elle balance ses petits jambes frêles dans le vide, une fois vers l'avant, une fois vers l'arrière. Puis encore une fois vers l'avant, puis encore une fois vers l'arrière..faisant tout de même gaffe de pas faire tomber la valise à ses côtés. Hummmm? Qu'est-ce qu'elle a oublié ? Elle observe encore une fois le bout de papier... Elle avait dessiné le perron, les pigeons, le soleil et le joli parc. Mais, mais , mais, mais, il manquait quelque chose.
Petite moue, pour faire comme si on réfléchissait trop. Puis..

« Ah! Et des arbres aussi... » Ouais, des arbres, aussi. La langue entre les dents, son visage est crispé par la concentration, ses sourcils froncés. Elle pose avec beaucoup de concentration la mine grasse de son crayon à pap...

" NELLAAAAAAAA!!!"

Crac. La mine se casse et salit l'adorable petite fantaisie qu'on pouvait découvrir sur la feuille blanche. Maintenant, ça ne ressemble plus à rien.
Plus à rien. Dire qu'elle avait retourné le quartier pour trouver un simple crayon.

Soupir, bulle d'exaspération qui éclate au moment même où elle ouvre la bouche et échappe une énième bouffée de fumée. Nella agite la clope -tenue entre deux doigt- pour faire tomber sa chevelure cendreuse, tire une dernière taff et , une fois le mégot écrasé, fout le dessin froissée ainsi que la cigarette dans sa poche.
Elle ne jette jamais rien lorsqu'elle est à l'extérieur. Depuis longtemps, elle a refusé d'être comme les autres, refusé d'être une responsable de plus dans un monde devenu déchetterie.

Geste pour épousseter son manteau noir, elle plisse son petit nez sous le joug du froid, s'accorde le droit de ranger une mèche de ses cheveux derrière son oreille gelée. Nella est assise au bord du toit de la résidence, et ses yeux de chat critiquent l'immensité de cette jolie horreur industrialisée.
Paysage..du gris, du blanc, rien, pas grand chose. En dessous,le son d'une vaisselle qu'on brise, quelque part vers la gauche le croassement des corbeaux, le vieux Brizmerk, qui, maugréant de par son affolante nostalgie, boite de ses trois jambes dans la ruelle que certains enfants appelaient la route des tipis (parce qu'avec les grosses poubelles ils s'amusaient à créer des abris d'indiens. Et puis, les indiens, elle aussi elle aimait ça. Elle savait pas trop ce que c'était, mais elle avait déjà entendu des histoires d'indiens : ça disait que c'était des bonshommes à la peau rouge et avec des plumes partout sur le corps (fulala de suite votre esprit étriqué, pas dans ces endroits LA!) et avec de la peau de bête et avec des danses bizarres..y'en a qui disaient que c'était une fausse histoire. Que les indiens n'avaient pas existé. Mais c'était pas vrai, parce que les anciens gros bouquins en narraient l'existence, à ce qu'on disait..)
Et le bruit des sirènes de police aussi..mais ça, c'était constant. Comme un bourdonnement d'ailes trop pourris, comme un cri qui...

" BORDEL DE MERDE, NELLA !"

En fait, ce cri, il vient de tout en bas.

Elle lève les yeux au ciel, et finalement, se redresse.

"J'ARRIVE!!!"

"GROUILLE TOI ON VA SE FAIRE TUER!"

C'était davantage au sens littérale que figuré, les concernant.


Nella fourre une main dans sa poche, de l'autre elle saisit une valise noire, avant d'envoyer un coup de pied dans quelque chose d'imaginaire . Un indien, peut être.

Mama Mia.

III. Preuve que la caboche est plus précieux que le coeur...non?

C'est la cinquième fois qu'elle fait ça sur le terrain. Y'en a qui disent que jamais on ne peut s'y habituer, mais Nella, elle, avait déjà pris le pli. Les deux enfants en gabardines sombres, au dessus d'un entrepôt abandonné et une valise ouverte. Les gabardines sombres, c'était pour ne jamais être plus clair que le par terre du toit, quant à la valise...
Clic clac, une fois ouverte il faut vite monter l'arme, prendre le viseur, vérifier les balles..Petites mains froides contre le métal noir, à la manière de la formica à la solde de sa reine. Ensuite, elle s'allongeait sur le ventre et, comme l'arme était un peu trop grande pour elle, Nella faisait tenir le canon sur un trépied prévu à cet effet. Tout était calculé.
Chez elle, les exécutions étaient différentes, car ces fils de chien qu'elle ne connaissait pas, elle les plombait sans utiliser de laser. Quand on peut pas suivre la couleur du regard..on doit s'adapter, et tout faire pour être au même niveau que les autres. L'enfant à ses côtés, il était une simple roue de secours, histoire de finir le travail si quelque chose tournait mal.

Ses yeux sont sur le viseur donc, qui lui même est centré vers les carreaux, et elle attend . Elle sait que , lorsque l'homme passera, elle ne devra pas se louper. Elle n'aura pas de seconde chance. Trente minutes s'écoulent..dans un silence, un complet silence. Y'a pas même de vent, plus les gyrophares des flics, aucune citadine pour rappeler son Paolo adoré. Rien, que dalle. Et puis, soudain, c'est le signal. L'homme passe. Son coéquipier de treize ans sursaute, mais pas elle.
Non, pas elle. Son oeil gauche se ferme pour éviter la parallaxe , ses doigts glacées se crispent au fusil..

"allez..allez..." chuchote-t-elle. Elle vise la tête, vers le front, un peu plus haut qu'entre les deux yeux, il n'y avait que peu de chance de se louper. Mais il est de profil, c'est mauvais.

"tournes-toi..." c'était pas le coeur qu'on privilégiait, malgré les idées reçues.
Pof, l'homme jette un regard inconscient vers la vitre et..



fssshht. Une tâche noire, et un petit morceau logée dans une cervelle.

IV. Ca pousse, mais ça réfléchit moins, et au final, y'a rien qui change.


Et voilà que Nella, elle a grandi. Et voilà que Nella, elle a suivi son maître sans jamais gronder, sans jamais montrer les dents. Les escapades sur le toit durant les heures de service, le temps où tu avais encore un don pour le dessin..c'est terminé tout ça. La queue entre les jambes, c'est le postérieur qui traine à terre, quasi une invitation à te faire prendre par derrière (fuuu, pardonnez ma vulgarité.) Oui mais voilà, aujourd'hui Nella, qu'est-ce que tu fais quand il ne te siffle pas ? Quand y'a plus aucun boulot pour toi ? Qu'est-ce que tu fais quand, la laisse tenue en gueule , tu t'attends à ce que l'homme qui t'a domptée t'accorde une sortie de plus.
Hein? Tu fais quoi mon coeur ? Hormis te servir un verre de lait, hormis coucher très rarement avec les anciens de ton cher pensionnat, que fais-tu ?

En réalité, c'est vrai, il y a toujours du travail pour t'occuper. Du moins pour l'instant.
Comme aujourd'hui, à la gare, n'est-ce pas ? Et, parions que, tu ne ressens pas de remords?

Les souvenirs vont et viennent, prenant le premier train pour ne jamais donner de promesses de retour. Et vous, fines bottes noires, sur le sol impeccable qu'on ne sent être que terre -car de là les vermines forniquent à tout va- vous avez donné le ton avec vos talons. Un sacré coup de ripaton au cul d'une existence depuis longtemps leurrée, mauvaise routine. Tu tiens dans ta main droite un gros attaché-caisse noir. Tu tiens entre tes deux doigts de la main gauche une clope quasi bouffée jusqu'à l'os. Rictus, glissé là au moment où tu renifles par circonstance. C'est bien loin de convenir à une princesse..mais ça ira, vu que toi, tu es le valet. Gros manteau noir, où la capuche fine est rabattue, cache tes cheveux, ailes de corbeau repliées. Sur le quai, t'es pas la seule à attendre. Mais y'a personne qui te regarde plus que de du, y'a personne qui se pose la question de savoir ce qu'il y a sous les habits. Se fondre dans la masse, passer inaperçue, mais surtout, être trop banale.. C'est le pied pour une introvertie telle que toi.
En véritable garçon manqué, tu as troqué les jupons pour une marginalité. Le pantalon te va bien c'est vrai, ça te fait de belles fesses, ça noie un peu tes longues jambes..et puis, on est plus à l'aise avec. M'enfin, tu es loin d'être un canon.. Parce que dans tout..dans vraiment tout chez toi, y'a quelque chose qui cloche. De ta façon de te tenir, jusqu'à tes manières automates, cela fout la gerbe.
Dernière taff, soupire de plus, ultime écrasement d'une clope que tu finis par balancer au fond du paquet presque vide : parce qu'il y a des habitudes qui ne changent pas.
Ton voyage est terminé, tu as fait ton boulot et c'est comme si la valise que tu portais se mettait à glousser tout bas : un de plus, un de plus...
..mais pas le dernier. Maintenant tu rentres chez toi. Tu marches vers la sortie de la gare sans jamais être montée dans un seul train, et ton allure est la même . Pas un pas devant l'autre qui soit plus rapide, ceci donne l'impression que tu soupèses les pavés, comme si, de ce fait, tu pouvais mesurer la distance et espérer arriver plus vite. D'une mauvaise manie directement liée à tes habitudes journalières tu jettes de discret coup d'oeil. Vers les toits, à l'entrée des portes entrouvertes, en direction des voitures teintées.. Et jamais, oh non jamais, n'ôte ta capuche. En dessous de cette dernière, ton visage est attentif -comme souvent-. Pommettes quasi-inexistantes, de grands yeux de chats qui bouffent jusqu'à ce petit nez, posé là, souvent plissé de dédain, accentuant la moue d'une trop grosse bouche...l'air grave te va si mal.

Tes prunelles marrons oublient, le temps d'un court instant, le paysage gris qui t'entoure. Paysage aux gris changeant, qui virent jusqu'au blanc et noir sans jamais te faire comprendre ce que signifie : "le rouge". Car, oui, tu ne vois aucune couleur, tel un chien bien éduqué mais qui reste toute de même un chien; et ce, depuis aussi loin que remonte ces bribes d'images qui te servent de souvenirs.

Tes mains un peu trop grandes, aux ongles un peu trop courts, fouillent dans ton sac et en ressortent quasi immédiatement après une petite clé. Celle de ton appartement.
L'appartement de la diva, celle qui a disparu depuis une plombe dans des circonstances louches, très louches... Eh dis, Nella, tu t'es déjà demandée comment serait ta vie si tu te souvenais de ce qu'il y avait eu avant ?
Pas certain, parce que, en te voyant poser ta jolie valise et ton horrible petit sac noir, tu offres l'impression de plus savoir réfléchir par toi-même. Pur comportement d'une automate incapable de vivre sans se faire dominer. Et c'est si pathétique, parce que ça, tu le sais, parce que ça, tu l'as toujours su.

Mais quand on connait rien d'autre, forcement.

Porte ouverte, très vite refermée et verrouillée. Tu appuies sur un étrange bidule qui se trouve sur la poignet de l'entrée, et ça clignote gaiement..insolite bip bip qui te rassure.

Tu déposes tes doigts contre ton long manteau, déboutonnes le tout et, dans le même lot, fait glisser la capuche de ta chevelure dorénavant dépeignée, qui coule jusqu'au creux de tes omoplates un chouïa saillantes. Tu es toujours très ordonnée, c'est pour cette raison que t'as déjà le cintre à portée de main. L'attirail dans la valise, tu le fous dans un gros coffre endormi à l'intérieur du placard, en prenant soin de fermer à clé. Le petit sac, il restera sur ton lit bien fait.
Rien n'est laissé au hasard.
Sous ton manteau, tu portes un tee-shirt gris. Sur ton poignet, le long barbelé s'agite en rythme avec tes gestes et tes bras nus sont marbrés de trois petites cicatrices. Des trophées de guerre, mais bien moins imposants que ceux sur ton échine. Une fois tes bottes, ton pantalon ôté, voici l'unique moment où tu deviens un peu humaine. Ta bouteille de lait dans le frigo, un verre chipé dans la petit cuisine et tu te postes sur la table, les jambes étendues sur la chaise voisine, ton regard est étriqué par la fatigue..
Un coup d'oeil vers les fenêtres teintées et tu saisis bien vite que le soleil va pas tarder à foutre le camp. Mais tu n'allumes pas la lumière, tu préfères rester dans le noir..comme ça, comme de nombreux jours, comme souvent. La lumière, ca va pas avec ton manteau, la grosse lumière, aussi, ca te fout un putain de mal de crâne, suivi de flash. T'as l'impression de te souvenir d'un incendie, d'éclats dus à des coups de feu que tu te rappelles jamais avoir vu.
Un simple délire, c'est certain. Peut être que le fait de trop canarder t'as foutu le cerveau à l'envers.

Attendez une seconde...est-ce que j'aurai dit : peut être ? Haha.


And... you?


    Nella Dello 110107010900790912
      Votre pseudo : Euh..Nella Leto? (pas saisi, pas futfut pour un sous, pardonnez ;( )
      Age, sexe : 19 ans screugneugneu ! Pi...*regarde dans le miroir*, je suis une fille oui ! enfin..je crois ?
      Avatar de votre personnage : Tifa Lockart de Ravenskar
      Comment avez-vous connu le forum ? Si je me loupe pas je crois que c'était de partenaire en partenaire en partenaire en partenaire... etc
      Qu'aimez-vous/Détestez-vous dedans ? J'aime le contexte, ça change un peu des clichés qu'on retrouve sur d'autres fofo rpg.
      Autres ?
      Citation :
      S'il vous plait, ne prenez pas l'excuse de la dyslexie pour vos problème d'orthographe, afin de répondre de manière déplacée à un membre du staff qui voudrait vous aider.
      Chui un peu dyslexique, c'est grave docteur ? mwhiiiiiiiii *s'enfuit en courant avant de se faire remonter les bretelles* C'pas une grande dyslexie, ce ne sont pas des fautes très graves, mais parfois j'inverse des lettres ou je me goure dans les mots qui se ressemblent, donc je me relis très très souvent (par exemple là j'avais écrit très grâce au lieu de très grave..ça craint j'sais jsais :x )
      Autre hic, je crois que j'ai parfois une écriture un peu..graveleuse (on va le dire comme ca :d ) mais je vais essayer d'être moins crue ici.^^

      => Code ok par Massimo.

      (NAN j'ai pas écrit en ANGLAIS, j'ai copié collé ! /DOUBLESBAFF/)



Dernière édition par Nella Dello le Jeu 6 Jan - 13:06, édité 4 fois
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Nella Dello Vide
MessageSujet: Re: Nella Dello   Nella Dello Icon_minitime1Jeu 6 Jan - 9:20

Nota bene : Sreudédiou... je crois que j'ai fait une sacré connerie. Je viens de percuter que y'a déjà un Leto en attente de validation. Besoin d'un petit conseil, je change donc ? Fiou
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Amy Allesandreli

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MessageSujet: Re: Nella Dello   Nella Dello Icon_minitime1Jeu 6 Jan - 10:08

Bienvenue sur Infam Industry =)

Oui, ça serait pas mal de changer de nom, enfin tu n'es pas obligée mais c'est vrai que ça porte à confusion, donc ça serait mieux quoi. Dis moi ce que tu veux comme nom, je te le changerai !
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Nella Dello Vide
MessageSujet: Re: Nella Dello   Nella Dello Icon_minitime1Jeu 6 Jan - 10:18

Merci. ^^

Si Dello n'est pas déjà pris, cela me tente bien.
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MessageSujet: Re: Nella Dello   Nella Dello Icon_minitime1Jeu 6 Jan - 10:54

fait ~
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Nella Dello Vide
MessageSujet: Re: Nella Dello   Nella Dello Icon_minitime1Jeu 6 Jan - 13:07

Merci.
Moult modif', mais je crois avoir fini..en espérant qu'il n'y ait pas de hic.
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MessageSujet: Re: Nella Dello   Nella Dello Icon_minitime1Ven 7 Jan - 5:39

Oh :3

Et bien je ne te retiens pas plus longtemps chère Nella

Validée ~> Soci del diavolo
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Nella Dello Vide
MessageSujet: Re: Nella Dello   Nella Dello Icon_minitime1

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