Giovanna Magnini, la vie c'est comme une boite de chocolats... (fini)
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Sujet: Giovanna Magnini, la vie c'est comme une boite de chocolats... (fini) Ven 27 Aoû - 11:07
Identity
Prénom(s) : Giovanna Nom : Magnini Surnom : Gio, ce qui fait étonnamment masculin (et lorsque l'on parle d'elle de par son surnom, on pense souvent que c'est un homme. Toutefois, elle doit ce petit sobriquet à son frère Alessio.) Date de Naissance et âge : 12 Décembre 2175 ; 24 ans et va donc sur ses 25 cette année Nationalité : Italienne Groupe : Civile speranza Manie, habitude, tic : Giovanna n'a pas de grosses manies particulières si ce n'est d'embrasser la photo de ses parents qu'elle a sur sa table de chevet en leur souhaitant bonne nuit. Elle a prit également l'habitude de changer le collier de son chat Spooky toutes les semaines par fantaisie parce qu'elle trouve cela amusant. Profession : Jeune infirmière idéaliste
Come on ! Let me look at you…
Wanna' understand you, my friend...
And me? And me?
Ce qu'il pense précisément de la Mafia :
A t-il déjà eu affaire à la Mafia :
Votre pseudo : Orchid Age, sexe : 23 ans, féminin Avatar de votre personnage : Sawako de Kimi ni todoke Comment avez-vous connu le forum ? C'est un double-compte, celui d'Erlina! Qu'aimez-vous/Détestez-vous dedans ? Et bien j'aime toujours le concept de mafieux, avec son futurisme léger et les multiples possibilités qui nous attendent. Autres ?Plop by Dimitri
Dernière édition par Giovanna Magnini le Mer 22 Sep - 2:59, édité 3 fois
Amy Allesandreli
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Messages : 244 Date d'inscription : 15/04/2010 Age : 31 Localisation : Lost Faite-vous partie d'un sous-groupe ? :
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Sujet: Re: Giovanna Magnini, la vie c'est comme une boite de chocolats... (fini) Mer 15 Sep - 1:51
Bonjour ;
Où en est lal fiche ?
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Sujet: Re: Giovanna Magnini, la vie c'est comme une boite de chocolats... (fini) Lun 20 Sep - 6:02
My Stories
" Bonjour à toi, toi qui me lis ou qui m'entends. Je suis Fiona, Fiona Sforza Magnini, et je suis morte. Comment cela est possible? Une longue histoire bien peu reluisante que je vous conterais moi même sans doute un autre jour. Mais qu'importe, aujourd'hui, je ne parlerais que d'une seule personne, l'une de mes plus grandes fiertés, ma fille, ma petite Giovanna, ma fragile petite Giovanna. Mais avant de parler directement d'elle, je vais devoir vous conter le plus sombre de mes secrets, celui qui m'a toujours pesé sur le cœur, une ombre qui m'a conduit vers une faiblesse à laquelle je n'aurais jamais dû m'abaisser. J'ai malheureusement payé le prix de ma faute au travers de ma mort, sans aucun doute. Mais pour cela, il va falloir que je vous explique un peu ma situation, enfin... mon ancienne situation.
Je suis issue d'une famille un peu bourgeoise, j'ai toujours eu particulièrement confiance en moi et cela ne m'avait jamais jouer défaut je dois dire. J'étais belle, oh oui j'étais belle et relativement ambitieuse. Mon rêve? C'était le cinéma, je désirais ardemment devenir une icône, le genre de femme pour lesquelles tous les hommes plieraient un genou devant elle. Je dois dire que les choses avaient pourtant bien commencé, je faisais des petits rôles, ma popularité grimpait tout doucement, jusqu'à ce que je croise le regard de Alberto Magnini lors d'une soirée mondaine. Lui était un puissant homme d'affaires qui avaient de nombreux contacts à travers toutes l'Italie, et même les pays voisins. Ce que j'ignorais à l'époque, c'était qu'il était lié de très près à la Mafia, et que c'était d'ailleurs grâce à elle qu'il avait fait fortune, mais j'avouerais que je m'en moquais totalement. Il était fort bel homme, il avait du charisme et une façon très mielleuse de parler, il aurait pu vous vendre n'importe quoi. Ses yeux étaient d'une profondeur qui était pleine de promesse et qui était destinée à vous entrainer dans sa chute. Que je me laisse séduire par ce dernier était presque... inéluctable. Que j'en tombe amoureuse également. Nous nous sommes fréquentés très chastement au début, avant que notre passion nous emporte. Je peux vous dire qu'il était un homme d'une générosité débordante quand il s'agissait... qu'importe. Dans tous les cas, cela nous conduisit au mariage, et très vite je tombai enceinte. Cette surprise me valut de mettre mes ambitions cinématographiques de côté, pour me concentrer sur ma famille naissante. Je pouvais seulement vous dire que je vivais les meilleurs moments de ma vie. J'avais une maison luxueuse, un mari qui visiblement se préoccupait de moi, un enfant en route... rien ne pouvait mieux aller. C'est ainsi qu'est né Alessio, mon fils. Il fut la première grande joie de mon époux... mais étrangement, c'est aussi peu de temps après cela que tout dérapa un peu. J'étais très accaparée par l'éducation de mon fils, et devait vivre avec les absences étranges de mon mari. Je ne me posais très peu de question, bien que ma jalousie me faisait avoir de mauvaises idées. Fondées ou pas, je n'eus jamais le courage de véritablement savoir. Puis je finis par tomber enceinte une seconde fois, une fille à présent. Alessio avait quatre ans quand je lui annonça l'arrivée d'une petite sœur, Alberto lui-même semblait ravi, même si il m'étais facilement de voir que beaucoup de chose le préoccupait. Il était assez aisé de comprendre que cela était lié à son travail dont il ne me disait jamais rien. Les mois s'écoulèrent donc, mon ventre grossissait jusqu'à ce que je sente des contractions prématurées. Alessio resta dans notre demeure avec les domestiques et sa nourrice, moi je fus rapidement mener à l'hôpital... sans mon mari qui était "ailleurs". Seulement, lorsqu'il arriva... on lui annonça que le bébé était mort né. J'en étais effondrée, j'en avait remis toutes mes capacités de mère en question, j'avais refusé même que mon mari me toucha ou me consola. J'en avais pleuré tant... tant de nuit que je n'en revins pas chez moi. Alberto dût raconter de nombreux mensonges à Alessio que je n'avais le courage de regarder, qu'il verrait bientôt sa mère et sa petite sœur. J'étais resté presque un mois sous calmant dans une chambre d'hôpital où l'odeur aseptisée me donnait envie de vomir jusqu'à ce que je vois mon époux venir me voir, avec dans les bras un bébé. Il me dit que c'était ma fille, que c'était pas petite Giovanna - car tel était le prénom que je lui avais choisi. Je savais pertinemment que mon enfant était morte pourtant... quand je pris ce bébé dans mes bras, qu'importait les raisons, les conséquences ou quoi que se soit qui entourait la venue de cette petite fille là : elle était mienne, c'était ma fille. Mon époux se refusa de me donner la moindre explication, et nous ne parlions plus jamais des détails de cette naissance. Tout ce que j'avais à savoir, c'était qu'elle était ma fille.
La vérité? Elle était tristement simple. Après la mort prématurée de mon bébé, mon époux a demandé à l'hôpital si il y avait eu d'autres naissances ce même jour, il se trouva d'ailleurs qu'une autre petite fille était née, issue d'une famille de la basse ville comme nous disions. Une information qui aurait dû se révéler de l'ordre du secret professionnel? Sans doute, mais il obtint quand même. D'après moi, cela sentait la Mafia à plein nez, car cela était sans compter que sur les papiers, ils furent falsifiés. L'autre famille avait appris que leur petite était morte née, et ils reçurent une forte belle somme en compensation de leur peine.
Puis le temps passa, les choses reprirent leur cours. Giovanna grandissait, Alessio prenait son rôle de grand frère très à cœur. Les absences de mon mari se manifesteraient encore, mais moi je ne faisais que couvrir mes enfants de tout ce qu'ils voulaient. Ce fut à l'aube des cinq ans de ma fille que je reçus des lettres de menaces, des menaces de grandes révélations qui auraient pu ternir la réputation de ma famille. De qui provenait-elle? De la famille d'origine de Giovanna. Je refusais bien évidemment de répondre, et je n'en parlais pas à mon mari, en tout cas au début. Mais toutes les semaines, j'en recevais de nouvelles, encore et encore. Je devenais de plus en plus anxieuse, au point que je prenais des calmants et des anti-dépresseurs pour lesquels je nourris rapidement une dépendance non négligeable. Je me souvenais même d'un jour où ma fille jouait avec son frère, que je les regardais de la fenêtre, et là, là je vis une femme qui les observait avec le regard d'une mère, une mère qui paraissait presque aussi désespérait que moi. Quand je la vie appeler ma fille qui ne se rendait compte du danger, j'intervins rapidement, j'appelais nos gardes du corps pour la faire immédiatement partir. Ce fut à ce moment là que j'eus une grande discutions avec mon époux, sans doute notre première grande dispute. Plus tard, il me raconta que cette famille avait dilapidé tout l'argent que Alberto leur avait donné pour préserver la vérité sur Giovanna, et qu'il réclamait de l'argent pour conserver leur silence. Mon mari me certifia que tout rentrerait bientôt dans l'ordre, qu'il règlerait le problème sous peu. Les Rivaldis. C'était leur nom. Le lendemain, j'avais ouï dire qu'une maison de la basse ville avait explosé, les médias accusaient on ne sait qui... moi j'avais cru entendre le nom des Rivaldis. Je ne reçus plus aucune menace, plus aucune visite. Mais je continuais à prendre mes cachets... je culpabilisais sans doute d'avoir pris l'enfant d'une autre pour me soulager... mais j'aimais tellement ma petite Giovanna. Ce que je ne savais pas non plus, c'était que mon petit Alessio avait entendu notre dispute, qu'il avait entendu parler des Rivaldis... mais à cette époque, il ne comprenait pas, bien trop jeune.
Et comme si le malheur avait décidé de frapper notre famille, alors que je me promenais avec ma fille et mon fils, nous nous fîmes kidnapper. Mon fils en réchappa, jouant dans un endroit public un peu à l'écart de moi et Giovanna, les ravisseurs ne s'en préoccupèrent pas. Dès lors que j'avais senti ce mouchoir sur ma bouche, avec son odeur de chloroforme, mon intuition m'avait déjà prévenu que je n'en reviendrais sans doute pas... quelle ironie. Mais je voulais vivre, vivre pour ma fille et mon fils. Moi et ma petite qui n'avait que cinq ans alors, furent séparés et enfermées dans de sombres pièces sans fenêtre, mais je pouvais entendre ses pleurs. J'essayais en vain de l'appeler, de lui dire que j'étais là... mais lorsque je venais à crier, un homme de main venait à me rappeler que si je tenais à vivre, il me faudrait apprendre le silence. Je me mordis les lèvres, je retenais mes larmes lorsque j'entendais Giovanna m'appeler. Ses salauds avaient même levé la main sur elle pour la faire cesser de pleurer... j'ai cru qu'il me l'avait tué quand je n'entendais plus ses cris. Ce qui se passait à l'extérieur, je n'en savais rien mais il était évident que c'était lié aux activités de mon époux. Je suis incapable de dire combien de temps je fus retenue mais peu de temps après, je fus emmenée, j'étais affamée et épuisée. Dans un premier temps, on me coupa une main. La douleur était insupportable que j'en appelais même à la mort... cette partie de moi fut envoyée à mon mari, mais visiblement il n'avait pas cédé. Je ne sais guère ce qu'on lui voulait mais ils ne l'obtinrent pas. Puis ce fut le trou noir pour moi. Je me suis retrouvée dans une chambre d'hôpital. Mon réveil fut très bref... je me souviens d'avoir entendu quelques murmures autour de moi, puis je sentis une petit main... celle de mon fils, j'entendis ses larmes... il me disait que tout allait bien, que Giovanna allait bien...si elle allait bien alors tout irait pour le mieux non? Mes derniers mots furent pour mon fils, qu'il protège simplement sa sœur. Puis je ne me suis plus jamais réveillée.
Mon plus grand regret serait sans doute de ne plus avoir été auprès de mes enfants, mais j'éprouve une très grande fierté quand je les vois aujourd'hui. Ils ont tellement grandi. De tous ses évènements, Giovanna s'en sortit vivant mais affaiblie, les médecins prévinrent Alberto que le choc émotionnel fut telle qu'elle ne se souvenait de rien, occultant de sa mémoire ses sombres évènements. Alessio, lui, s'en voulut énormément, il dût même aller voir un psychologue pour cesser de culpabiliser. Mais c'est de là qu'est né son ambition de vouloir devenir un flic, refusant de continuer le travail de son père. Ce fut d'ailleurs un énorme problème entre eux deux, au point qu'ils ne s'adressèrent plus la parole. Giovanna, très proche de son frère, le soutenait quoiqu'il fasse, quant à son père, elle l'aimait comme il l'était, jusqu'à ce que son travail le rattrape. Alessio ne détestait pas seulement son père pour son refus de voir son fils entrer dans un vulgaire boulot de flic, mais aussi parce qu'il le savait proche de la mafia, et le jugeait coupable de ma mort, comme du traumatisme de sa sœur. Je sais que cela fut difficile pour Giovanna de vivre cette situation mais elle n'était pas farouche, elle était candide et souriante, elle avait l'étrange capacité de les apaiser. C'était peut-être cela qui la poussa à commencer des études d'infirmière. Seulement... ce qui me fait peur, c'est le lien qui uni ma fille à son frère. Le regard que lui porte Alessio, ses attentions... Ho, je sais qu'il n'est pas son véritable frère mais... je m'en inquiète. Je sais pourtant qu'aujourd'hui qu'il aime, il l'aime bien plus qu'un simple frère et l'avait très mal vécu...il le vit d'ailleurs toujours très mal. Et Giovanna? Je pense qu'elle ne le sait pas... elle ne sait rien en ce qui la concerne mais elle aime à sa façon son frère. Je sais qu'elle ferait tout pour lui, elle ne juge pas ses actes de tendresse, ses regards, ses attentions, car elle ne connait que lui - il n'a jamais été déplacé. Qu'importe ce qu'il adviendra tant qu'il veille sur elle, et je sais que la jalousie le conduira sans doute à toujours trop en faire. Plus tard, ce fut mon mari qui me rejoignit dans la mort. Il y a été précipité par un attentat, au mauvais endroit au mauvais moment... ou pas. L'héritage? Tout l'argent qu'il possédait fut mystérieusement envolé ou plutôt repris par la Mafia de façon officieuse. Mes enfants se retrouvèrent sans rien, obligeant ma fille à remettre ses études à plus tard. Giovanna et Alessio vivaient ensemble dans un appartement miteux qu'il avait pu s'offrir grâce à son boulot... mais à quel prix... j'ai peur à présent que mon fils si droit trempe dans des affaires dans lesquels ils ne devraient pas se trouver. Giovanna l'aidait au possible avec des petits boulots.. jusqu'à ce que mystérieusement plus d'argent entre dans leur "banque". Même si Giovanna s'interrogea et demanda d'où tout provenait, Alessio lui pria de ne pas s'en occuper et lui intima de prendre ce qu'il lui donnait pour reprendre ses études.
Ho! Maintenant que j'y pense, je n'ai même pas cité la prise de pouvoir de la Mafia sur la ville. Cela fut un énorme chaos. Ma petite Giovanna n'avait que quinze ans et tellement pleine de rêve... elle n'a jamais cessé de rêvé. Ce coup d'état rendit mon fils d'autant plus haineux envers la mafia qu'il en avait peur pour sa sœur. Lorsque la violence se fit plus grande dans les rues, Alessio lui-même obligea sa sœur à rester confiner dans leurs appartements, refusant qu'elle prenne le moindre risque. Pendant ce temps là, ma petite fille fut véritablement coupée du monde jusqu'à ce qu'un semblant de calme ne revienne ou plutôt une vie assez normale à Venise. Je me souviens que mon bébé s'était mise à pleurer lorsqu'elle avait écouté la radio, seule moyen de communication qui visiblement daignait marcher. Elle pleura lorsqu'elle entendit que de nombreuses personnes furent tués pour rien, d'innombrables innocents versèrent leur sang pour assouvir la mégalomanie d'une unique personne : le parrain. Juger cet personne? Elle ne le fit pas, elle le plaignait juste... elle ne comprenait pas les intentions de ce dernier mais elle pleura. En y réfléchissant, c'était peut être cela qui la conforta dans ses ambitions, celles d'aider autrui.
Où en sont-ils aujourd'hui? Mes enfants vivent dans un appartement un peu mieux, mon fils travaille toujours pour la police et ma fille Giovanna est aujourd'hui officiellement infirmière. Gio mène toujours sa petite vie candide, mais elle commence à faire des cauchemars en se rappelant ce qu'ils s'étaient passés quand elle était petite fille... quand à Alessio, il nourrit une passion de plus en plus grandissante pour sa sœur... il le cache d'ailleurs de moins en moins... mais je pense qu'il sait... je pense qu'il connait la vérité... mais que va-t-il en devenir de ma petite Giovanna? "
Dernière édition par Giovanna Magnini le Jeu 23 Sep - 8:44, édité 1 fois
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Sujet: Re: Giovanna Magnini, la vie c'est comme une boite de chocolats... (fini) Mer 22 Sep - 3:01
Voilà c'était pour annoncer que l'histoire est enfin faite. Je ne sais pas par contre si c'est assez long, mais je n'aurais aucun problème à le faire plus développer. ^^
En espérant que ça conviendra.
Amy Allesandreli
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Sujet: Re: Giovanna Magnini, la vie c'est comme une boite de chocolats... (fini) Jeu 23 Sep - 6:40
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Oh, l'histoire est intéressante, j'ai bien aimé.
Par contre il manque juste un petit quelque chose, tu ne parles pas du coup d'état dans ton histoire si je ne m'abuse. Pourrais tu rajouter quelques petites lignes sur le parrain ? :D
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Sujet: Re: Giovanna Magnini, la vie c'est comme une boite de chocolats... (fini) Jeu 23 Sep - 8:45
Voilà, pour simplement te dire que j'ai rajouté un petit paragraphe à cet effet. ^^
Amy Allesandreli
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Sujet: Re: Giovanna Magnini, la vie c'est comme une boite de chocolats... (fini) Ven 24 Sep - 1:35
Ok, donc c'est tout bon !
Amuse toi bien douce enfant.
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Sujet: Re: Giovanna Magnini, la vie c'est comme une boite de chocolats... (fini)
Giovanna Magnini, la vie c'est comme une boite de chocolats... (fini)
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