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 I almost told you that I loved you [Andy]

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Vesuvio Contini

Vesuvio Contini

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MessageSujet: I almost told you that I loved you [Andy]   I almost told you that I loved you [Andy] Icon_minitime1Lun 4 Oct - 2:34

I almost told you that I loved you [Andy] 102274241 I almost told you that I loved you [Andy] Gil021
If you’re not gonna save me
Please don’t waste my time

(Three doors down)


Il y avait de ces personnes à la présence bien trop envoûtantes, qui restaient ancrées à la peau. Des visages qui se gravaient dans le cœur, jusqu’à en chasser tout les autres. Des corps qui s’entrechoquaient, s’unissaient, comme pour ne plus se séparer. Affection trop forte, dévorante. Lèvres mordues, caresses arrachées, griffées, mots durs, mots doux entre les étreintes, mots cochons qu’elle laisse échapper, cambrée dans sa vulgarité, qui résonnent contre les murs, mots sauvages, bestiaux pour cette étreinte qu’elle souhaiterait dénuée d’amour. Si tout était si simple.

Tout avait pourtant commencé comme un flirt. Un jeu, pour la belle fille des rues, ennuyée des hommes trop vulgaires, attirée par la feu qu’elle avait vue briller dans ses pupilles, par l’éclat de son visage sombre, désireux de se découvrir ce que cachait sa silhouette obscure, coup de tête, histoire sans importance, qu’était ce cela qu’un homme de plus dans son lit, entre ses draps, entre ses jambes écartées, catin souillée qui se donne pour une promesse d’exotisme, de renouveau, pour une distraction à travers cette éternelle chute qu’était la sienne, comme un désir de se laisser corrompre toute entière, par le premier inconnu qu’elle laisse entrer dans sa chambre, tandis qu’elle lui griffe le dos, cambrée sous le poids de son corps. Une étreinte. Poursuivie, répétée. Les rencontres qui se succèdent, tandis qu’elle s’accroche, obstinément, idiotement, sa peau humide qui glisse contre la sienne, sa présence ancrée en elle, l’obsession qui se grave peu à peu, trop lourde la solitude qu’il faut combler à tout prix. Elle sait qu’elle ne devrait pas. Combler tout cela par pelletés d’égoïsme, le mener à sa perte sans se soucier des conséquences. Elle sait qu’elle ne devrait pas.

Elle sait qu’elle finira par le blesser. Cruelle, indubitable fin, qu’elle ne cherche à éviter, plongée toute entière dans le mal qui l’anime, et balayer les bons sentiments, les couches d’amour et d’affection si superficielles, passion dévorante, tandis qu’elle s’accroche à lui, que ses lèvres mordillent son oreille, sa nuque, comme pour mieux le faire sien, pêché charnel, pêché d’amour, dévorant, destructeur. La fidélité, la tendresse ne sont que de vaines chimères. L’amour c’est se détruire l’un l’autre, se perdre à deux. L’amour est le sentiment le plus cruel qui soit.

Et tout plutôt que de se complaire dans leurs mensonges, que de feindre tout ce qu’il faudrait laisser voir, affection, fidélité, confiances, tant de choses vaines, inexistantes, tout aussi souillée qu’eux est-elle, et pourtant elle tente d’admettre ce pêché, cette fleur flétrie, pourrie, qui croit à l’intérieur d’elle, rongeant sa chair, ses os viciés jusqu’à la moelle, pourriture qui croit indubitablement, et dans laquelle elle l’entraîne, sans se soucier des conséquences, toi et moi mon amour, jusqu’à la fin, jusqu’à la destruction. Te faire tomber avec moi, pour combler un instant la solitude qui me dévore. Te teinter de ce pêché, te laisser goûter à cette souillure que j’accepte, fait croître, dans l’espoir de valoir un peu plus qu’eux. Tout aussi sale. Simplement un peu plus vraie. Te teinter des trainées sanglantes de mon cœur obscur, dévorer ta bouche, ton cœur, ton être tout entier prisonnier dans mes filets. Si ce n’avait été que cela.
Jamais elle n’aurait dut tomber amoureuse.

Addiction à présent trop forte, dont elle ne pouvait se défaire. Jamais elle n’aurait dut. L’accueillir trop fort en son cœur, trop grande était la place, les espoirs dans lesquels elle s’était perdue, noyée, mais… espéré quoi ? Il n’y avait pas d’avenir pour une fille des rues, une fille de l’air et du bitume, brûlante dans le rouge passion de sa robe, de ses lèvres, se consumant à grandes flammes, envolée la fille de l’air, prisonnière de sa fange, le corps pourrit prêt à être abattu au fond d’une ruelle, le cadavre pourrissant au milieu de la fosse publique, personne ne pleurerait une catin déflorée, triste putain, triste réalité dont ils ne voulaient guère, à l’image de la souillure, de l’avidité et de la corruption d’un monde. Une pute ne tombait guère amoureuse. Une fille des boulevards, une danseuse des rues à la lueur blafarde des réverbères ne s’attachait guère. Trop tard. Trop loin. Trop fort. Il n’y avait plus de place pour l’amour dans ce cœur atrophié.

Encore dévêtue sous les draps, le cœur teinté de sueur après l’amour, sa lèvre vient mordiller son oreille. Caresse taquine, tentatrice, tandis qu’elle lui susurre les mots longtemps préparés, loin des « je t’aime » ou des « reste avec moi ».

-Dis moi… as-tu déjà aimé ?

Des rumeurs qu’elle a entendues à travers les rues de Venise. Des paroles soufflées ça et là qu’il faut creuser. Cruelle, immonde stratégie. Le blesser comme pour mieux l’éloigner. Comme pour se protèger elle-même. Mettre fin à une souffrance qui ne la blesserait que d’avantage. Faible et triste Lilith.

-As-tu déjà perdu quelqu’un que tu aimais ? Là tu déjà laissé… souffrir ?

Et par ses paroles c’est aussi toi que tu frappe. Ta chute est la sienne.

-Un certain… Connie peut être ?

Cesse cette mascarade hurle ton cœur. Mais il est déjà trop tard pour cela.

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MessageSujet: Re: I almost told you that I loved you [Andy]   I almost told you that I loved you [Andy] Icon_minitime1Jeu 28 Oct - 8:03

    Tu ne te rappelles plus, de comment c’était…avec une femme. Ces formes généreuses, tellement différentes de lui, qui se cambrent sous tes caresses, sous tes sourires que tu ne contrôles même plus. L’alcool est l’ennemi de l’amour. Tu ne te rappelles plus l’emboitement, l’enchainement tellement parfait de ton corps dans le sien, comme si tu étais né pour cela. Procréer. Aimer à en hurler. Des mouvements tellement simples, tellement parfait…c’est à croire que l’amour est facile. C’est à croire que l’acte est docile, futile, tellement banale entre-autre. Et pourtant, tu sens cette chaire si félinement différente de lui, ses ongles qui s’entaillent dans ton dos. Tu te perds. Tu y prends gout, comme si ce n’était qu’une nouvelle première fois.Mais tu ne peux nier le fait que c’est différent. Même s’il fait chaud dans son corps, même si le tien si sent bien…ce n’est pas pareil. Ce n’est pas cette magie. Ce n’est pas ce souffle saccadé à ton oreille, non, ce n’est pas lui. Tu te berces d’illusion, mais cette femme devant toi, ce n’est pas Connie. Ca fait mal, n’est-ce pas ?
    Tes lèvres s’accrochent aux siennes, bestialement. Ses mains se perdent sur ton corps, ne sachant où s’agripper alors que tes coups se font de plus en plus violents. C’est chaud, vraiment trop chaud. Tes mains se perdent sur son corps, à elle. C’est tellement différent. Tu ne reconnais rien. Pauvre débutant.

    Et tu cherches, tu cherches ce point qui le/la ferra hurler de délice, son corps cambré au tien.
    Tu te leurres d’illusion. Et même si la passion t’envoute et que l’envie t’emprisonne dans son corps… Ce n’est pas Connie.

    Alors elle hurle, son corps se crispant soudainement, ses ongles attaquant ta chaire. Tu ne tardes pas à venir. Un dernier coup de reins. Juste un dernier.

      -Dis moi… as-tu déjà aimé ?


    Connie.
    Sa voix est sucrée à t’en glacer d’effroi. Tu ne bouges pas, ne répond pas à la question, le visage perdu dans le plafond. Elle vient de mettre le doigt sur ce qu’il ne faut pas. Elle vient de mettre le doigt sur qu’il ne faut absolument pas ! Et te retournes sur l’autre côté.
    La culpabilité qui t’envahis, t’écrase presque les poumons…Mais tout ça n’est qu’une image. Tout ça n’est pas réel, hein ? Et pourtant, regardes-toi, tes cheveux ruissellent encore de ta liaison à son corps. Tu viens de lier à ton âme à la sienne, et tu nies le fait que tu puisses être innocent…Es-tu stupide Andy ? Tu n’as pas de réponse, même si l’alcool a été là, même si elle est parfaite…

    Tu n’es qu’un connard.

      -As-tu déjà perdu quelqu’un que tu aimais ? Là tu déjà laissé… souffrir ?


    Et elle te blesse avec ses phrases qui tombent justes à chaque fois. Ca fait mal, arrêtes. Je sais, je sais très bien…alors arrêtes. Mais tu ne peux tout simplement pas répondre…parce que d’une manière, ça te fera penser à Connie…et tu ne veux pas. Tu ne veux pas penser à lui, à tout ce qui s’est passé. Tu fermes alors les yeux, pitoyable enfant qui croit que ça va arranger les choses.
    Que ça passe, ça va passer.

    Mais même avec ça, même si tu ne veux y penser…Il y a toujours la plaie béante de ton cœur.
    Alors tu n’oses affronter son regard ; ni la toucher. Terriblement faible, te sentant terriblement sale. Non, tu ne dois pas réfléchir comme ça. Ne reportes pas la faute sur les autres, Andy ! Tu n’es qu’un connard qui ne tient pas l’alcool. Tu n’es qu’un gay qui n’acceptes pas le faite d’avoir re-tester l’autre bord… Et tes dents qui grincent. Foutu sommeil, viens !

      -Un certain… Connie peut être ?


    Et tes yeux qui s’écarquillent. Comment ça ? Tu te retournes, frôles son corps, ses formes tellement proches des tiennes. Tes mains viennent fermement tenir sa tête. Froideur dans ton regard. Froideur dans le moindre de tes gestes. Elle vient de prononcer le mot tabou et de la pire des façons qui soit permise : soit après avoir accomplis l’acte. Et tes dents qui grincent. Quoi ? Répètes le nom que tu viens de lâcher. Tes mains qui ramènent la tête de la demoiselle si près de toi. Ton cœur qui tambourine, pourquoi, pourquoi sait-elle. Elle ne devrait pas, non personne ne devrait savoir. Parce que si ça se sait…ça sera sa perte. Ca sera son monde qui s’écroulera comme un vulgaire château de carte. Et cette catin aux formes aguicheuses, cette femme si délicieusement ravissante…savait. Pourquoi. Pourquoi ?! Et tu espères qu’elle fabule, qu’elle n’a juste eu vent que d’une part de l’histoire…Mais ces dires sont biens trop exactes. Alors tu fulmines, d’abord intérieurement. Voilà Andy, tu n’es qu’un sombre cretin qui ne peut même pas sauver la personne la plus importante pour toi. Puis, extérieurement…

    - TAIS-TOI !

    Que tu lui hurles, le regard terriblement froid, les dents retrousser.

    - TU…TU NE SAIS RIEN. RIEN DE CETTE HISTOIRE.

    Et même derrière tes yeux remplis de détermination, tu sembles triste, Andy.




I almost told you that I loved you [Andy] Gilbert
/ Part se pendre parce que j'ai pas trouvé de petites images trop choupis de Lilith & part aussi écrire un bout de Rose <3/
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Vesuvio Contini

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MessageSujet: Re: I almost told you that I loved you [Andy]   I almost told you that I loved you [Andy] Icon_minitime1Mar 14 Déc - 15:35

Et qu’elle est douce la victoire qui approche à grands pas, cruelle excitation qui se saisit de toi, qu’elle est rude l’amertume alors que la cruauté t’entaille la langue, et hurle donc catin, soit tigresse cambrée sous lui, sois monstre prêt à le dévorer dans ta rude soumission, sois animal à t’en arracher le cœur, hurle donc, sans artifices, plonge dans les délices de ce vice corrompu, plonge dans les horreurs d’une vérité qui te tiraille, dans ce corps qui fouille le tien, et vibre donc, femme passionnée, femme viciée, sois toutes celles qu’il n’aura jamais, offre lui l’amour et les cris de jouissance que les autres ne recevront pas, que le sperme se mêle au sang dans un ectasie qui t’arrache les veines, que la chair s’entaille, souffre donc monstre, souffre, qu’il te transperce de part et d’autre, le cœur n’est pas encore atteint, sois sale, plus vile que jamais dans ta robe de chair dénudée. Que les lèvres de la bête aux aguets se rapprochent enfin de sa gorge, oh, tu as attendu ce moment comme un caprice, tu l’as observe, ce beau diable aux yeux d’or, tu as suivi les rumeurs, les mots que d’autres ont su te murmurer, fruit du hasard que tout cela, que quelques mots qu’une bouche lascive laisse échapper, lorsque le corps se relâche entre les draps après l’amour factice, des gens hauts placés auxquels tu as ouvert l’Eden corrompu de ton étreinte, des gens qui lui ont fait du mal, tu as des noms, des visages, le mot tabou au coin des lèvres, Connie, Connie, peut importe cette tragédie dont tu n’as que l’écho, peut importe sa douleur, à présent tu ne veux que la chute de sa chair liée à la tienne, ses cris d’agonie tandis que tes ongles lacéreront son dos, plus fort amour, plus fort, écorche moi, déchire moi, fais moi oublier, fais moi monstre, fais moi bête, que mes cris noient ceux d’un cœur dont je ne veux plus. Mais tu ne me perds pas assez encore, mes jambes n’entourent pas assez fort tes hanches, mes lèvres ne mordent qu’à moitie les tiennes, jouissance trop frêle, trop rapide, il me faut plus. Alors tombe. Hais moi, jusqu’à en crever, mords moi, frappe moi, que ma chair ne soit que plaie, brise chaque parcelle de ce corps qui te dégoute. Mais tombe.
Moi je te ferais mal à en crever. En espérant que tu sauras me rendre la pareille.

Alors tu souris, lorsque ses mains saisissent ta tête, lorsque son regard se fait violence, envolee sensualité, ce n’est plus l’homme inexpérimenté que le désir et l’alcool embrument, c’est un regard cruel qui te transperce là, un regard que la cruauté habille, un regard de tueur, alors, combien en as tu vu tomber de ces yeux là Amour, un regard qui fait frissonner, tandis qu’elle sourit, immonde et provocante ma douce, tu cours à ta perte, à la sienne, tu détruis, tu fais mal, tu cherche les mots qui frappent, les sourires qui enragent, et tu n’as que cela, que ce sourire immonde à lui apposer, qui respire l’affront et l’amusement, tandis qu’en toi bouillonne la haine, tandis que l’acide ronge, c’est si simple de se refugier dans ce dégout là, d’entrainer dans ton sillage, que tu crois sans rédemption, tout ceux qui te touchent, si simple de nier en bloc cette humanité sur laquelle tu crache, plutôt que d’accepter la tienne, que d’enfin laver ce corps que les fautes souillent. Détruire plutôt que reconstruire. Tendre Requiem.

Et tu hurle, tendre amant, tendre cruel, tu te rétracte, tu montres les dents dans l’espoir d’oublier tes plaies au cœur, oh le réveil est dur, et voila la tentatrice qui se fait diablesse, lorsque ses mots résonnent, poussant plus loin ce jeu dangereux déjà trop loin entamé, et il pourrait te tuer ici, dans cette chambre sale, entre les draps encore humides de vos fluides, serrer ta gorge à mains nues jusqu’à ce que les vertèbres claquent, que les lèvres bleuissent, que les yeux convulsés laissent échapper leur dernière lumière, tandis que tes cris seuls résonneront dans ce lit, cruelle étreinte que celle que la mort frôlant tes lèvres, il pourrait donc, et pourtant… C’est bien ta voix qui résonne, presque tendre, tandis que ta main caresse sa joue. Provocation quand tu nous tiens.

-Vraiment ? Comment peux tu en être sur ?

Silence. Qu’il s’infiltre donc le doute. Qu’il dévore chaque parcelle de ton esprit, jusqu’à la démence. C’est mon visage qui bruler ton sommeil à présent.

-Et si je possédais… des visages ? … Des noms même ?

Information oh combien précieuses, coup quitte ou double qu’elle joue là, alors, en aura-t-il besoin ?

-Mais je me tairais donc, mon amour.

Tes lèvres effleurent les siennes en un contact bref, aguicheur.
A en crever, Amor.

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