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 1. 2. 3. Nous irons chez moi. 4. 5. 6. Cueillir du WHISKY =D |U.C

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Anonymous
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MessageSujet: 1. 2. 3. Nous irons chez moi. 4. 5. 6. Cueillir du WHISKY =D |U.C   1. 2. 3. Nous irons chez moi. 4. 5. 6. Cueillir du WHISKY =D |U.C Icon_minitime1Jeu 28 Oct - 6:08

Hello, my name is Valentina. Valentina Orsini.


    1. 2. 3. Nous irons chez moi. 4. 5. 6. Cueillir du WHISKY =D |U.C Splatter
      Prénom(s) : Valentina.
      Nom : Orsini.
      Surnoms : Ceux du bar l'appellent Patronne. Ou Patron parfois, ça dépend des jours et de l'état de certains. N'empêche que Valentina aime bien qu'on l'appelle comme ça, elle se sent puissante. Après, le plus connu, c'est quand même Pute à frange. Pas qu'elle affectionne particulièrement la chose, mais ce petit surnom lui est venu naturellement.
      Date de Naissance et âge : Née un 2 Octobre 2179, âgée de 21 ans.
      Nationalité : Italienne.
      Groupe : Civile speranza.
      Manie, habitude, tic : Des manies ? Pour sûr qu’elle en a, des manies de pouf. Comme mâcher du chewing-gum la bouche grande ouverte, et faire une grosse bulle avec avant de l’éclater au nez de la personne à qui elle parle. Après, il y a le genre L’Oréal, parce que je le vaux bien. qui consiste à passer sa main dans ses cheveux pour rejeter sa frange en arrière.
      C’est dur d’être une femme.

      Profession : Valentina Orsini, la chère patronne de ce bon vieux petit bar. Mais oui, vous savez, celui qui se trouve à l'angle d'une rue, qui ressemble même pas à un bar d'abord. Le truc tout miteux, tout pourri, qu'on pourrait croire hanté, et qui répond au doux nom de Tiramisu.
      Sous Groupe : Aucun.


Hey ! Stay here ! Don't run away ! Believe me, I'm a lady TT


    Pute à frange ? Ciel, mais pourquoi un tel surnom ? Monde cruel. C’est un problème de style, c’est ça ? Parce qu’on arrive à voir les trois quart de ses seins, parce qu’elle aime bien montrer ses fesses, parce qu’elle porte du rouge. Avouez que c’est la couleur dominante de la prostitution. Valentina, c’est comme une grosse tache de ketchup. Faut’ que ça flash, faut’ que ça se voit. Tout bien réfléchi, sous trois tonnes de make-up, c’est l’idéal de la féminité en exagéré. Mais rassurez-vous parce que tout ce que Valentina fait, tout le monde peut le faire. Déplacer sa graisse en rampant d’un trottoir à un autre, la robe au ras de la culotte, et le cadavre de la bouteille de whisky à la main. Vous imaginez la scène, à se demander qui est vraiment le cadavre. Enfin, il n’y a rien de plus anodin, c’est tout simplement ce à quoi elle ressemble au quotidien. Ou presque. Lamentable dit-on parfois.

    Vous parlez d’une femme. Ne vous fiez pas à ces jolies tenues, celles qui sortent tout droit du marché aux puces. C’est une feinte. Elle aura beau vous dire que c’est de la haute couture, ne la croyez pas : 5 euros à La Foir’Fouille. Ou un magasin qui s’en rapproche. Et oui, tu trouves de tout si t’es malin. Ca veut jouer la lady mais… A quoi bon cette mascarade ? Tout le monde a bien saisi que t’étais radine, Valentine. Valentina, l’autre, c’était pour la rime.
    On ne parle pas de classe, et encore moins de femme fatale. Les décolletés sont trop plongeants et les bas bien trop courts, y’a comme un petit côté vulgaire dans le tout. On aurait pu dire sexy. On aurait pu… Si elle ne paraissait pas si sale. Ses vêtements sont tachés de ci de là, d’un peu d’orange, de vert et de jaune. Sans nul doute quelques résidus du repas de la veille. Quand à l’odeur ? Un subtil mélange de vomi et d’alcool. Très fin, exquis. Une senteur bien imbibée sur ses petites robes, frivoles. Et même sur sa peau, un brin visqueuse parfois, vous devinez pourquoi. Mais le pire, ce sont les cheveux. D'un joli blond, oui. Mais on y fait guère attention, cette tignasse... Épaisse, emmêlée, toujours le même drôle de parfum. Et quand c'est pas ça qui vient vous frétiller les narines, c'est son affreux shampoing à la lavande. Berk.

    Valentina est négligée. Ca se remarque, ça se voit et ça se sent. Les aléas de l’alcoolisme. Cherchez et vous trouverez… Difficile de parler propreté avec celle-là. L’eau ? Trop cher. Pas le temps et la patience de se laver, pas tous les jours du moins. Sauf que quand c’est une ivrogne qui tient un bar pour ivrognes, forcément, le résultat n’est jamais bien bon. De quoi en décourager plus d’un. Jeune femme mature et attrayante, on y croit. Elle y est presque, à sa façon.
    Et puis on l’imagine bien, la démarche lourde, qui se veut assurée, mais qui reste au final bien instable. La faute aux talons. Quand tu sais pas tenir en équilibre sur des bâtonnets de dix centimètres, et bah t’en met pas… Mais, pensez-vous ! Allez donc le lui dire, comme si elle n’était pas déjà assez grande sans ça. Un mètre soixante-seize, ce n’est pas rien tout de même. Mais non, madame doit à tout prix être montée sur ressort, pour l’allure cocasse. Et parce que ça fait « classe ». Bon Chic Bon Genre.

    Malgré ça, qui n’aimerait pas lui ressembler ? Valentina sobre et lavée ? Un miracle, j’approuve. Mais plus sérieusement, la jeune femme n’a rien à envier à personne. La taille fine, et la poitrine qui ressort. Bien roulée quand même. Valentina, c’est une dure, une vraie. La fille des bas fonds, la bad girl. Voyez-vous, ce n’est pas le genre de fille qu’on a envie de câliner. On préfère se la faire, mais de loin. Parce que de près, l’odeur et l’allure font plutôt fuir. Trop de références au vomi. Puis, visez un peu la tronche : elle a un côté un peu trop intimidant qui peut en faire fuir un grand nombre. Toujours avec ce sourire espiègle, voir même carnassier, prête à vous bouffer.
    Une dernière chose à savoir, mais dont vous pourrez très bien vous rendre compte seul. Valentina, c’est aussi de la tendresse, de l’amour. Et son regard s’adoucit bien vite lorsque ses yeux de merlan fris viennent se poser sur ses bouteilles. Ses précieuses bouteilles. Les femmes de sa vie.


Anyway, do what you want, I prefer my whisky ♥


    Faut’ nettoyer les verres, jeter les cadavres de bouteilles. Ils ont bien bu la nuit dernière. Les tables sont un peu sales, deux ou trois petits coups de chiffons par ci par là… Ca fait toujours bizarre, le matin, de voir ce petit commerce vide. Juste la patronne, avec sa gueule de bois, qui range pour les prochains clients. Au Tiramisu, on reste ouvert 24/24 sauf le matin, pendant une ou deux heures, le temps pour remettre un peu d’ordre. Et recommencer la java.
    C’est convivial comme bar. Avec les habitués, c’est une grande et belle famille. On s’y sent bien, tellement bien qu’il y en a toujours quelques uns qui s’endorment le soir au coin d’une table. Et la patronne ne dit jamais rien. Parce qu’elle est dans un état pire que les autres. Valentina Orsini. Brave femme, quoiqu’un peu brute. Mais on l’adore. Sauf quand elle vous régurgite sur les shoes. Ce qui arrive, relativement souvent. Mais y’a les ristournes, les réductions, la tournée gratuite du vendredi… Ca compense. Et puis le Tiramisu est bien placé, à l’angle d’une rue. Délabré, un peu perdu. On y est tranquille, et si rien ne va plus, la patronne vous offrira toujours un verre gratos. Elle est gentille Valentina.

    Quoiqu’un peu radine. On fait pas mal d’économies chez Orsini, sauf en ce qui concerne la boisson. J’vous demande pas pourquoi hein ? A à peine 21 ans, vous parlez d’une vie. Elle peut nous rappeler tous ces vieux ivrognes, dans la misère, qui n’ont que pour seule famille l’alcool. Sauf que Valentina n’est pas en reste, elle a du fric. Un bon paquet, le tout bien caché dans la caisse enregistreuse, et le premier qui y touche : y’se fait buter. C’est pour ça qu’on l’aime Valentina, elle prend si soin de toutes ces petites choses importantes, qu’elle aime. Et plus elle en a, et mieux elle se porte. Alors elle est maligne, Pute à frange. Sous ses airs de midinette et de vieille alcoolique, elle sert à boire. Et quand tout ce beau monde est bien bourré, et bah elle remplace la vodka par du jus d’orange, et elle fait taxer un max. Mine de rien, ça rapporte, et ça augmente sa propre consommation. Faut pas se leurrer, Valentina, c’est la première cliente de sa propre entreprise.

    Et personne a le droit de se plaindre, et surtout pas de mettre sa parole en doute. C’est un sacré numéro, un caractère de chien. Celle-là, il vaut mieux l’avoir dans la poche. Juste, elle démarre au quart de tour, pour trois fois rien. Tremblez pauvres petites gens ! Car personne ne peut être épargné. Valentina, elle est comme ça, un peu soupe au lait, sans jamais faire de différences. Amis, pas amis. Mieux vaut ne pas trainer dans le coin quand ça commence. Un brin turbulente comme femme, violente, brute. Rustre. Je vous l’ai dis : c’est la patronne. Et les gens le savent bien. Valentina a l’habitude d’être respectée, et elle en impose. On ne lui parle pas n’importe comment. C’est qu’elle a ses principes, malgré tout. Il y a des choses à ne pas dire, à ne pas faire. Par exemple, il ne faut jamais critiquer la qualité du service, et éviter de toucher à certaines personnes. Elle a horreur de la violence. Etrange pourtant, quand on sait qu’elle est la première à l’utiliser. C’est qu’elle serait bien du genre à vous assommer avec une batte de baseball avant de vous laisser tranquillement pourrir dans un coin.

    Pitoyable. N’est-ce pas ce qu’on pourrait penser en la regardant ? Valentina dédie sa vie à l’alcool. Tant et si bien qu’il ne reste que très peu de place pour le reste. Pauvre fille. Alcoolique et vulgaire. Il n’est pas rare qu’on l’accoste dans la rue pour lui demander combien elle prend. Ce serait la vexer de lui demander un truc pareil. Pour vous expliquer, Valentina pense être une lady. Une jeune femme mature, attrayante, à qui l’on baiserait presque les pieds pour ses bonnes grâces. Vous et moi savons ô combien l’on est bien loin de la vérité. Mais Valentina, ça, ne le sait pas. Qu’elle ressemble plus à une catin qu’à une duchesse. Mais tiens, catin, c’est un bon mot si vous voulez vous moquer d’elle. Parce qu’elle ne sait pas ce que ça veut dire, alors vous pouvez bien l’appeler comme ça, elle ne comprendra pas. Parce qu’on ne peut pas non plus dire que la demoiselle soit particulièrement instruite, si vous voyez ce que je veux dire. Mais on ne peut pas naître avec toutes les qualités, que voulez-vous.

    Mais je le dis, Valentina, ce n’est pas une méchante fille. Elle fait peur certes, mais ce n’est jamais qu’une façade. Au fond, on arrive à lui trouver un petit côté attachant. Elle aime bien les gens, même si elle a un peu de mal à le montrer quand elle n’est pas bourrée. Valentina, sobre, c’est un amour. Ou presque. Et en creusant bien, on remarquera que c’est une grande timide, surtout en matière d’amour.


And me? And me?


    Ce qu'il pense précisement de la Mafia
    : La mafia, elle fait tourner la boutique. Ils boivent un coup tous ensemble, y’en a avec qui elle s’entend plutôt bien. Evidemment, c’est chiant, faut faire attention à ce qu’on dit. Et puis il y a bien deux ou trois mafieux qui mériteraient trois paires de claques, surtout ceux qui ne veulent pas payer. Mais à ça, Valentina a son remède. Faire boire, boire, boire, et se servir tout simplement dans le porte-monnaie. Ca ne marche pas à tous les coups, bien sûr.
    Enfin après hein, elle n’en pense pas moins qu’il faudrait virer tout ce beau monde du pouvoir. Les impôts qui augmentent et les autres restrictions du genre, très peu pour elle.

    A t-il déjà eu affaire à la Mafia : En dehors de la relation barman-client, non.


Tell me who you are...


Vous écrirez, en 30 lignes minimum, l'histoire de votre personnage.
(Abordez son enfance, ses conditions de vie, ses amis, sa famille, des anecdotes. N'oubliez pas d'évoquer le coup d'État : comment votre personnage l'a-t-il perçu?)

And... you?


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Amy Allesandreli

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Bonjour ;

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