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 Luna_Mister let me cut your throat ♥ (Terminé)

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AuteurMessage
Luna Lieto

Luna Lieto


Messages : 42
Date d'inscription : 08/09/2010
Age : 31


Luna_Mister let me cut your throat ♥ (Terminé) Vide
MessageSujet: Luna_Mister let me cut your throat ♥ (Terminé)   Luna_Mister let me cut your throat ♥ (Terminé) Icon_minitime1Sam 11 Sep - 4:21

Such a sweet little nuisance…


    Luna_Mister let me cut your throat ♥ (Terminé) Lukiletsparty1
      Prénom(s) :
      Nom :Luna Lieto
      Surnom : Moon.
      Date de Naissance et âge : 19 Janvier 2185
      Groupe : La tapa di fulco.
      Nationalité : Italienne.
      Manie, habitude, tic : La petite à l’habitude de couper une mèche de cheveux à chaque personne qu’elle croise. Plan de domination mondiale vous dira t’elle.



Wanna play ? ♥


    Spécialité
    : Armes blanches.
    Armes qu'il possède : La petite possède diverses lames, petits poignards à lancer, couteaux plus gros pour mettre sous la gorge de ses victimes, souvent repliés dans ses manches (pratique pour dégainer soudainement), dans les poches de son manteaux… Celle-ci les maîtrise avec dextérité, grâce à l’entraînement que Sahwn lui a promulgué et se voit même lanceuse de couteaux dans un cirque plus tard.
    Ses conditions d'entrée dans la Mafia. :Après que sa sœur jumelle ait été prise au service du Parrain, Luna, se supportant pas la séparation, fugua. Elle fut retrouvée au bord d’une route par Shawn qui lui proposa de rejoindre les taupes de feu, et sut vite déceler le potentiel de la petite.



Once upon a time...


-Que fais tu là ma petite ? Une jeune fille comme toi ne devrais pas sortir seule le soir tu sais…

Silence. Un regard qui se lève vers l’homme et le détaille, tandis qu’elle reconnaît sa cible. Un sourire enfantin sur son visage poupin, tandis que d’une main elle caresse le visage de l’homme, geste étrange que la plupart ont l’air d’apprécier, tandis que lui désignant une ruelle sombre, à l’abri des regards, elle claironne :

-Le Monsieur veut-il jouer ?
-Oh je vois, une petite vicieuse…


Il l’amuse cet homme qui la suit gentiment, avec ses mains tentant de se glisser sous son manteau, tant de caresses, de cajoleries dont elle s’amuse, même si celle-ci n’ont guère d’importance, elle n’a pas besoin d’exister à leurs yeux, peu importe leur amour, et qu’il est amusant de les éviter en riant ses mains qui se baladent, tout en les encourageant à venir, qu’ils sont amusants les hommes, à toujours demander la même chose, les hommes dont elles se moquent, qui se disputent ses faveurs, car qui ne pourrait aimer une si douce et délicieuse enfant qu’elle, de ces adorables petites aux bouilles d’anges, qu’on câlinne affectueusement et couvre de cadeaux.
Oh le beau piège des apparences.
Dis sœurette, moi j’ai toujours rêvé d’être une princesse. Prisonnière d’un beau château, avec une couronne de cailloux brillants, et tous pleins d’esclaves, attendant leur Prince charmant. Dis sœurette, tu voudrais bien être mon prince ? Dis, on le peindrait ensemble notre beau château hein ? Dis tu m’aideras… à étaler leur sang sur les murs ?

-Le Monsieur n’a pas été sage du tout…

Troisième personne qui s’élève à travers la pénombre, comme pour le déshumaniser, juste un objet, juste un jouet entre ses mains enfantines.
Prêt à être brisé.

-Le Monsieur ne devrait pas vendre des armes au Parrain…
-Que…


Et s’amuser de son visage livide, tandis que le couteau jaillit, et viens se poser contre sa gorge. Sourire.

-Le Monsieur doit être punit…

Un éclat argenté, un cri qui s’éteint jusqu’à devenir gargouillement imperceptible, tandis qu’une gerbe rouge jaillit du cou de l’homme, le sang rouge vif, le sang chaud qui salit ses mains, tandis que le corps de l’homme tombe à terre dans un bruit sourd. Avec amusement elle observe le cadavre à ses pieds, un peu déçue que le jeu ait déjà pris fin. Regard sans émotion pour la chose gisant à ses pieds qui pousse encore quelques cris inarticulés avant de se taire, oh qu’ils sont bêtes à se débattre ainsi, ne sont-ils pas beau tout de rouge teintés, couleur vive et brillante qui vient teindre le pavé, et tuer sans pitié, sans émotion, sourire d’enfant déshumanisé, après tout que m’importe leur douleur ou leur vie futile.
Après tout, on a pas besoin d’eux, n’est ce pas sœurette ?

Et faire résonner cette voix dans ma tête comme pour renforcer ta présence auprès de moi, être le monde à tes yeux, encore et encore, tant que tu ne me quitte pas… Et peu importe le reste.
Un dernier coup d’œil au cadavre, tandis que rangeant le portefeuille qu’elle vient de lui subtiliser et remballant la lame, après en avoir essuyé le sang la teintant, elle se met à chantonner :

-Ah les crocrocros, les crocodiles, ah les crocodiles, ont mangé le Monsieur, ah les crocrocros, les crocodiles…

A présent il lui faut rentrer, prétendre être allée jouer au grand méchant loup, même que j’ai mangé leurs chassures, soeurette !, tant de mensonges qu’elle invente au fur et à mesure, un jeu de plus entre elles, toi qui es le monde à mes yeux, et peu importe le reste. Et leur incompréhension.

[…]
Deux mains liées envers et contre tout, des mèches frivoles qui se mêlent, tandis que leurs têtes penchées l’une contre l’autre, elles se murmurent des mots qu’elles seules peuvent comprendre, et les doigts qui se serrent, serrent, comme pour ne jamais se lâcher. Seules, ensembles, envers et contre tout, les deux petites filles aux adorables visages poupins, comme deux images qui se mélangent, la réflexion d’un seul miroir. Seules. Ensembles. Sans soucis de leur propre individualité. Luna. Lina. Avalanche de lettres qui se mélangent, se mêlent. Réunies jusqu’à de part leur nom. Luna est Lina. Lina est Luna.
Ensembles elles sont le monde.
Qu’ont t’elle besoin des autres ?

Qu’ont t’elles besoin de l’affection que leurs parents leurs dénigrent, leur père bien trop occupé à faire affaire avec le Parrain, de leur mère qui ne leur prête qu’à peine attention, sans cesse emportée dans le sillage de son mari, des regards condescends de la maîtresse, des moqueries des autres enfants. Choses inutiles, jalouses, qui ne peuvent comprendre l’affection que les unit. Rien que des pions.
Rien que des jouets.

[…]
-Dis sœurette, on ne se quitteras jamais n’est ce pas ?

Un chuchotis inquiet au fond de la chambre, entre les draps entre lesquels elles sont toutes deux blotties. Et peu importe l’abandon de maman et papa, le placement en famille d’accueil, peu importe l’amour dans lequel ils tentent de nous noyer, peu importe le vide, les sentiments, tant que je t’ai toi, ma douce sœurette si intelligente, trop même, celle qui réfléchit sans cesse, orchestre les plans, les mesquineries à faire, quand son esprit s’envole, trop vite, trop loin, reste avec moi, oh reste moi…

-Jamais.

Et elle sourit la petite Luna, elle s’accroche, possessive gamine qu’elle est, et peu importe l’avenir effrayant, les ans qui passent, les bourgeons de formes qui naissent sur son corps et les lendemains qui s’étendent, près à la dévorer. Tant qu’elle est là.
[…]

-Minou, minou…

Et qu’il est mignon le chaton qu’elle parvient à saisir avant qu’il ne s’enfuit, et qu’elle serre fort contre sa poitrine, profitant de la chaleur du petit être, sans se soucier de ses coups de pattes agacés, et qu’il est mignon l’animal au creux de ses bras, ce nouveau jouet, à elle, rien qu’à elle, oh à sa sœur aussi bien entendu, elles ne sont qu’un, sans secrets l’une pour l’autre, ce qui lui appartient lui appartiendra aussi. Et elle sourit fièrement en imaginant l’animal blotti entre leurs deux corps de petites filles, et elle le serre fort, fort, fort, comme pour ne jamais le lâcher, mon chaton, mon jouet, ne pars jamais, jamais, jamais, moi je t’aime tant… Et elle serre, serre, tandis que soudainement un craquement et un couinement étouffé se font entendre. Lâchant avec surprise l’animal, elle constate qu’il ne bouge plus.

-Minou ?

Et elle comprend. Il n’y a qu’un moyen de retenir les jouets.
Cruelle, cruelle destruction.
[…]

Un petit cri surpris, tandis que la fillette se retourne, avant de s’exclamer, effarée :

-Mais… mes cheveux !

Toutes deux munies d’une large mèche blonde et d’un ciseau, elles reculent de quelques pas en riant, avant de claironner joyeusement :

-C’est pour notre arme de destruction massive…
-… on va dominer le monde…
-… prosterne toi devant nous misérable mortelle !


Et elles s’enfuient sur un éclat de rire, les deux petites démones aux visages qui se confondent, similarités qu’elle accentue en portant les mêmes tenues, tout en y changeant parfois quelques détails, des chaussettes roses et noires pour Lina, des noires et roses pour Luna, deux silhouettes qui se mêlent, tout en dominant la foule dans laquelle elles refusent de se fondre, désir qu’elles manifestent à travers leurs vêtements excentriques, couleurs tape-à-l’œil, manches bouffante, avalanche de fourrures et de tissus, de leur cheveux courts qu’elles ont fait teindre d’un commun accord, d’un vert turquoise éclatant, de par la paire de lentilles qu’elles se partagent, teintant un de leurs yeux bleutés d’une teinte dorée inhumaine. Toi et moi contre le monde. Et s’amuser, conspirer, détruire sans se soucier des conséquences, juste des jeux d’enfants, tandis qu’avec fierté elles iront ajouter la mèche à la collection de poupées vaudous s’amoncelant dans la chambre, et piquées d’aiguilles diverses.
Toi et moi contre le monde.
[…]
Que deviennent les rêves qui se brisent ?

Que devient t’elle la petite fille recroquevillée au bord du caniveau, le corps replié sur lui-même, comme une frêle barrière contre le monde, symbole de son refus et de son horreur, elle est partie, elle est partie, ils lui ont prise, elle est partie, comment a-t-elle put ? Et la douleur à l’intérieur, elle est partie, mon cœur, mon âme, mon monde amputés, réduits en poussière, seule, abandonnée la petite fille tandis qu’elle s’était précipitée dehors quand ils lui avaient annoncé la nouvelle, et elle avait courut, courut, ses souliers claquants sur le bitume, courir, courir, fuir cette réalité bien trop douloureuse, fermer les yeux, prise d’assaut par les mots qui déchirent et assassinent, seule, abandonnée, partie, seule, seule, seule. Ainsi tout était si simple ?
Ainsi il suffisait d’un rien pour que tout se brise ?

Bien trop naïve gamine qu’elle était à croire que cela durerait toujours. A ne pas voir. Ne pas vouloir voir.
Et il tremble son corps frigorifié au bord du trottoir, tandis que les larmes viennent se joindre aux eaux tourbillonnantes du caniveau.

-Tu es perdue petite ?

Etonnée elle lève les yeux. Devant elle se tient un Monsieur aux cheveux d’argents et au ton dur. Le regard obnubilé par cette chevelure, elle ne remarque pas tout de suite la main salvatrice tendue vers elle. Qu’ils sont beaux ses cheveux. Presque autant que ceux de sa sœur. Et rien, non rien ne pourrait remplacer celle qui vient de mourir un peu en elle. Mais tout valait mieux que l’humide solitude assise au bord d’une bouche d’égout.
Et elle saisit la main.
[…]
Et puis le temps passe. Le temps des découvertes, d’un monde qui s’agrandit, malgré le trou béant dans sa poitrine, le manque qui la dévore, des cajoleries, des complots, de l’éclat des lames qui tranchent, tandis que Shawn parfaire peu à peu son éducation. Jolie petite fille au centre de son groupe, admirée, câlinée, sans que jamais cela ne soit assez. Pas sans elle. Le temps des retrouvailles, des bras qui se serrent, des mains à nouveaux nouées, cependant quelque chose reste brisé, quelque chose de douloureux, comme un creux entre elle, et ce mot qui résonne sans cesse, peur, peur, peur de la perdre à nouveau, peur de la solitude qui menace à chaque pas. Mais cela tu ne peux lui avouer, douce petite.

Et se mentir sans cesse. Fuir. Comme pour mieux se retrouver.




L’asticot vous salue.


    Luna_Mister let me cut your throat ♥ (Terminé) Faiwhistleyellow1
      Votre pseudo : Sheina.
      Age, sexe : 18 ans, fille.
      Avatar de votre personnage : Luki from Dogs : Bullets & Carnage <3
      Comment avez-vous connu le forum ? Triple compte.
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      Autres ? Ok by Amy


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Dimitri A. Visconti

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[ TUEUR A GAGES ]
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Messages : 380
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Localisation : En train d'astiquer mes bébés ♥
Faite-vous partie d'un sous-groupe ? : Aucun


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Luna_Mister let me cut your throat ♥ (Terminé) Vide
MessageSujet: Re: Luna_Mister let me cut your throat ♥ (Terminé)   Luna_Mister let me cut your throat ♥ (Terminé) Icon_minitime1Sam 11 Sep - 7:04

Re-re-re bienvenue dans notre monde impitoyableee !

Bon. Comme d'habitude, style et fiche splendides, le caractère y est, peut-être qu'on a peu d'informations sur leur vie sans papa et maman, mais c'est presque tant mieux, on se concentre sur les gamines. Les étapes sont rapides, mais fortes, on a conscience de ce qu'elles ressentent l'une pour l'autre; Le physique est peu développé aussi, mais ça suffira je pense.

Ah si, peut-être aussi que elle devient, comment dire, un peu trop TROP psychopathe. Au fond c'est une enfant, et même si le môssieur il a été méchant, ben elle se rend compte que ce qu'elle a fait c'est mal, je pense.. En tout cas c'est comme ça que je la voyait, plus "faire tout très vite pour se rendre compte juste après que c'est une bêtise". Oui, je pense qu'elle sait qu'elle fait du mal. [et pauvre chaton...]

Bref, je n'ai qu'une chose à ajouter : VIENS VITE, LINA ! \o/

Non sérieux, hâte de voir les gamines à l'action.

Validée


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