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 Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE}

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Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Vide
MessageSujet: Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE}   Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Icon_minitime1Ven 20 Aoû - 10:52

Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Identitee









Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} 51963669
Ça veut dire que j'ai pas d'cerveau c'est ça ?!?
    Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} TykiPaolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} 9090_TYKIPaolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Tykisadcopy
    } Prenom : Paolo Dante. Le Paolo fut en l'honneur de son arrière grand père, un vieux bonhomme qui ne ressemblait à rien et qui passait son temps à râler sur un fils qui dû faire semblant de le respecter. Disons que le fait que Dante déteste son premier prénom l'a un peu encouragé à accepter le deuxième avec fierté. Aujourd'hui, la plupart des gens ignorent même son véritable prénom. Ils le connaissent sous le nom de Dante et c'est exactement ce qu'il préfère, d'autant plus qu'il détestait son arrière grand-père et qu'il n'avait aucune envie de lui faire honneur. Il n'utilise donc jamais son véritable prénom et signe même sur les papiers avec 'Dante' à l'avant pour pousser l'insulte. Heureusement que ses parents s'en fichent.

    } Nom : Valentino. Oui, ces Valentino là. Ceux-là même qui sont si près du parrain. Cette famille un peu déjantée et si riche qui vit dans une villa isolée et dont personne ne sait exactement d'où provient la fortune. Personne n'a réellement envie de le savoir non plus remarquez, avec leurs regards et leurs sourires presque démoniaques les gens ont peur de demander. Pourtant cette fortune, elle vient tout simplement de l'union de plusieurs familles riches, rien de très ténébreux là dedans. Après, savoir ce que la famille en fait de cet argent, ça c'est plus dangereux...

    } Surnom : On le surnomme 'l'oeil du diable'. C'est un surnom à moitié basé sur la couleur de ses iris, un curieux mélange d'ambre et d'orangé qui fait froid dans le dos, et à moitié aussi sur son statut élevé dans la mafia. Dante est un homme craint des ennemis du parrain, on le connaît pour ses manières quelques peu sauvages et on sait que quand il apparaît, c'est mauvais signe pour l'espérance de vie. On le surnomme également ainsi parce que son regard fait froid dans le dos, on y reconnaît la lueur d'un quelconque démon. Bien sûr, comme Dante n'est pas si près du parrain que ça, on le reconnaît surtout à cause de la réputation de son père et son propre caractère un peu trop coloré qui attire l'attention sur lui.

    } Age : 26 ans. Mine de rien, l'oeil du diable a de la maturité... Du moins niveau physique. Il faut dire qu'en voyant Dante s'approcher et ses manières d'agir, on peut facilement croire que c'est un jeune adulte tout frais sortit de l'adolescence, fanfaronnant juvénilement ses atouts physiques. Avec une attitude comme ça, on s'attend à un cas de jeunot stupide et puéril dans le début de la vingtaine. Mais non, le Dante est bien mature. C'est presque désespérant.

    } Date de Naissance : Il naquit un soir d'Octobre assez ordinaire dans les bras d'une mère aimante dans un hôpital de Venise. Enfin aimante, disons que cette chère mère aimait plutôt la jeune infirmière qui l'avait aidé à accoucher pendant que son nouveau fils les regardait d'un air hébété. Et non ce n'était pas le soir d'Halloween, cela ferait un peu trop cliché vous ne trouvez pas ? Voilà, je trouvais aussi. Faudrait pas pousser ni abuser des bonnes choses. Quoi que pour considérer Dante comme une bonne chose, faut s'accrocher !

    } Famille :
    Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} PabloqPaolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} RosaPaolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} LorenzoPaolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} MafaldaPaolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Vinny
    Avec un père plus fou que soi et une mère presque vulgaire, il est compréhensible qu'un être tel que Dante puisse exister. Pablo Vincente Valentino est un homme important et des plus froids. La plupart des gens qui le rencontre décrivent quelqu'un d'imposant et de très sinistre. Pablo est quelqu'un qui ne ressent rien envers les autres et qui est capable de froidement tirer sur la gâchette sans sourciller. Il travaille pour le parrain depuis un long moment maintenant, ayant toujours été son partisan, en tant que bras droit. C'est un homme qui intimide et qui fait froid dans le dos, plein de bonnes manières et de mots longs. Sa femme, Rosa Gabriella Valentino, est une dame bien curieuse qui semble préférer la présence de jeunes femmes vierges à son mari. Ou de toute femme disposée à se laisser charmer par ses atouts physiques et un peu de flatteries. Elle passa la majeure partie de son mariage à séduire et à créer des scandales un peu partout. Si elle ne manie pas l'arme à feu ni la lame, Rosa est tout de même une personne à craindre. Comme son mari, sa présence intimide et provoque la chair de poule. Cette femme mystérieuse ne fait pas grand chose de sa vie sinon multiplier les amantes et attendre son mari dans son lit avec amour. Nés tous deux de grandes familles de la bourgeoisie italienne, Rosa et Pablo ne pouvaient qu'inévitablement se rencontrer. Ils s'aimèrent pour leurs côtés excentriques mutuels et continuent de s'aimer d'une passion presque malsaine, partageant les amants sans gêne ni discrétion.

    Pour ce qui est des frangins et frangines, Dante fut l'heureux gagnant d'un grand frère, d'une petite soeur et d'un petit frère. Les parents auraient été bien plus productifs s'ils l'avaient pu, mais hélas il faut bien admettre qu'il est compliqué de procréer quand on est constamment sortis. Le grand frère, un dénommé Lorenzo, est un curieux mystère. Âgé de 30 ans, c'est le fils le plus vieux des Valentino. Constamment silencieux et affichant des sourires rares mais doux, les gens ont tendance à aller vers lui plutôt que vers les autres membres de la famille. Ce qui est une erreur. Lorenzo semble ne ressentir aucun remords et il est des plus effroyables avec les victimes que le parrain lui assigne. Si Lorenzo peut être un monstre, c'est aussi quelqu'un d'aimant qui adore son frère Dante et qui ferait tout pour le protéger. C'est souvent à lui que Dante va, d'ailleurs, pour se confier. Ensuite, il y a Mafalda. Une jeune femme de 19 ans à peine qui a encore l'air d'une enfant et qui est fascinée par le domaine des droits. À cause d'un accident tout bête, la jeune femme porte une patch pour cacher son oeil aveugle et meurtris. C'est la seule de la famille qui a un caractère aussi explosif que celui de Dante et qui s'oppose au parrain. Son oeil est d'ailleurs un avertissement du dit parrain, quelque chose pour lui rappeller que les Valentino sont ses serviteurs et qu'elle ferait mieux de s'en souvenir. Mafalda entretient une relation explosive avec son grand frère Dante et c'est souvent que l'on croit voir des étincelles quand ils se rencontrent. Et malgré la violence de leurs discussions, les deux frangins s'adorent, bien que jamais ils ne l'avoueront. Le dernier de la famille est Vinny. C'est le prince des glaces du groupe, un petit adolescent de 15 ans qui passe plus de temps dans ses bouquins qu'à sourire. Il donne froid dans le dos avec ses yeux noirs et son air impénétrable. C'est un garçon qui n'aime pas se salir les mains et qui considère Dante comme un sauvage indigne de son intérêt. D'ailleurs, ses regards froids ont tendance à agacer le dit Dante qui se tient loin de ce frère décidément tout sauf mignon.


    } Nationalite : Dante est un italien de pure souche, comme l'on pourrait dire. Il n'existe aucun autre sang dans ses veines, puisque sa famille a toujours cru à la noblesse italienne et a bien fait attention de ne pas se lier avec la 'vermine' comme ils le disent si bien. C'est sans doute pour cette raison que Dante aime bien s'amuser avec des jeunes hommes de d'autres ethnies, comme une sorte de rébellion contre le code strict de sa famille. Parce que qui dit interdit, dit participation de Dante Valentino assurée.

    } Sexualite : Celui qui ne sait pas que Dante Paolo Valentino est homosexuel fera très certainement rire de lui. Le jeune homme collectionne les amants, surtout ceux qu'il considère exotiques. Il est de notoriété publique que Dante utilise les amants comme des mouchoirs, couchant avec eux une nuit puis les jetant le lendemain, n'hésitant pas à les humilier publiquement s'ils le collent trop par la suite. Coucher avec Dante Valentino est un sport dangereux. Les gens savent qu'il n'est pas doux avec ses amants, c'est un animal sauvage. Il mort, il griffe et il use de ses muscles. Résultat : les jeunes hommes qui tiennent à leur vie se tiennent loin de lui. C'est quelqu'un qui a un appétit sexuel presqu'intarissable. Dante est invariablement dominant. Sa fierté démesurée ne saurait supporter de jouer les dessous. Il utilise sa force pour prouver qu'il est le plus fort, comme un animal dans la jungle. Du coup, les amants qui se débattent l'excitent encore plus que les inactifs. Les femmes n'ont jamais intéressées Dante. Pour lui, la force masculine est l'épitome même de ce qui est sexy. Il considère les femmes comme faibles et inutiles, juste bonnes à pleurer et à se morfondre. Il a cependant une grande admiration pour sa mère et pour sa soeur, bien qu'il ne le dira probablement pas à cette dernière.

    } Groupe : Il est un peu difficile de situer Dante dans un groupe à cause de sa famille. Disons que lui-même fait partie des Socio del Diablo. Il n'est qu'un simple mafieux qui suit les ordres de son père, qui lui-même est dans les Braccia Diritte. Toute la famille de Dante est comme ça. Le père connaît le parrain et se soumet à ses ordres, les enfants eux écoutent le père. Dante croit que le parrain mérite le respect et comme il a été éduqué par un adepte de celui-ci, il est tout disposé à crever pour lui, tant qu'il puisse manier un pistolet et faire un peu ce qu'il veut. C'est quelqu'un qui aime avoir sa liberté et donc il lui arrive souvent le soir d'aller dans un bar ou deux et de faire la fête, mais il respecte son travail et son patron et obéira facilement.

    } Manies : Dante est un fumeur compulsif. Depuis qu'il a appris à fumer, il passe des cigarettes aussi vite que l'éclair. Cette envie de fumer lui vient de son père, qui a la même mauvaise habitude que lui. Personne ne le sait, mais si Dante fume, c'est pour passer son stress. Parce que oui, même le dangereux oeil du diable est stressé. Son boulot n'est pas des plus reposant et tuer des gens finit par tomber sur la conscience, on doit l'avouer. Il a peur du pouvoir que le parrain a sur son existence. Et c'est donc en fumant qu'il oublie les images parfois troublantes de ces hommes crachant du sang et priant pour leur vie en larmes. Dante ne se formalise pas normalement de ce genre de spectacle, mais lui aussi est humain après tout et ce genre de choses finit par marquer. Son autre manie est celle de boire trop. Il adore faire la fête et refuse de boire des trucs faibles, estimant que ce sont des breuvages pour les filles. Non, Dante aime l'alcool fort et il ne sait pas être raisonnable. Il a également une certaine fascination pour les petits couteaux et les fusils. Il lui arrive souvent de sortir l'un ou l'autre de ses poches et de jouer avec distraitement, surtout un petit couteau. Il aime bien faire ce truc sur une table de bois où l'on fait passer le couteau entre les doigts de plus en plus vite, ça lui donne un coup d'adrénaline qui le grise.

    } Profession : Le travail de Dante n'est pas très sorcier et ne nécessite pas un si grand cerveau que ça. Il sert en fait d'homme de main au parrain. C'est lui qui va faire la basse besogne de défoncer les portes et de tuer les ennemis du parrain. C'est lui qui fait sauter la cervelle des rebelles et qui fait régner la terreur avec ses collègues dans cette belle citée italienne. Un boulot un peu salissant je vous l'accord, surtout pour quelqu'un qui aime bien se vêtir de blanc... Mais Dante adore sa profession, elle lui permet de faire un peu ce qu'il veut et de trimballer des fusils avec lui donc il ne se plaint pas. Certes c'est un boulot parfois difficile, tuer des gens n'est pas quelque chose d'agréable comme vous pouvez vous en douter... Dante est l'un des rares mafieux qui ne cache pas sa profession. Dans le sens qu'il l'affiche ouvertement en se fichant des risques, baladant ses fusils à pleine vue et criant sous les toits qu'il fait exploser la tête des gens pour du fric. Ça le fait marrer. D'ailleurs, son aspect flamboyant lui a souvent attiré bien des ennuis...




Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Ohysique
T'es pas bien mieux tu sais ?
    Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Tyki_sighsighPaolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Saavetyki1Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Thcrown_baby4
    } Physique : Ah que d'importance cette chère catégorie a dans la vie d'un mafieux tel que Dante ! Parce qu'il faut bien l'avouer, avec une personnalité animale comme celle du jeune homme, l'apparence et la première impression sont des armes d'une capitalité presque frappante. Chez Dante, c'est d'autant plus vrai. Dès le premier coup d'oeil on remarque la prestance, l'auto suffisance et le sourire en coin goguenard. Mais encore plus cette étrange lueur de danger qui semble toujours planer dans les profondeurs ambrées du regard du mafieux. Rien qu'à sa manière de marcher, si confiant et presque félin, d'une démarche rapide et brusque, on devine quelqu'un d'impulsif et de brutal. Même avant de lui adresser la parole, sa façon mystérieuse de fixer les gens ou encore de se perdre dans ses pensées fait un effet direct. Il faut dire aussi que Dante ne cache pas ses émotions. Il trouve cette pratique de vivre derrière un mur très horripilante et jamais il ne voudrait s'y soumettre. La franchise est une chose des plus importante pour le jeune italien et c'est sans doute pour cela qu'il a un si grand dédain des gens qui n'arrivent pas à exprimer leurs émotions. C'est pourquoi dans un simple geste, un simple regard de Dante plus de milles mots peuvent se faire entendre. C'est même surprenant parfois d'être capable de lire si aisément la brutalité qui se dégage de cet homme. Un seul sourire et ce sont les frissons assurés. Mais comme la brutalité est apparente sur le jeune homme, la sensualité l'est aussi. En fait, toutes les émotions que Dante juge positives sont écrites noir sur blanc sur son langage corporel et il suffit d'un bref coup d'oeil pour les deviner. Mais les émotions plus fragiles, celles qui heurteraient sa fierté, son image, restent bien cachées à l'intérieur. C'est la raison pour laquelle il semble si intimidant et mystérieux, un dieu brutal et effrayant qui semble n'avoir aucune crainte. En entrant dans une pièce, on sent tout de suite comme si le nouveau centre de gravité c'était maintenant cet homme au regard étrange et au rire sinistre. Si c'est vraiment le cas, c'est une autre histoire, pour maintenant concentrons nous sur son aspect physique histoire de comprendre pourquoi les gens le trouvent si impressionnant... Du moins avant de lui adresser la parole. Parce que du coup, une fois qu'il ouvre la bouche son langage cru peut tout de suite nous faire changer d'avis sur son aspect plaisant.

    La première chose que l'on remarque chez le mafieux, ce sont ses yeux. Pas pour leur forme ou la longueur de ses cils, non, plutôt pour leur couleur. En effet, il est bien rare de noter une personne qui possède des yeux comme ceux de Dante, une sorte de mélange d'ambre et de doré, donnant une couleur frappante. L'ambre se mélange avec des étincelles orangées et dorées, de petites lueurs qui brillent comme un brasier déchaîné. En se perdant dans cette couleur frappante et presqu'aveuglante, on a presque l'impression de regarder la surface du soleil avec ses milliers d'éruptions volcanique, son magma et sa chaleur intense. C'est presqu'étouffant que de regarder ces yeux, si intenses, si violents. On pourrait presque voir directement dans l'âme de barbare de Dante, découvrir la violence intérieur, l'intensité de la passion qui anime l'italien. Ça ferait presque peur de se voir confronter à un tel regard. Il y a aussi le fait que les émotions du mafieux sont aussi transparentes qu'une fenêtre dans ce regard de flammes, il suffit d'observer quelques secondes pour découvrir son état d'esprit. Pour certains, ceci pourrait certainement être qualifié de faiblesse, surtout pour une personne dont le boulot est de garder une façade. Mais pour Dante qui compte sur sa brutalité pour garder le respect et la peur que les gens lui doivent, c'est plutôt un atout. Il suffit d'un seul regard suave pour que les jeunes hommes comprennent tout de suite ses avances, d'un seul oeil dangereux pour semer la peur dans la tête de ses prochaines victimes. Une chose est certaine, c'est que Dante n'est pas surnommé 'l'oeil du diable' pour rien. Longtemps après qu'il est partit, les gens se demandent pourquoi il leur a laissé une si forte impression. Et tout de suite ça vient, cette réalisation que c'était les yeux. Des rumeurs cours comme quoi ce ne seraient pas ses vrais yeux, que Dante porterait des lentilles. Après tout le reste de sa famille a les yeux bleus ou noirs, alors comment serait-il possible qu'il ait des iris aussi brillants ? Mais c'est faux. D'ailleurs, à sa naissance, c'est ce qui intrigua le plus les parents du jeune homme, ces petits yeux dorés. Le père vit tout de suite ça comme un signe de grandeur future. La forme des yeux de Dante est celle d'un oeil ordinaire, complimentée par des cils courts bruns foncés et des sourcils minces qui aiment bien s'arquer dans un air amusé. Cet air amusé est également terriblement facile à noter, étincelant là dans les couleurs enflammées. Sous son oeil gauche, Dante possède un joli grain de beauté qui fut l'objet de bien des regards. D'ailleurs, ce petit grain lui donne un certain charme qu'il ne se gêne pas à utiliser.

    Passons maintenant à la chevelure si vous le voulez bien, puisque celle-ci mérite un oeil avertit. Il faut savoir que si les yeux de Dante sont certes exceptionnels, sa chevelure elle ne sort pas du tout de l'ordinaire. On pourrait presque la qualifier d'ennuyante et d'insupportablement commune... Il faut dire aussi qu'avec des cheveux qui font si typiquement italien, on peut presque se surprendre. Avec ces cheveux normaux, le mafieux regagne son statut d'être humain. Les gens ont effectivement tendance à croire qu'il n'est pas humain, mais une sorte de démon quand ils observent trop longtemps ses iris et donc la chevelure ordinaire équilibre un peu le tout. Les cheveux de l'italien sont d'un brun foncé plaisant, une couleur riche qui pourrait presque se confondre avec le noir si elle n'était pas dénuée de tout reflet bleuté. La texture est celle épaisse et touffue des cheveux frisés, donnant toutes les peines du monde à Dante pour ce qui est de dompter sa chevelure. On dirait presqu'elle a prit trop au sens littéraire le mot 'sauvage' qui semble étampé sur le front du mafieux. Tout peigne ou brosse semble prendre un malin plaisir à se coincer dans les méandres de cette chevelure, provoquant plusieurs pluies de vulgarités vociférées le matin par un jeune homme endormi. En plus d'être très difficile à dompter, la chevelure de cauchemar frise et ondule à sa guise, donnant souvent à Dante une tête d'épouvantail quand il se lève le matin. Pour éviter le scandale d'avoir une tête de nid d'oiseau, Dante a pris l'habitude de maintenir ses cheveux assez courts et si parfois il laisse sa frange lui tomber dans les yeux et cacher son tatouage au front, bien souvent il met un peu de gel pour la faire tenir vers l'arrière, laissant le reste de ses cheveux bien ondulés. Dante ne supporte pas d'avoir les cheveux dans les yeux et donc il préfère avoir le visage dégagé et refuse de laisser ses cheveux envahir ses épaules. D'ailleurs, dès qu'ils sont un peu trop long, il court chez le barbier et exige en maugréant une coupe. La tête de Dante est donc assez représentative de l'aspect légèrement animal du jeune homme avec toutes ces caractéristiques.

    Ensuite, il y a ce visage si italien qu'est celui de Dante. Une peau olivine et légèrement bronzée qui semble respirer la santé, des cheveux noirs et ondulés... La mafieux ne peut eu aucun cas être décris comme féminin de par son physique. Ce n'est pas qu'il possède une mâchoire carrée et un corps cousin d'une armoire à glace, mais il y a ce certain air à sa personne qui le rend si totalement mâle. Son visage est du genre bien formé, ni féminin ni trop masculin, on évite donc la mâchoire carrée. Son menton n'est pas trop fuyant et donne la place à des lèvres si souvent étirées dans un sourire mesquin. Ces lèvres, pas minces ni pulpeuses mais simplement ordinaires, semblent devenir spéciales une fois qu'elles sourissent de cet air trop sûr de lui-même que seul l'italien semble posséder. Cette bouche est suivie de deux joues pleines et si peu souvent parsemées de rouge, si ce n'est lors d'une colère noire, le genre de colère que Dante ne rencontre qu'en aillant à faire à sa soeur ou à son petit frère. Si vous vous attendiez à voir le jeune italien rougir de gêne, vous serez bien déçus. D'ailleurs, cette seule notion que Dante puisse rougir de gêne devrait vous faire mourir de rire. Il y a ensuite, bien entendu, ce joli nez mince de largeur et pas du tout retroussé qui semble centrer le visage joliment. En montant un peu plus haut, on tombe sur les yeux à la lueur démoniaque et des sourcils bruns foncés si expressifs. Ceux là même qui, avec la bouche, démontrent si aisément l'ego démesuré de l'italien par des haussements suggestifs. Puis il y a ce front. Un front qui pourrait être haut et bien ordinaire, s'il n'était pas décoré d'un signe mystérieux. Peu de gens connaissent le secret de ces tatouages en croix que l'italien possède sur le front... Notamment qu'il s'agit de cicatrices camouflées par des tatouages. Dans l'ensemble, ce visage de mafieux est des plus masculins, séducteurs et plaisants. Avec ces grains de beauté qui décorent son cou ainsi que sa peau bronzée, il n'est pas étonnant que Dante arrive si aisément à attirer des innocents dans son lit, malgré son caractère de merde.

    Le corps du mafieux est un objet déjà plus intéressant à décrire, notamment sa peau. Cette peau si parfaitement dorée donne l'impression que Dante est de ceux qui passent leurs jours d'été à griller patiemment sur une serviette à la plage et qu'un seul coup d'oeil sous le pantalon serait suffisant pour le prouver. C'est si faux ! Premièrement parce que le jeune homme n'a pas la patience de rester planté au même endroit 2 minutes en ligne, alors imaginez le temps que ça prendrait pour qu'il bronze... Deuxièmement parce que le jeune italien est né avec cette peau dorée, pas besoin de souffrir au soleil pour l'obtenir. Déjà, il faut savoir que Dante est quelqu'un de grand. Bon ce n'est pas non plus un géant, mais en le voyant, impossible de se mettre à rigoler à cause de sa taille. Il fait au moins 6 pieds 2, ce qui équivaut environ en mètres à 1 mètre 85. D'ailleurs, Dante aime bien utiliser sa taille pour intimider sa 'proie'. Il se penche au dessus de la personne et la regarde de haut, la petite lueur de panique dans leurs regards l'excite. C'est sans doute pour cela qu'il n'aime pas trop faire face à quelqu'un de plus grand que lui... Niveau poids, si Dante pèse beaucoup, c'est en muscles. À force de s'entraîner chaque jours pour faire passer de l'énergie en trop et pour rester en forme, ça gagne des muscles. Et bien qu'il n'a pas la physionomie pour ressembler à un monsieur muscles, Dante reste impressionnant. Ses bras et son torse sont plutôt visiblement musclés et il se sert de ces atouts bien souvent. Ses mains et ses pieds sont grands et vous connaissez le diction, grands pieds, grand... Bref continuez tout seul ! Il a des hanches plutôt simplistes, rien de bien impressionnant, et des fesses rondes, bien qu'elles ne sont pas bien rebondies. Un corps de seme quoi. Dites le pas trop fort, ça risquerait de monter son ego démesurément élevé. Le corps de Dante est, en son tout, quelque chose d'impressionnant, de musclé, de bronzé, de couvert de grains de beauté et d'aussi dangereux qu'un fauve. Oui parce qu'il se dégage du mafieux une impression de prédateur, on se sent vite chassé quand on est avec cet homme.


    } Vetements : Dante, c'est synonyme de grandes marques de vêtements, de souliers vernis et de classe. L'image pour le mafieux est quelque chose d'important. Cet aspect de sa personnalité se découvre bien avec son côté flamboyant et théâtral. Jamais Dante ne sera mal habillé, que ce soit dans la rue ou au boulot. Il ne laisse jamais sa barbe pousser non plus, prenant bien soin de la raser. Et donc les vêtements pour lui sont un atout capital à exploiter pour son image. Le haut de son corps arbore presque toujours une chemise déboutonnée des boutons du haut, histoire de laisser paraître sa peau dorée. La couleur peut varier de blanc à noir en passant par les tons de bronze et de rouge et même parfois de orange. Il préfère les couleurs chaudes aux couleurs froides comme le vert ou le bleu. Non, Dante aime donner l'impression qu'il brille de milles feu ou qu'il est agressif avec le port d'une chemise rouge sang. Le tissus est souvent doux au touché, confortable, mais rien de satiné il trouve que cela fait trop femmelette comme tissus. Il aime bien les chemises un peu transparentes qui complimentent ses muscles. S'il ne porte pas de chemise, Dante sera simplement torse nu ou portera l'un de ces chandails moulants foncés à col en V que l'on porte surtout en hiver. Par contre, ces chandails sont toujours unis. D'ailleurs c'est quelque chose qui revient souvent dans le style de vêtements du mafieux, la simplicité et la classe. Il porte parfois un motif ligné fin à la verticale sur ses vestons, mais sans trop. Il garde toujours ses manches remontées et déteste boutonner les poignets quand il porte des chemises, trouvant que cela entame ses mouvements. C'est sans doute pour cette raison qu'il déteste les cravates et les nœuds papillons, aillant besoin d'espace pour bouger et de découvrir un peu sa peau onctueuse. Il porte très souvent ces vestons ajustés à la taille et sans manches que les hommes portaient auparavant, le classique du mafieux d'antant. D'ailleurs Dante est un fan des vieux films de mafia, comme 'the godfather' et ce genre de truc et ses habits reflètent cette passion. Il porte aussi ces camisoles moulantes et presque transparentes avec des bretelles spaghetti en dessous de ses chemises parfois.

    Niveau pantalons, il est clair que jamais Dante ne porterait des bermudas ou des trucs qui vont en haut des chevilles. Ses pantalons sont moulants et classes, mais font toute la longueur. Il affectionne les pantalons noirs et bruns foncés, parfois les beiges. Ceux-ci doivent être ajutés parfaitement à ses fesses et à ses cuisses et d'un tissu extensible, sinon il ne les porte pas. Dante a une aversion des jeans, il n'en porte jamais même quand il est simplement chez lui. Il porte souvent des habits très chers qui sont faits exclusivement pour lui. Ses chaussettes sont unies et marchent avec le reste de son ensemble. D'ailleurs, Dante est très difficile sur ce point, TOUT dans son ensemble doit se marier parfaitement, sinon il n'est pas heureux, pas heureux du tout. Après les pantalons, il y a bien entendu les chaussures. Alors ça, c'est la phase la plus importante. Il y a cette tradition chez les Valentino que les chaussures sont l'élément le plus important dans un habit. C'est pour cette raison que le mafieux en a plusieurs paires, toutes plus chères et belles que les autres. Il affectionne celles faites en peau de reptile rare et les vernies. Ces chaussures italiennes qui ont la pointe recourbée sont ses favorites. Jamais Dante ne peut avoir assez de paires de chaussures, quand il va faire les boutiques c'est certain qu'il reviendra avec une paire. Oh et il en prend soin, surtout quand elles sont pâles. Une tache de sang sur ses nouvelles chaussures est quelque chose qui le fiche en rogne sévère. Pour ce qui est des accessoires, disons que Dante est un adorateur de bijoux pour homme. Il porte très souvent une grande montre large et dorée à son poignet et plus chère elle est, mieux c'est. La même chose se produit avec des chaines délicates en or elles aussi, qui se terminent par un pendentif très fréquemment en forme de croix. Ses oreilles percées arborent de jolies boules dorées et même ses doigts sont parfois décorés de joncs en or soignés. Ces bagues, il les porte souvent quand il sait qu'il va devoir tabasser quelqu'un, pour le plaisir de voir la forme du métal sur la joue de sa victime. Par contre, si Dante aime les bijoux, il ne va jamais porter trop d'éléments à la fois. Il porte aussi des ceintures assez simples, mais avec des boucles raffinées et parfois marginales.

    L'hiver, Dante se trimbale avec des manteaux de fourrure, souvent de la fourrure de prédateurs. Son plus connu est un manteau en peau de léopard des neiges. Comme c'est un animal en voie de disparition, l'italien aime se pavaner avec ce manteau comme pour défier quiconque de rouspéter sous son audace. Il a également des gants de cuir en abondance et presqu'en permanence, passant de noir à blanc en passant par rouge. Le mafieux adore la sensation de ses noirs recouverts de cuir parcourant la peau d'un innocent tremblant de peur. Un autre élément à ne pas manquer chez Dante, se sont ses lunettes de soleil de style aviateur. Il en a plusieurs paires et a tendance à les porter même durant la nuit, pour le style, peu importe qu'il risque plus de se taper un mur à cause de la noirceur. Pour la baignade, Dante joue les frimeurs en portant des speedos. Oui, ces trucs minuscules qui ne laissent rien à l'imagination. Heureusement, Dante est sexy à souhait et peut se le permettre. Ses maillots de bains sont souvent à un imprimé de tigre ou tout simplement noirs, une chose est certaine, quand il va à la plage, Dante aime ne pas passer inaperçu. Niveau Sous-vêtements, Dante porte des slips noirs satinés et presque rien d'autre. Des slips qui lui collent comme une seconde peau et qui sont diablement confortables, notez bien. Il lui arrive de troquer le noir pour du rouge sans, mais sinon il n'est pas très sous vêtements à motifs. Son amour du sommeil nu entre ses draps de satin et son habitude de baiser avec pleins de gens comme un lapin lui a donné la fâcheuse habitude de parfois oublier de se mettre un slip le matin, mais bon comme il sait très bien qu'il va retirer le dis slip le soir même, il s'en contre fiche un peu. Dante porte quelques fois un chapeau un peu du style melon au dessus de sa tête, histoire d'ajouter à son allure de mafieux / soi disant gentleman.


    } Autres : C'est un fait peu connu, mais Dante est le possesseur d'un tatouage assez impressionnant dans son dos. Comme la plupart de ses amants sont trop occupés à survivre les ébats du mafieux qu'à l'observer, seules les rares personnes qui sont proches de lui ont déjà eu l'occasion d'admirer le tatouage. Il s'agit de l'image d'une immense croix qui commence au début de sa nuque et qui se termine sur son coccyx, les bras de la dite croix suivant ses omoplates. Autour de la croix, des ronces, des roses et des mots latins s'entremêlent, donnant un joli spectacle tout de noir. Nul n'a jamais pensé à demander à Dante ce que signifiait l'écriture en latin antique, et d'ailleurs si quelqu'un le demandait sans doute qu'il ne ferait que sourire sans prendre la peine de répondre. Mais en fait, c'est un passage de la bible, le passage sur le jour de la fin du monde où l'on décrit toutes les calamités qui s'abattraient sur la terre. Plusieurs théories pourraient se créer pour expliquer la présence d'un symbole religieux si macabre dans le dos du jeune homme et sans doute que se serait de bonnes théories, mais Dante n'est pas une personne facile à expliquer. Il a toujours été fasciné par dieu et les anges. C'est un univers qui l'intrigue. De savoir qu'un seul homme réussit à soumettre à sa volonté des nuées d'hommes et de femmes sans même avoir à prouver son existence lui donne le vertige et attire son respect. Il arrive parfois à Dante de visiter une église pour se rappeler qu'il existe un homme plus puissant que le parrain, bien qu'il préférerait crever plutôt qu'admettre ce fait. Parfois, la pression d'avoir tous ces faits et gestes surveillés et jugés donne à Dante l'envie de s'assurer que son supérieur aussi n'échappera pas au jugement dernier. Une autre particularité sur Dante sont sans doute ses oreilles percées. Il se trimbale sans cesse avec deux petites boules dorées, l'une dans chaque oreille. Son oreille droite fut percée alors qu'il avait 16 ans. Quand Ross mourut, le grand frère de Dante lui perça l'autre oreille, disant d'un ton énigmatique : 'pour l'équilibre'. En se perçant l'autre oreille, Dante affirmait qu'il était maintenant complet. Il arrive souvent à Dante de prendre sa boucle d'oreille gauche en souriant quand il pense à son grand frère. C'est d'ailleurs à partir de ce moment qu'il se rapprocha de l'ainé des Valentinos.

    Une dernière particularité et sans aucun doute la plus importante, c'est ces curieuses marques ressemblant à des croix qui ornent son front en un demi cercle intriguant. Quand il a eu 12 ans, Dante s'est fait attaquer par une bande de garçons. Ils étaient plusieurs et certains le maintenaient tranquille tandis que d'autres tentaient de le pousser sous un grillage de métal. Il faut comprendre que Dante partait souvent de l'école par cette grille, passant dessous sans jamais se faire prendre, pour manquer des cours et aller se balader quelque part. Tout pour manquer les discours ennuyant de son professeur de mathématiques. Bien souvent, une bande de gamins plus vieux fanfaronnaient proche du coin où il fumait tranquillement et comme il était le fils d'un grand riche, les plus vieux lui fichaient la paix, venant parfois lui ébouriffer les cheveux pour déconner. Mais ils terrorisaient tous les autres qui passaient tandis que Dante observait sans réagir. Les gamins en colère et frustrés se vengèrent de leurs malfaiteurs, mais comme ils étaient trop trouillards pour se venger directement aux mecs plus vieux, ils prirent la proie facile, soit Dante. Comme ça ils l'embusquèrent. L'un d'eux demanda à Dante ce que ça lui ferait de pas passer la clôture une fois. Et du coup tandis qu'un surveillant accourait, le petit italien se débattait avec fureur tandis que la grille descendait vers son front. Le surveillant arriva avant qu'il y ait trop de dommage, mais l'enfant subit plusieurs points de suture et fut gratifié de 7 marques peu élégantes sur son front. Quelques semaines plus tard, un père fier faisait entrer son fils dans la famille véritablement après que Dante ait punit très lugubrement la bande de gamins. À lui seul. Plus tard, il convertit ses cicatrices hideuses en espèces de croix tatouées par dessus, du coup on n'aperçoit plus les blessures. Rares sont ceux qui connaissent cette histoire, mais une chose est certaine, c'est à partir de ce moment là que Dante compris toutes ces leçons sur le respect et le pouvoir que son père avait tenté de lui planter dans l'esprit depuis sa plus tendre enfance. Si cet événement traumatisant ne lui était pas arrivé, sans doute que Dante n'aurait pas eu autant de colère en lui et de cruauté. Les enfants sont réellement des monstres.




Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Caractere
Ce qu'il y a en dedans ? Bah, des pensées malsaines et de la violence B)
    Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Cutechibi_1Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Tyki5Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} 14354473-1
    } Caractere : La tête de Dante est ridiculement facile à comprendre. On voudrait bien croire qu'il s'agit d'un jeune homme complexe avec une personnalité des plus étagée, ça excuserait son comportement violent et choquant, mais hélas ce n'est nullement le cas. N'importe quel psychologue pourrait dévoiler avec joie qu'il n'a jamais rencontré quelqu'un d'aussi facile à définir et tout ce qu'il dira sera exact. Parce que la vérité est que comprendre l'italien est aussi facile que de rire. La seule chose que l'on a de besoin pour bien comprendre, c'est une bonne imagination. Tout du moins une imagination assez grande pour être capable de comparer le jeune italien à une autre sorte d'être vivant, plus précisément à un félin. Et pas ces petits chats de gouttière, non, plutôt ces gros chats qui rôdent dans les pays sauvages en quête de proie. Comme la panthère noire ou le tigre par exemple, même le tigre blanc ou le léopard des neige. Ces deux dernières espèces, avec leur acharnement à la survie malgré la vie quasiment impossible dans leurs états naturels respectifs, représentent parfaitement Dante. Bien sûr, cette simple image pourrait sembler un peu simpliste pour décrire un être humain, si impulsif et violent soit-il... Surtout qu'en regardant le mafieux, on pourrait rester insatisfait devant cette description du jeune homme. Beaucoup se demandent ce qui se trouve sous l'image de l'oeil du diable, le séducteur, le violent, l'effrayant. Impossible et impensable il est de croire qu'un tel être ne puisse pas avoir ne serait-ce qu'une parcelle de douceur, ou même une petite faiblesse. C'est bien pour ça que cette description caractérielle est là, pour que l'on puisse explorer les méandres de l'esprit de Dante en toute tranquillité. Il faut par contre comprendre qu'avec l'italien, la première impression est bien souvent la bonne. Il n'est pas de ces gens qui se cachent sous une façade de peur de ce que le monde pourrait bien penser de ce qui se trouve en dessous... D'un certain point, l'esprit de Dante n'est pas assez réfléchit pour penser à créer ce genre d'illusion. Non pas qu'il soit crétin, oh non il ne faut pas penser ça ! C'est simplement que... Eh bien, vous verrez bien vous-même en lisant.

    Premièrement, si l'on doit comparer Dante à un félin, faisons le bien. C'est à dire qu'il vaut mieux commencer par le début et non la fin. Tout le monde sait que ce qui rend un félin si redoutable, c'est sa force brute ainsi que sa détermination. Un prédateur de cette taille qui s'acharne sur sa proie fait certes très peur. Les mêmes aspects peuvent se retrouver chez le mafieux. Dante est en effet quelqu'un de déterminé, une détermination qui touche même l'obsession ou le défaut plus communément nommé 'être têtu comme une mule'. Une fois qu'il a un objectif en tête, il fera tout ce qui est possible et même imaginable pour l'atteindre, faisant la sourde oreille à ceux et celles qui voudraient l'en dissuader. Même si cet objectif est insensé et complètement impossible à atteindre, il ne lâchera pas prise, son ego démesuré et son sens de dignité l'en empêcherait. On voit souvent cet aspect de sa personnalité quand il poursuit un jeune homme particulièrement difficile à attirer dans son lit ou encore quand une mission du parrain lui échappe. Certains pensent que s'il est si déterminé à obéir au parrain, c'est surtout parce qu'il a peur des conséquences, mais en fait c'est cette détermination qui domine sa personnalité. Et comme il a un côté perfectionniste dans son caractère, Dante ne croit pas à faire les choses à moitié. Il veut les faire totalement et à la perfection ou pas du tout. D'ailleurs, il déteste perdre, c'est quelque chose qu'il ne tolère pas. Il aura toutes les peines du monde à avouer ses tords, même s'il sait qu'il doit le faire. Il peut même devenir comme un enfant sur ce point, piquant des crises, fichant le bordel, tout pour ne pas admettre qu'il a eu tord ou que son plan a foiré. On peut donc dire qu'il est dangereux d'être insistant auprès de Dante, puisqu'il vous refusera toute concession. Tirer une excuse du mafieux, c'est comme demander à un cochon de voler, impossible. C'est même dangereux, le jeune homme est connu pour ses colères rapides lorsqu'il n'est pas content et vaut mieux pas être celui qui les provoque.

    À la manière de la jungle, la mentalité de Dante se forme sur la force. Il aura tendance à régler beaucoup de choses avec les poings à cause de ceci. C'est une personne des plus physique qui communique sa pensé par l'action plutôt que par la parole. Il cogne rapidement et sans remords et si son côté digne l'empêche de faire du mal aux femmes et aux enfants, il n'hésitera pas une seconde à attaquer si ses supérieurs leur en donne l'ordre. Si une femme ou un enfant ose l'humilier ou le provoquer publiquement, utilisant cette faiblesse contre lui, Dante aura également tendance à oublier momentanément ses principes. Mais normalement, ce sont les hommes qui sont le plus en danger. Dès que le mafieux sent qu'on met en doute son autorité ou que quelqu'un le menace, il en viendra à la bagarre. Et il faut savoir que l'italien n'est pas un frimeur, il sait se battre. Défier Paolo Dante Valentino en duel, c'est signer son propre arrêt de mort. Il vaut mieux ne pas se fier à son apparence qui pourrait sembler peu intimidante, Dante est définitivement un fauve. Rapide, sans pitié et connaissant tous les points faibles du corps humain, il est rapide à gagner. Il faut dire aussi que tout ce qui est physique est un jeu d'enfant pour l'italien, que ce soit dans une bataille ou dans un lit. Ses prouesses et ses séductions sont d'ailleurs très reconnues à Venise. Et bien que tout le monde sait qu'une nuit passée avec Dante est dangereuse, vu ses appétits sexuels violents, curieusement le mafieux trouve toujours quelqu'un pour réchauffer son lit. Mais une chose est certaine, lorsque l'on séduit Dante, on doit s'attendre à des ébats passionné, violents et presqu'animaux. Il n'a pas grande compassion pour les autres et a tendance à agir avant de penser, se laisser emporter par ses émotions. C'est donc très facile pour lui d'oublier que la personne avec qui il est peut ne pas ressentir la même chose que lui et souhaiter qu'il arrête. Et même en le réalisant, Dante ne s'arrêterait sûrement pas, raisonnant que l'autre n'avait qu'à pas le séduire et que maintenant il devait récolter ce qu'il avait semé. Il faut savoir aussi que les hommes qui résistent excitent grandement le mafieux. Bien sûr, une bête comme ça, ça aime le défi même durant les ébats...

    Avec quelqu'un comme Dante, on ne doit pas s'étonner de vêtements déchirés, d'équimoses et de coupures. Parce qu'il aime mordre, il aime griffer et il adore marquer son territoire. Quand je vous disais qu'il ressemblait à un félin ! C'est quelqu'un de terriblement impulsif. Il aime laisser ses émotions prendre le dessus sur lui, que ce soit la colère, le désir, la joie, il se laisse totalement aller dans l'émotion. On la voit passer dans tous ses traits, ses yeux, son sourire et même son corps. C'est terriblement dangereux de se tenir avec Dante, puisqu'il est imprévisible, une minute il peut être tranquille et l'autre PAF il devient en colère. Mais si Dante est si ouvert avec ses émotions, il a tendance à cacher celles qu'il considère plus faibles, comme la tristesse et l'insécurité. Mais ces sentiments sont très difficiles à provoquer chez la mafieux qui préfère ne jamais penser au passé et ne jamais analyser en profondeur les répercutions de ses actes. Sinon, son mode de vie libertin et des plus sanglants le ferait sourciller et hésiter. Dante déteste l'hésitation. Il préfère dire ce qu'il pense et faire ce qu'il veut sans penser aux conséquences, trouvant que l'hésitation ne faisait que freiner et ne fait rien avancer. L'indécision le fiche en colère et l'agace au plus haut point, voilà sans doute pourquoi il aime tant son boulot de suivre les ordres sans trop se poser de questions. C'est quelqu'un de monstrueusement franc et d'honnête. Jamais vous ne pourrez entendre un mensonge sortir de la bouche de Dante, il aime bien trop le choc qui apparaît sur le visage des gens quand il est trop franc ou vulgaire. Et puis, les mensonges finissent toujours par se mêler et confondre, ce que Dante n'apprécie pas du tout. L'italien n'est pas littéralement ou vraiment une mauvaise personne. Certes, il a ses défauts, comme n'importe qui, mais il n'aime pas torturer les gens et il ne retire aucun plaisir à être cruel. Il croit plutôt à la mort rapide pour éviter la souffrance et c'est sans doute pour cela qu'il n'est pas doué dans les jeux psychologiques. C'est quelqu'un qui, malgré sa nature violente, peut devenir sensible aux autres s'ils sont proches de sa personne et chères à son coeur. Mais sa personnalité impulsive et dangereuse le rend malhabile pour penser aux autres et il a souvent du mal à savoir comment agir autrement. Et tout le monde sait que Dante déteste se remettre en question.

    Un autres aspect important du caractère de Dante, c'est son côté digne. Parce qu'il est aisé de voir que le mafieux a un sens de la dignité très poussé. Il déteste se faire ridiculiser et son image est d'une importance capitale pour lui. L'italien ne supporte pas qu'on tente de lui tenir tête et de l'humilier, non pour lui c'est une chose qui ne se fait pas. Il enrage quand il perd la face et fera tout pour se venger et revenir au top. Cette dignité lui vient de sa famille, un nom très reconnu. D'ailleurs si quelqu'un ne reconnaît pas Dante une fois qu'il a dit son nom, l'italien devient vite agacé. Il aime sa renommée et il aime être connu. C'est d'ailleurs pour ça qu'il a des manières des plus théâtrales, il aime quand les gens le remarquent, surtout quand ses gestes choquent. Dante vit pour traumatiser les gens et les étonner. Il adore faire les choses publiquement, agir outrageusement, faire le fanfaron. Quand il n'a pas de public, Dante perd un peu de sa force, il devient légèrement plus calme. Toutes ses réactions sont basées sur ce qui ferait le plus d'impact sur le public, toutes. Il possède également une sorte de panache, de prestance qui lui vient de son héritage italien bourgeois. Dante agit certes comme un animal, mais il est toujours bien vêtu et a des bonnes manières quand il le faut. Connaisseur de vin rouge, il refuse de boire de l'alcool de basse qualité et il en va de même pour la nourriture ou les vêtements. Bien qu'il met ses pieds sur les tables et utilise un langage vulgaire, le mafieux connaît la classe et l'utilise. Il sait être gracieux, bien posé et courtois quand il en vient le besoin. Il a également ce qu'on pourrait appeler un ego démesuré. Cet ego représente cette image qu'il se fait de lui-même comme un homme parfait et sans reproches, un parfait spécimen de mâle italien. Il n'est pas narcissique, mais il a tendance à trouver ses propres blagues hilarantes et son propre charme irrésistible. Il sait qu'il gagne toujours ses bagarres et il joue les prétentieux en exhibant des conquêtes sexuelles sans aucune gêne. C'est réellement quelqu'un qui aime que l'on l'admire et qui se croit en droit d'exiger des fans.

    Et donc, Dante est un homme d'action des plus violent et impulsif. Ce n'est pas quelqu'un qui aime les jeux de tête. Les échecs, les jeux de mots... Il se perd dans ce genre de chose et n'aime pas trop utiliser sa cervelle pour les comprendre. Comme il a la colère facile, le mafieux préfère ne pas perdre son temps avec ce genre de jeux et passer directement au physique. Il n'avouera jamais qu'il est nul aux échecs, par exemple, et ne pourrait refuser un défi si on le lui proposait, mais il détesterait jouer et perdrait sans doute pour son plus grand dam. L'italien n'aime pas rester en place quelques minutes pour réfléchir, il doit constamment être en action ou avoir un objectif, sinon il devient vite agacé et en colère. Dante déteste ne pas savoir comment réagir à une situation et il déteste aussi se battre contre lui-même. Une fois que quelque chose arrive dans sa vie, il a tendance à l'accepter et à passer outre le plus rapidement possible afin de ne pas trop penser aux émotions fortes qui s'y rattachent. La mort d'un de ces proches, par exemple, lui sera quelque chose de très difficile. Il aura tendance à s'énerver contre les gens qui pleurent et à lancer des trucs comme : 'hey alors ??? Il est crevé, on passe à autre chose !!!'. C'est quelqu'un qui n'aime pas paraître faible et qui n'accepte pas le trouble. Il préfère s'occuper à autre chose et laisser ses émotions de côté. D'ailleurs, quand ses émotions prennent le dessus, il devient vite frustré et doit passer sa colère en tapant sur quelque chose... Ou sur quelqu'un. Ce n'est pas une manière très orthodoxe de faire les choses, il faut bien l'avouer, mais il s'agit de Dante. Un dernier aspect de sa personnalité à souligner, c'est son charme. Dante possède un charme animal fou, il est capable de séduire aisément et ce rien qu'avec un regard enflammé. Il utilise très souvent cet atout d'ailleurs et se sert de son physique avantageux pour attirer des proies dans ses filets. C'est donc une personne fort dangereuse, ce Dante. ET avec une personnalité aussi explosive, il ne faut pas s'étonner que les gens préfèrent l'éviter !


    } Ce qu'il aime {TOP 10} :
    ~ Tabasser quelqu'un pour passer sa frustration
    ~ Baiser un mec pour passer sa frustration, préférablement contre un mur
    ~ Boire de l'alcool pur, de l'alcool d'homme
    ~ Siroter du vin rouge le soir
    ~ Se pavaner dans les rues
    ~ Engloutir un bon steak à l'américaine
    ~ Visiter les bars karaoké pour se défouler dans la chanson
    ~ Sourire d'un air diabolique
    ~ La musique classique
    ~ Les vieux films de mafia

    } Ce qu'il deteste {TOP 10} :
    ~ Les femmes
    ~ Les mecs trop romantiques et collants
    ~ Passer la soirée dans un appart sans air climatisé
    ~ Les cocktails alcoolisés
    ~ Le tofu
    ~ Avoir une carrie
    ~ Être malade et devoir rester cloué au lit
    ~ Son frère Vinny
    ~ Quand un autre pays gagne contre l'Italie au soccer
    ~ Le froid




Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Godfathert
Ouais ch'suis mafieux, ya un blème ?
    Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} 3800707sPaolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} 1327857Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} ThSAAVE_tyki_13
    } Specialite : La spécialité de Dante se résume à la brutalité et à la peur. Il a une force physique indéniablement grande et des instincts presqu'animaux. Sa force est dans l'impulsivité et la violence. On lui confie souvent les boulots les plus sales, ceux qui nécessitent une grande brutalité. Une victime plutôt coriace par exemple ou assez défiante. On lui confie souvent la tâche d'aller éclater la cervelle d'un quelconque ennemi du parrain, et ce souvent devant témoins parce que sa prestance et sa manière bestiale de faire les choses alimente la peur des gens envers le parrain et permet à celui-ci de rester au pouvoir. Dante est connu pour son tir de gâchette rapide et ses manières crues de parler. Il n'hésite pas à frapper au sang et à tuer de ses mains nues s'il le faut, et ce sans sourciller. Il ne fait pas par contre dans la torture et si ses manières semblent celles d'un monstre, il a une humanité qui l'empêche de faire trop souffrir les gens avant de les tuer. On peut l'engager pour flanquer une bonne fessée aussi, il est doué là dedans. La spécialité de Dante réside donc dans les interventions bruyantes, publiques et sales. On ne l'engage jamais pour une tuerie silencieuse, parce que pour ça il n'est pas doué. Non, Dante aime trop l'aspect théâtral de sa profession pour s'empêcher de défoncer les portes et de parler fort. Niveau discrétion c'est sous zéro. Sinon, il est plutôt doué au combat à mains nues et avec les couteaux, niveau fusil il est doué pour la rapidité mais pour viser c'est une autre histoire. Pas qu'il soit à pleurer, mais quand même c'est pas bien joli.

    } Armes : Dante traîne toujours sur lui deux fusils. Il en prend soin comme si c'était de vraies personnes, les astiquant et les rangeant chaque soir près de son lit. C'est son père qui les lui donna quand il entra au service du parrain et Dante les adore. Ces deux fusils, sont spéciaux. Ils sont premièrement équipés d'un silencieux puissant qui empêche quiconque d'entendre une balle lancée. Mais bien souvent Dante désactive ce silencieux parce qu'il aime la terreur que procure le bruit d'une balle lancée dans une foule. Les balles sont spéciales aussi, conçues pour tuer peu importe si une cible vitale a été touchée. Il y a une toxine mortelle à l'intérieur de la balle qui elle-même explose une fois qu'elle entre en contact avec de la chair humaine. L'autre arme qu'il aime bien utiliser, c'est ce petit couteau qu'il traîne toujours avec lui, que ce soit dans sa manche ou à la ceinture. Il sort d'ailleurs souvent ce couteau pour jouer avec ses doigts sur une table, passant la lame entre ceux-ci et obervant avec amusement les regards fascinés des gens autour. Par contre, il a le dédain pour les poings américains et les armes trop barbare, jugeant qu'un vrai combat devrait être fait à mains nues et pas avec des armes cachées. Sa meilleure arme est toujours son poing, qui peut facilement rendre n'importe qui par terre en un seul coup. Bien sûr après, faut que Dante râle parce qu'il a les jointures disloquée, mais ça n'est pas inscrit dans sa réputation heureusement !

    } Conditions : Entrer dans la mafia pour Dante n'était ni un choix ni réellement une calamité. Sa famille est entièrement au service du parrain depuis même avant que celui-ci entra au pouvoir, résultat pour l'italien c'était assez ordinaire que de dévouer sa vie à un maniaque. Son père et sa mère vantèrent le parrain et le vénérèrent comme un dieu toute son enfance et comme ce n'est pas quelqu'un qui a l'habitude de réfléchir avant de tirer des conclusions hâtives, Dante fut tout disposé à les croire. Il entra au service du parrain donc en toute connaissance de cause et bien avec joie, mais on peut considérer le fait que s'il n'avait pas été éduqué dans une famille si pro au parrain, il aurait très bien pu travailler contre lui.

    } Lien avec Parrain : Dante respecte le parrain pour ce qu'il a réussit à accomplir, soit la domination complète de Venise. Comme c'est son employeur, il prend bien soin de lui obéir au doigt et à l'oeil sans trop se poser de questions sur ses motifs ou sur les contrats qu'il doit entreprendre. Il exécute comme un bon petit chien sans se plaindre. Dante a toujours trouvé que le parrain avait de la classe et devait être très intelligent pour se rendre là où il était en ce moment. La famille entière des Valentino a juré de vivre et de mourir pour le parrain et cette promesse incluait tous ses descendants.


Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} 96737816
Y'a quelqu'un de l'autre côté d'ce machin ?
    Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Thdgmm_starsoft5Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} AnothertykiPaolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Antyki
    } Pseudo : Je me présente, Keilys ou Lace de mon pseudo et Fannie de mon prénom <3.

    } Age : 19 ans... À croire que ça pousse vachement vite la mauvaise herbe oo.

    } Sexe : Eu... Indéfini ? Non je vais dire femme xD

    } Avatar du Perso : L'avatar est une représentation de Tyki Mikk du manga D.Gray Man, un perso que j'ai toujours affectionné <3.

    } Comment j'ai connu le forum : En farfouillant dans les partenariats il y a longtemps, mais j'en suis à mon deuxième compte, mon premier étant Dylan P. Jackson =). Les ressemblances dans les noms ne sont pas intentionnelles xD.

    } Ce que j'aime / Deteste : J'adore le design déjà et le concept du forum, par contre j'aime pas les bannières en alternance, ça me perturbe x).

    } Autre : Eu... Pardon d'avoir été si longtemps absente à cause de mes vacances ? .... Je déconnes hein ? xD Ok by Amy


Dernière édition par Paolo D. Valentino le Mer 20 Oct - 3:51, édité 11 fois
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Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Vide
MessageSujet: Re: Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE}   Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Icon_minitime1Sam 11 Sep - 2:51

{ Je n'avais plus assez de place x).}

Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Histoirel
Hey oh, ma vie est pas si terrible ! Bon y'a beaucoup de sang mais sinon...
    Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Tyki8Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} ArghhhtykiPaolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Tykismirk

    { Biographie :

    Legende :
    - .................... Paolo Dante Valentino
    - .................... Lorenzo Valentino
    - .................... Sean Hawkins
    - .................... Pablo Vincente Valentino
    - .................... Autres


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|| PROLOGUE ||
Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Dante4 Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Prologueb Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Seant
I was too occupied by my hormones to notice the forlorn look in his eyes...
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    « Hey oh tu vas m'lâcher le mioche ?! Tu commences vraiment à m'énerver ! Je t'l'ai dit gentiment, t'as pas compris, alors je vais y aller plus bruquement : DÉGAGE ! »

    Le ton agacé perça le bruit de la salle pourtant bien assourdissant, provoquant une légère accalmie. Ce fait était bien surprenant, vu le nombre de gens dans le bar cette nuit là et la musique forte qui servait d'ambiance. C'est sans doute parce que cette voix avait réussit à attirer autant l'attention avec une seule réplique que la populace avait apparemment décidé de suivre la conversation. Les gens, curieux et fidèles à leur nature d'êtres humains, tentèrent de découvrir celui à qui appartenait cette voix irritée et jetèrent des regards furtifs autour d'eux, se murmurant doucement entre eux. Après quelques instants, tous les yeux étaient fixés sur un jeune italien sans gêne qui se tenait, les pieds sur la table et les bras derrière la tête, en équilibre sur sa chaise de bois. Un équilibre des plus précaire, notons le bien. Il fixait d'un air résolut son verre qui semblait presque vide et qui demeurait à côté d'une bouteille de whisky et on pouvait presque l'entendre se grincer les dents. Un jeune blond qui faisait tache parmi ces têtes brunes et bouclées observait avec intérêt un couteau qu'il astiquait avec un morceau de tissus et qu'il tenait entre ses doigts, portant une attention minime à son compagnon de table, celui qui venait de déranger les gens du bar. L'italien ne donnait aucun indices sur la raison de son soudain vacarme et cela prit quelques secondes avant que la populace ne comprenne que la source de son irritation se trouvait un peu derrière lui. Cette source était sous la forme d'un jeune homme quelque peu penaud et rougissant qui semblait blêmir et rougir alternativement sous la soudaine attention de la salle. Le pauvre semblait peu adapté à affronter les colères de l'italien et hésiter à recommencer à parler. Ses petits yeux noisettes faisaient souvent le trajet entre la porte et le jeune irrité et ses pensées trahissaient aisément cette envie de fuir. Mais malgré tout, il resta sur place et releva légèrement le menton, comme se préparant à affronter un ouragan.

    « M-Mais Dante... Hier tu as dit que- »
    « Merda mais tu comprends rien ou quoi ?! Hier j'voulais juste te prendre par tous les trous ! Si j'avais pas un peu romancé l'affaire, t'aurais jamais ouvert les cuisses ! Eh beh maintenant que c'est finit, fiche moi la paix ! Et arrête de dire mon prénom comme si t'en avais le droit ! »
    « Mais... Moi je pensais que... »
    « Mais je m'en fiche de c'que tu pensais ! »

    Le jeune italien devint un peu plus nerveux, cherchant à deviner les émotions de son vis-à-vis à travers son cuir chevelu, puisque celui-ci persistait à ne pas lui faire face. Il cherchait des brimes de courages dans le fond de son être, du moins assez pour faire face à cet être qui venait de lui chambouler la vie. Le pauvre n'arrivait pas à croire que cette nuit qui avait été si merveilleuse pour lui n'avait été rien de plus qu'un amusement pour Dante. Non il ne voulait pas le croire... Comment avait-il pu être aussi dupe ? C'était impossible de se tromper à ce point non ? Ridicule même. Il refusait de faire face à cette gaffe, ce serait trop monstrueux... Lui qui avait maintenant observé Dante depuis quelques jours et qui avait même cru tomber amoureux... Était-ce réellement possible que l'italien ait été aussi cruel ? Qu'il lui ait menti ? Une petite voix dans son esprit lui rappela les ragots qu'il avait entendu au sujet du jeune homme, mais il la fit taire immédiatement, refusant toujours de faire face à la réalité. Dans un dernier effort, il releva le menton, cette fois un peu plus bas que la première fois qu'il avait réussit à rassembler les miettes de son courage, et recommença à parler malgré l'agacement que cela procurait à Dante.

    « Je... Je partirais pas tant que tu- »
    « RAH ! Mais merda, j'te dirais jamais que j'suis amoureux d'toi parce que c'est pas vrai et que j'fais pas dans l'amour ! C'est pas ma faute si tu t'es pas informé avant d'me laisser te prendre, tout l'monde sait que j'pourrais jamais m'satisfaire d'un petit gamin comme toi ici, y'a que toi qu'y'a pas compris ! »

    Le jeune homme avait sursauté en entendant le 'RAH' sonore et n'avait pas pu ainsi terminer sa phrase. Mais le bruit de la chaise qui se reposait avec fracas sur ses pattes arrières sur le sol et des poings de l'italien heurtant la surface de la table l'avait encore plus impressionné que le 'RAH'. Les phrases qui sortaient de la bouche de Dante semblaient si cruelles et insensées qu'il ne les entendit qu'à moitié. L'italien était apparemment à bout de patience et depuis la veille, il savait que ce n'était pas bon signe de le mettre à bout, mais il ne pouvait s'en empêcher. Il voulait que Dante admette que c'était la vérité, ce qui s'était passé entre eux la veille, il en avait de besoin. Il ignora encore une fois sa propre raison qui tentait de lui remettre sous le nez toutes ces fois où il avait vu Dante draguer à gauche et à droite avant qu'il ne daigne l'approcher. Non, il ne pouvait accepter que Dante se joue de lui comme d'une loque... Après tout, dans ses rêves cela ne se passait jamais comme ça. Et donc, dans un dernier espoir, il approcha d'un pas, tendit la main vers lui et dit simplement :

    « D-Dante... »
    « JE T'AI DIS DE PAS DIRE MON PRÉNOM !!! »

    Un mouvement de panique saisit la foule quand la bouteille de whisky alla s'écraser contre le mur au fond de la salle, où Dante venait de la lancer. Il s'était retourné en même temps et avait donné un coup violent de revers de main au bras du jeune homme pour l'empêcher de le toucher, fixant d'un regard furieux l'insolent qui osait l'importuner aussi longtemps. Le pauvre jeune homme, incapable de supporter la pression d'un tel regard, s'écrasa visiblement et fixa d'un air apeuré la carrure impressionnante du mafieux. Dante venait-il de grandir de quelques mètres ou c'était seulement lui qui rêvait ? Il fronça les sourcils et finit par serrer les poings, sachant que s'il voulait avoir une chance avec cet homme, il devait être fort. Et donc, il rassembla cette frustration qui le tenaillait depuis le début de tout ceci et réussit à prononcer ces mots :

    « T-Tu as dis que tu m'aimais- »
    « ... Et tu m'as cru ?! Mais quel con ! Franchement, c'est pire que pathétique ton truc, c'est pitoyable ! »

    Le rire méchant de Dante trancha dans la salle et n'importe où ailleurs, sans doute aurait-il eu un silence choqué ou gêné... Mais dans ce bar, là où on était habitué aux colères et aux scènes de Paolo Dante Valentino, on ne pouvait que rire avec lui. C'était comme une petite pièce de théâtre pour ces gens, ils savaient tous que Dante fréquentait cet endroit et étant habitués à sa présence, ils ne pouvaient que venir à avoir hâte de ces moments. Ainsi, Dante avait toujours son petit public et les gens avaient de quoi à raconter à leurs collègues le lendemain. Tout le monde y trouvait son compte. Le jeune homme fixait cet homme au sourire en coin avec un air presqu'horrifié, comme s'il s'était agit d'un monstre. Qui était cet italien ? Où était passé ce Dante de la veille, séducteur et doux comme le velours ? Qui était cet alien qui avait prit la place du bel italien ? Cherchant quelque chose à ajouter et sentant la panique l'envahir en voyant que Dante lui échappait, il tenta son dernier recours d'une voix faible :

    « ... C-C'était ma première fois... »
    « Et j'suis censé pleurer là ? Merda mais t'es marrant toi ! »

    Au deuxième rire moqueur, le jeune homme cligna un moment des yeux. Comment pouvait-il ricanner de lui alors qu'il venait d'avouer quelque chose de si personnel, de si... Quelque chose qui le rendait si vulnérable ? Dégoûté et humilié, il laissa la rage l'emporter. Il s'approcha et donna un bon coup de talon sur le pied de Dante dans sa colère, le fixant droit dans les yeux. Par ce geste violent, il voulait se venger de cette cuisante humiliation. Mais il n'avait pas calculé qu'une créature telle que Dante soit dénudée de toute compassion... Aussitôt qu'il vit les ambres s'illuminer de rage, il regretta son geste. Il avait oublié que l'italien ne supportait pas qu'on lui tienne tête. Fatale erreur. Bientôt et à une vitesse fulgurante, il fut écrasé contre le mur par des bras puissants et en moins de temps qu'il en faut pour le dire, un couteau lui bloquait la gorge. Une terreur froide l'empara et il pu sentir très bien le bras de l'italien trembler de colère contre son épaule... Ainsi que la lame froide dans son cou. La salle demeura un moment silencieuse et une légère peur se prit dans les moins habitués aux scènes de Dante. Allait-il vraiment... ? Le jeune homme envoya à Dante un regard terrifié, n'osant pas bouger d'un seul millimètre de peur que cela le provoque encore plus.

    « IDIOTO !!! J'SAIS PAS C'QUI M'RETIENS DE-- DE-- »
    « Fiche lui la paix Dante, il en vaut pas la peine. »
    « ... Hmpf ! »

    Après un léger silence, Dante laissa tomber le jeune homme et sans un regard en arrière, le laissa choir. Il retourna s'asseoir en plaçant le dossier de la chaisse devant lui pour y poser son menton et ses mains, un regard furieux sur le visage. La salle redevint presqu'aussitôt bruyante, comme si rien ne s'était passé d'anormal. Et vu le fait que Dante passait ses soirées dans ce bar, ce devait probablement être assez ordinaire comme soirée. Le blondinet qui auparavant nettoyait son couteau et qui faisait face à Dante lui jeta un regard avant de lancer sur le même ton neutre que ses précédentes paroles :

    « ... Tiens, ça c'était divertissant. »
    « Ha la ferme Sean !... Il était mignon hier. »
    « Bah, comme tous les autres non ? »
    « Ha ha, tu serais pas jaloux vieux ? »
    « ... »

    Il y eut un léger silence tandis que Dante ammenait son verre à ses lèvres pour boire, avant de se rendre compte qu'il ne restait plus rien dedans. Il donna un coup de rage sur la table et fit signe au serveur de lui en apporter un autre d'un air impatient. Celui-ci s'empressa de lui obéir, le passant avant tous ses autres clients sans que personne ne se plaigne. Tous connaissaient les connexions de Dante... Et ce qui arrivait quand il n'était pas content. Durant tout ce laps de temps, Sean l'observait sans vraiment le faire, lui jetant un regard presque pensif. L'italien était en train de reluquer un jeune homme qui se dandinait joyeusement sur la piste de danse en lui jetant des regards timides et admiratifs. Dante offrit un sourire en coin au jeune homme qui rougit d'avantage et Sean su tout de suite ce qu'il avait en tête. Ces instants passés et son verre en main, Dante le termina en une grosse gorgée, puis se leva prestement, ses sourcils toujours froncés sous l'agacement et son regard fixé sur le corps jeune qui se trémoussait sous la musique populaire. Son regard alluma une lueur de mécontentement dans les prunelles violines des yeux du blondinet.

    « J'men fiche, j'vais danser. Tu viens ? »
    « Plus tard. »
    « Comme tu veux, vieux débris ! »

    L'américain regarda son ami partir d'un pas confiant vers sa prochaine victime avec un regard songeur. Il le fixa pendant qu'il dansait, notant de suite les mouvements sensuels qu'il avait tant vu de fois et les sourires pleins d'auto suffisance, fronçant légèrement les sourcils tandis que ses doigts se crispaient sur sa bouteille de bière. Il entendit un couinement qui le déconcentra un moment de la scène et se retourna juste à temps pour voir du coin de l'oeil le pauvre jeune homme qui avait faillit se faire tuer par un italien furax quelques secondes auparavant prendre la fuite et fermer la porte derrière lui. Sans doute que de voir sa flamme danser avec un autre si peu de temps après avoir faillit l'embrocher avait été trop pour lui. Les jeunes étaient si fragiles de nos jours... Sean fixa un moment la porte fermée, puis le reflet des deux danseurs dans son verre, notant le rire fort de Dante et le sourire aguicheur du jeune homme. Le spectacle ne lui plut pas du tout. Une lueur sombre prit possession de ses iris et un sourire presque douloureux se posa sur ses lèvres tandis qu'il lançait plus pour lui-même que pour quiconque :

    « ... Jaloux hein ? »



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Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Story1r
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    Il est de notoriété publique que quand une famille de bourgeois décide de faire la fête, c'est une chose qui se fait en grand. Et quand cette même famille est celle des Valentino, on peut s'attendre à une soirée grandiose décorée de chandeliers de cristal et de fontaines de champagne. Cette soirée là, on fêtait l'anniversaire du jeune héritier de la famille, un italien dénommée Pablo Vincente Valentino qui montrait bien de la promesse dans son avenir. Intelligent, séduisant et rusé, ses parents ne pouvaient en être que fiers. D'ailleurs ils prenaient bien soin de souligner cette fierté chaque fois qu'ils rencontraient de leurs amis. Ainsi on pouvait entendre dans les rues et les salons chics 'Melle Valentino affirme qu'elle est très fière de son fils' ou encore 'On dit que monsieur Valentino est certain que son fils sera une grande étoile dans sa compagnie'. Mais était-ce réellement le cas ? Personne ne remarquait cette petite lueur de doute dans les yeux des parents quand ils prononçaient ces phrases. Ils vivaient dans la peur que l'on remarque que leur fils passait son temps à courir après les jupons et à faire ce que bon lui semblait. Les pauvres étaient au bout du rouleau, après des années à cacher le comportement sauvage de leur seul enfant. Durant cette fête, ils désiraient présenter à Dante des gens importants afin de l'intéresser à autre chose qu'aux femmes. Ce qu'ils n'avaient pas anticipé, c'était que la présence de Rosa Gabriela Fuestelli gâcherait tous leurs plans. Dès la vue de la déesse aux cheveux noirs, Pablo n'avait plus d'attention pour de vieux riches ennuyants. Ils passèrent la nuit à se séduire à distance et à danser ensemble, provoquant moult murmures sur leur passage pour le plus quand dam des parents... Ceux des deux côtés. Les parents de Rosa souffraient malheureusement ou heureusement des mêmes embarras que ceux de Pablo. Alors quand une servante trouva le jeune héritier de la famille nu avec la jeune femme dans sa chambre, ce fut la goutte qui fit déborder le vase. Les parents séparèrent les deux jeunes adultes et décidèrent chacun de leur côté d'enfin habiter leurs rôles de parents. Du moins ce fut le plan avant la découverte que Rosa était enceinte.

    Le mariage fut grandiose et personne ne suspecta une seule seconde qu'il avait été souillé d'avance. Les deux jeunes gens furent enchantés de se marier, étant tombés fous l'un de l'autre dès le premier regard. Et les parents furent très heureux de la conclusion de cette sordide affaire, se félicitant mutuellement d'avoir su remettre leurs enfants sur le droit chemin. Et après les premiers mois de mariage, ils durent avouer que finalement leur plan n'avait pas été si magnifique. S'ils avaient espéré que le mariage de leurs enfants aurait freiné leurs tendances sauvages, ils avaient eu monstrueusement tord. Après seulement un an de mariage, le couple faisait la une des journaux et chaque fois un nouveau scandale éclatait. Rosa Gabriella Valentino trouvée au lit avec ses 5 servantes, Pablo Vincente Valentino trouvé coupable d'avoir rendu enceinte la fille du président d'une grand compagnie... Et malgré tout ça, le couple était toujours follement amoureux. Les parents découragés virent le cercle social qu'ils aimaient tant les quitter tranquillement et refuser de recevoir leurs enfants qui ne s'en formalisaient pas trop. Ils étaient un peu préoccupés à rendre leur nouveau manoir présentable et à se trouver des occupations. La jeune femme devint bien vite adepte au choix de couleurs pour la maison et de meubles, tandis que le jeune homme se découvrit une passion pour les armes sous toutes leurs formes. Et puis, il y avait cet enfant qui était venu, le petit Lorenzo. Ils engagèrent une nounou pour élever le petit, quoi qu'ils l'adorèrent et le visitèrent bien souvent, il fallait bien admettre que de tels parents n'étaient pas les bienvenus dans l'élevage d'un enfant. Et donc, l'étrange famille continua de multiplier les scandales et les orgies sans se formaliser de leurs images, se créant un réseau de contacts assez grand. Leurs propres parents ne pouvaient se résoudre à leur couper les vivres en premier lieu et quand il fut découvert que Pablo avait réussit à manipuler la banque qui contenait leurs fonds afin d'obtenir le contrôle sur tout, il était trop tard pour changer d'avis. Le petit Pablo réussit même à créer sa propre entreprise dans le domaine de l'économie, se basant sur ce que son père lui avait appris et embellissant le tout.

    Bref, ce couple étrange mais intelligent devint vite riche et puissant dans la bourgeoisie plus sombre de Venise. Mais venant la naissance de Dante, les parents commencèrent à désirer d'avantage de gens dans leur cercle social qui diminuait tristement. Les gens ne voulaient plus rien avoir à faire avec ces gens étranges et scandaleux et les pauvres Valentino ne pouvaient que s'attrister de ne pas connaître de gens comme eux. C'est donc quand le petit Lorenzo avait 9 ans et le petit Dante 5 que les parents commencèrent à entrer dans des cercles plus noirs, des cercles de gens qui déjà complotaient avec celui qui serait prochainement le parrain pour contrôler la ville. Les Valentino entrèrent aisément dans ce genre de cercle et cette influence plus noire affecta directement les enfants de la famille. Lorenzo et Dante étaient aussi différents que le jour et la nuit, même durant leur enfance. Lorenzo, le plus calme et sérieux des deux, passait son temps à jouer calmement à des jeux de logique et à lire des livre de psychologie humaine tandis que son frère préférait courir dans la maison, bousiller des meubles et faire de la luge dans les escaliers. Mais contrairement à ce que l'on pourrait penser, les parents ne se fâchaient pas du comportement si sauvage et violent de leur plus jeune progéniture, au contraire ils se félicitaient d'avoir su enfanter un être si ressemblant à leur propre personne. C'était certes une bien étrange maisonnée que celle des Valentino, les serviteurs pourront vous le confirmer, bien qu'eux-mêmes étaient choisis pour leurs comportements hors norme, afin de bien marcher avec le reste de la maisonnée. On se croirait presque dans la maison de la famille Addams ! Et ce fait ne fut que plus grand quand la petite Mafalda arriva dans la mêlée, ajoutant encore un peu de vacarme dans le manoir. Les poursuites entre Mafalda et son frère Dante de 8 ans dans la maison étaient bruyantes, les deux possédant le même caractère bouillonnant. Il était courant de voir les trois enfants dans le salon, Dante poursuivant sa soeur de 2 ans qui lui avait piqué quelque chose et Lorenzo lisant confortablement sur un divan en observant la scène du coin de l'oeil avec un sourire, du haut de ses 12 ans.

    Si les enfants avaient tous un caractère disparate, ils n'en étaient pas pourtant éloignés. Non, la famille Valentino était de ces famille proche qui s'entendait à merveille, si curieux que cela puisse paraître. Les parents s'adoraient d'un amour presque malsain et adoraient leurs enfants de la même manière, leur montrant tout ce qu'ils savaient et s'assurant qu'ils avaient tout ce que leurs petits coeurs pourraient désirer. Mais attention, ils n'étaient nullement des parents gâteaux, ils savaient dire non même aux yeux de biche de leur petite fille et les punitions allaient bon train quand quelque chose ne faisait pas leur affaire... Mais les choses qui ne faisaient pas l'affaire du couple étaient légèrement différentes de celles des autres parents normaux. Et donc, si Dante resta sauvage et imprévisible en grandissant, c'est un peu de leur faute, puisqu'ils refusèrent de le punir, trouvant ce trait chez lui parfaitement ordinaire et plaisant. Les enfants restèrent fidèles à leurs différences même en grandissant, Lorenzo devenant l'image même de l'élève modèle, calme et intelligent, faisant ses devoirs et réussissant tous ses examens. Dante lui... Disons qu'il eut plus de mal. Sa concentration ne restait jamais longtemps sur ses travaux ou son professeur et ses cours l'ennuyaient. Ses professeurs se plaignaient de son incapacité à rester assit deux secondes et de son caractère colérique qui distrayait la classe. Et pourtant, Dante se fit rapidement des cercles d'amis et d'admirateur parmi les plus vieux de l'école, son charme naturel attirant les gens comme des mouches. On lui pardonnait aisément ses tendances colériques et imprévisibles et on s'assemblait en foules quand il se décidait de tabasser un autre élève trop prétentieux à son goût. Il se bâtit rapidement une réputation de petit dur à cuir incontrôlable et intriguant. Mais à ce stade de son existence, le jeune garçon n'était pas encore le monstre qu'il est aujourd'hui, il tenait encore un peu de son innocence et quand il usait de la violence, c'était seulement pour garder son statut de mâle alpha et sa réputation intacte. Parce qu'enfant, Dante tenait son honneur à coeur. Peut-être un peu trop. Il se défonçait dans son cours d'éducation physique, trouvant les sports bien pour le défouler de son énergie en surplus.

    Mais ses autres cours... Disons qu'ils l'ennuyaient beaucoup. Il arrivait souvent que Dante décide de se balader dehors au lieu d'aller à ses cours ou même de quitter une classe en plein milieu sans demander rien à personne. On pourrait se demander pourquoi les professeurs ne se plaignaient pas plus d'un tel manque de discipline chez l'enfant... Mais il fallait comprendre qu'à ce stade, les parents de Dante étaient déjà très hauts placés et amis avec des gens un peu dangereux. Le personnel enseignant n'avait pas tellement envie de déplaire à ce genre de gens et encore moins de s'en faire des ennemis... D'autant plus que l'école recevait beaucoup d'argent de la part de ce genre de familles. Et donc, les enseignants avaient appris à fermer les yeux sur le comportement décevant du jeune italien. Et les parents ne trouvaient rien à redire d'une telle attitude, laissant donc leur fils agir comme bon lui semblait. Et donc, déjà à ses 10 ans, Dante faisait un peu ce qu'il voulait. Son frère de 14 ans grimpait les échelons scolaires sans difficulté et sa soeur de 3 ans enjolivait la maison de ses rires et de ses cris énergétiques tandis que lui manquait des cours et se tenait avec les plus vieux du collège pour faire les quatre cent coups. La vie continuait son cours, laissant les parents descendre encore plus dans un cercle d'amis noirs, patrons de maisons closes et chefs louches, tandis que Dante continuait de couler ses examens et de jeter ses devoirs dans le foyer. Elle aurait pu très bien rester ainsi pendant un moment et sans doute que Dante serait à présent un peu voyous mais pas aussi démoniaque... Mais quelque chose arriva, une chose terrible, qui changea l'italien pour toujours. Le père de Dante avait commencé à tenter d'intéresser son fils à autre chose que les sports et la violence, comme peut-être les armes qui étaient sa propre passion ou encore de lui inculquer ce désir de pouvoir qui lui avait permit d'être aussi bon dans son domaine. Mais il était fort déçu de voir que son fils n'avait jamais assez d'attention pour se concentrer sur une seule chose à la fois. Il se concentrait donc sur son autre fils, qui se découvrait une passion étrange pour la psychologie humaine et grâce à ce paternel si aimant, sa passion tourna un peu vers le noir, les côtés plus sombres de cette psychologie. C'est sans doute à cause de ce paternel que Lorenzo devint si fasciné par la douleur et la torture humaine.

    Bref, durant cet oubli de son père, Dante continua de faire comme il l'avait toujours fait, soit fuir ses cours. Il passait souvent par dessous une clôture pour rejoindre les bandes de plus vieux qui fumaient dans les parcs près de son collège, c'était plus rapide que de contourner vers la sortie. Souvent, des jeunots plus jeunes que lui ou de son âge le voyaient faire et commençaient à se frustrer que personne ne l'arrête. Mais ce qui les mit vraiment à bout, c'était quand les plus vieux les tabassaient et que Dante les regardait faire sans rien dire. Les enfants sont cruels, on le sait bien. Et cette bande de gamins, ils étaient cinq, décida de se venger de leurs malfaiteurs. Mais comme ils étaient trop jeunes pour entreprendre de se venger sur leurs bourreaux, ils décidèrent de se venger sur Dante, même s'il n'était pas directement impliqué. Ils le coincèrent alors qu'il s'en allait repasser par la clôture pour rejoindre son cours de sport, prenant bien soin d'attendre que les plus vieux soient partis et ils l'attaquèrent de mots et de bousculade. C'était une expérience traumatisante pour l'italien. Il se souvient encore de l'un d'eux le maintenant sur le sol tandis qu'un autre lui tenait les pieds. Il se souvenait des rires et de la panique qu'il avait ressentit en voyant la clôture se rapprocher de son front. 'Ça t'fera quoi de pas passer pour une fois, hein ?!' les paroles l'avaient traumatisé. Et il avait eu beau se débattre et hurler, il était impuissant. Un gamin courut chercher le surveillant le plus proche en voyant la scène et l'adulte arrêta le tout, mais pas avant que Dante ne connaisse la cuisante sensation de sept morceaux de métal lui entrant dans le front. Cette expérience rendit Dante conscient de sa propre vulnérabilité et lui qui se croyait tout puissant, n'apprécia pas de se réveiller aussi brusquement de son rêve. Ses cicatrices le hantèrent et il passa plusieurs nuits à ne pas dormir, ressassant le tout dans sa tête. Ce fut un cauchemar que de vivre durant ces moments, tout lui rappelait cet instant. Et la seule vue de la clôture lui procurait des frissons d'horreur et des crises de panique. Dante devint plus silencieux, plus apeuré. On commença à faire circuler la rumeur que le grande Dante venait de descendre de bas.

    Toute cette humiliation créa en Dante une colère noire, une colère si sombre qu'elle prit toute la place dans son esprit... Et c'est là que tout changea. Si les circonstances avaient été différentes, sans doute que le jeune homme aurait pu sauver son futur en agissant autrement, mais la combinaison de son éducation par des parents loufoques et de son sens moral absent créèrent un monstre. Et il se vengea. Un gamin de 12 ans n'a pas encore la maturité de réaliser que faire du mal aux autres peut avoir des conséquences graves et dans le cas de Dante, c'était encore plus vrai. Chaque petit garçon reçut une punition bien pensée et ironique que Dante prit soin de planifier, une revanche digne de son père et de sa cruauté. Ce temps passé à planifier sa vengeance et le sentiment de pouvoir que son accomplissement provoqua chez l'italien le grisa et il y prit goût, comprenant enfin ce que son père tentait de lui inculquer depuis sa naissance. Le pouvoir, la prestance, le refus de se faire marcher dessus. Et cet acte de vengeance lui ouvrit l'appétit. Il voulait plus. Bien sûr, un tel acte ne pouvait rester sous silence et c'est donc quelques jours plus tard que le père de Dante fut mit au courant de ses actes. Mais au lieu de punir son fils, comme tout bon paternel aurait du le faire, Pablo Vincente Valentino félicita sa progéniture. Il vit dans cette vengeance la preuve que son fils savait se défendre et était un homme à part entière, quelqu'un qui savait tout faire pour garder sa place. Et soudainement, Dante devint son fils préféré. Le jeune italien reçut dès lors une attention très particulière de son paternel. Celui-ci le traînait avec lui chez ses connaissances et lui apprenait des choses qui lui tenaient à coeur, continuant à encourager son côté mesquin et violent qui semblait grandir avec les ages. Et avec autant d'encouragement et de compliments, Dante ne pouvait que devenir sûr de lui et aveugle aux conséquences de ses actes. Il devint bien vite dangereux et incontrôlable, une crapule. Sa réputation connu un changement radical à l'école, où il devint craint plutôt qu'aimé. On le savait sans pitié et capable de tabasser pour des conneries et on l'évitait. Les seuls qui se tenaient à ses côtés à présent, c'était des mecs plus vieux de la même trempe que lui, souvent les fils d'amis du parrain. Déjà Dante se trouvait du côté sombre. Et il était trop tard pour le changer.


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Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Part2t
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    Il faut bien admettre que le cas de Dante est un cas épineux. Il y a là des tas de facteurs qui contribuèrent à la création de sa personnalité si tordue, ses parents, son éducation, cet événement traumatisant de sa vie avec la clôture, son entourage et bien entendu sa propre prédilection à se laisser entraîner par ses émotions fortes. N'ayant jamais appris à gérer sa colère et à modérer son ego, Dante devint rapidement dangereux et comme personne ne fut là pour lui expliquer qu'il y avait autre chose dans la vie que son plaisir personnel, il grandit en solidifiant son caractère. C'est bien connu, une fois que la statue est sortie du moule, il est impossible de la changer. Et donc, à 14 ans, Dante était irrécupérable. Il fumait déjà à cet âge. Il buvait aussi. C'était un véritable petit démon, incontrôlable et impossible à arrêter. Ses émotions ne passaient par aucun filtre et il passait de la colère à l'extase en quelques secondes. Les gens autour de lui, tous de sa trempe, trouvait cela marrant. Personne ne fit rien pour le changer. Au lieu de lui opposer de la résistance, ses victimes se recroquevillaient sur elles-mêmes. Au lieu de le contrôler, ses amis l'encourageaient. Le jeune adolescent crut alors avec tout ça que son comportement était normal, ordinaire, correct. Il tabassait qui bon lui semblait, manquait des cours, se fichait de tout ce qui ne lui faisait pas plaisir. Et bien vite, vinrent les hormones. Le sexe arriva dans la vie de Dante très rapidement. Comme c'était quelqu'un de très orgueilleux et qu'il se tenait avec des garçons plus vieux que lui, la confrontation au monde érotique était inévitable. Il devint très vite apparent à Dante qu'il n'aimait pas les femmes. ces créatures lui paraissaient faibles et dégoûtantes, des manipulatrices hormonales obsédées par leur apparence. Quand ses potes envoyèrent une prostituée le visiter pour rigoler, il la gifla violemment et lui cria de déguerpir, que son toucher le dégoûtait. Mais il ne rencontra d'homme qui l'intéressait que lors de ses 15 ans. Oh il avait déjà embrassé et expérimenté avec quelques potes bourrés ou sur des substances illégales, mais jamais plus bas que la ceinture. Sa première expérience fut avec son tuteur personnel.

    Parce qu'évidemment, à force de manquer les cours et de faire suer les professeurs, Dante fut renvoyé de son école. Son paternel lui paya donc un tuteur personnel qui vint pour tenter d'éduquer son fils têtu. L'italien fut bien vite subjugué par les airs timides et amicaux du jeune homme de 5 ans son ainé. Le jeune adulte, encore aux études, avait vu la possibilité de se faire un peu de monnaie en acceptant ce boulot... Il ne s'attendit pas du tout à être l'objet de séductions malhabiles par son élève. Mais il fallait admettre que déjà à ce jeune âge, Dante était une créature difficile à refuser. Bien vite, Dante accepta son attirance envers les hommes et l'afficha fièrement, écrasant quiconque voulant le ridiculiser à cause de ce fait. Étant bagarreur, il refusa de se laisser battre par des homophobes, les tabassant pour leur rendre la pareille. Chez lui, on était fier. Après tout, ses parents aussi s'adonnaient à des orgies unisexes... Ce fut donc le début d'une adolescence de débauche et d'anarchie. Totalement libre de tout, Dante s'adonnant à des actes égocentriques et passionnés sans connaître une seule limite. Mais tout ceci changea quand il rencontra le parrain. Il ne vit l'homme qu'une seule fois durant une soirée dans le manoir d'une autre famille et il ne le vit que de loin. Mais sans savoir pourquoi, cet homme l'impressionna au plus au point. Et en le voyant, si loin, inaccessible, Dante fut soudain possédé par la soudaine envie que le parrain le remarque. À cette époque, l'homme n'était pas encore au pouvoir... Mais il avait réussit à se monter un cercle d'amis et d'admirateurs très grand. Dans ce cercle figurait le père de Dante qui ne parlait du parrain qu'en bien. Et quand Dante vit l'homme prendre possession de Venise, son objectif de le faire regarder dans sa direction ne fut que plus important à ses yeux. Et, sachant que son père était proche de l'homme, il alla de lui-même demander à son paternel son avis. Pablo éduqua donc son fils dans les métiers nécessaires au parrain pour faire régner l'ordre. Et Dante se découvrit une passion pour les armes. À partir de cet instant, il s'entraîna avec acharnement pour devenir le meilleur mafieux qui soit, sous l'oeil vigilant de son père.

    Il partit en mission avec d'autres jeunes et l'adrénaline de semer la terreur et le chaos lui resta dans la peau. Il voulait plus. Toujours plus. Dante voulait qu'on le reconnaisse partout, qu'on le craigne, qu'on n'ose plus le regarder dans les yeux. Il voulait être vénéré. Et il voulait être utile au parrain, à cet homme si haut placé. La première fois qu'il tua un homme, Dante se sentit trembler sous le sentiment de pouvoir. N'ayant jamais appris l'empathie, il ne pensait qu'à son propre bonheur en tuant, pas en ce que ressentait l'autre. Sa passion le fit monter dans les rangs des mafieux rapidement et on le reconnu assez vite comme un agent des plus excité. On hésitait à lui confier des missions puisqu'il était hors contrôle. Mais Dante, ne voyant que sa propre prestance et se voyant comme un dieu, refusait d'écouter ses supérieurs. C'est cette ignorance qui lui coûta presque sa vie. Lors d'une mission, Dante fut blessé de manière très stupide. Sa propre stupidité causa l'incident. Il aurait pu y passer, mais l'un de ses collègues lui sauva la vie. Il se retrouva à l'hôpital secoué, mais surtout humilié. Jamais encore il n'avait connu la défaite et même lui devait admettre que ses actes étaient des plus ridicules en cet instant. Son père lui visita. Son admission qu'il était déçu de Dante causa à l'Italien un choc émotionnel très puissant. IL passa plusieurs secondes à regarder son père lui tourner le dos, ne sachant quoi dire. Les premières semaines furent un cauchemar. L'italien devint muet et immobile, laissant les infirmières le soigner sans réagir, ne voyant rien autour de lui, écrasé par la réalisation qu'il avait faillit, lui le grand Dante. Ce ne fut qu'après la visite de son grand frère que Dante put se remettre de l'incident. Lorenzo et Dante avaient été très proches durant leur enfance, mais les études du grand frère et l'obsession sur sa personne du petit frère causèrent un petit trou entre les deux. Lorenzo avait regardé son frère tomber dans la débauche et l'égocentrisme avec un froncement de sourcil. Mais il n'avait pas réagit, attendant que son frère commette une erreur pour l'aider à se relever. Sa visite fut brève. Mais son message fut clair. Il proposa à Dante de l'aider à l'entraîner pour qu'il devienne un meilleur agent. Quelqu'un qui pourrait réellement inspirer la peur.

    Parce que l'italien n'avait fait que démontrer qu'il n'était qu'un gamin gâté qui ne savait pas trop ce qu'il faisait. S'il voulait se créer une réputation, Dante aurait besoin d'apprendre d'autres méthodes que de simplement se laisser aller à ses émotions. L'italien réfléchit beaucoup à ce que son frère lui dit. Lorenzo était déjà reconnut à cette époque comme un terrible mafieux, terrifiant et persuasif. Ses études dans la psychologie humaine le rendait très adepte à soutirer des informations... Dante savait que si quelqu'un pouvait l'aider à remonter sa réputation, c'était son frère. À partir de ce moment, Dante réalisa que s'il voulait qu'on le respecte, il devait montrer qu'il pouvait devenir quelqu'un de grand. Il devait faire plus d'efforts. Se surpasser. Et c'est donc dans ce nouvel esprit qu'il se détermina à guérir. Peu de temps après, un Dante de 19 ans sortait de l'hôpital et marchait jusqu'à l'appartement de son frère avec un air déterminé. Pendant près de deux ans, il s'entraîna sans relâche à devenir un meilleur agent. Il apprit à se servir de toutes les armes possibles et imaginables, il apprit à contrôler ses pulsions. Mais il apprit quelque chose de plus important encore : à utiliser son charisme naturel. Maintenant, Dante arrivait à utiliser son charme pour manipuler les autres. Au lieu de laisser paraître ses vraies émotions et de se rendre vulnérable ainsi, l'italien apprit à user de sourires et de rires pour se mettre les gens dans la poche. Il se muscla aussi le corps, retrouva cet amour du sport qu'il avait étant plus jeune. Et s'il continua de boire et de fumer, il arrêta totalement la drogue et se força même à apprendre certaines choses. Son frère le transforma en un Dante plus effrayant encore que le précédent. Si auparavant il était un diamant brut, maintenant il était bien taillé et scintillait de milles feux. Le nouveau Dante avait encore cette tendance à se laisser emporter par ses émotions. Il était aussi égocentrique. Mais il savait maintenant une chose : le plus important dans la vie, c'était de toujours avoir un but et de tout faire pour atteindre ce but. Lentement et en voyant ses efforts, Dante revint dans les bonnes grâces de son père. Il fut invité à regagner sa place dans sa famille.

    L'italien continua de vieillir et de gagner en maturité et malgré le tout, son objectif resta le même : se faire remarquer et adorer par le parrain. De mission en mission, Dante prouva au monde qu'il pouvait être une arme contrôlée et encore plus effrayante. Au lieu de simplement laisser ses émotions prendre le dessus sur son être, il apprit à canaliser ses forces et à user de la ruse. Bientôt, il devint plus important parmi ses confrères mafieux et on arrêta de l'associer à une nouvelle recrue sans contrôle. Et si le parrain ne le remarqua jamais en tant qu'individu, il s'attira la fierté de son paternel et pour l'instant cela lui suffit. Pendant bien des années, Dante resta le même. Sa nouvelle relation de complicité avec Lorenzo ne fit que s'approfondir avec le temps et c'est grâce à ce frère que l'italien apprit à se préoccuper d'un autre que lui-même. C'est dans cette période de temps qu'il se fit tatouer sur le front pour camoufler ses cicatrices, usant d'une marque de guerre pour se rendre plus terrifiant. Il rencontra aussi Sean, un américain coincé en Italie depuis le règne du parrain qui avait joint la mafia afin de ne pas se trouver parmi les faibles. Maintenant apte à penser à d'autres que lui-même, Dante se lia vite d'amitié avec le blond stoïque et avec Lorenzo, ils formèrent un trio solide. Le père de Dante acheta bien vite quelques lieux de nuit, se rendant propriétaire d'endroits où la mafia devrait frapper le plus souvent afin de faciliter leur tâche. Il acheta les droits de la majeure partie des clubs et des bars, permettant ainsi à son fils d'agir comme bon lui semblait dans ces endroits. Certains bars devinrent les endroits que Dante préférait pour aller se détendre après ses missions. Les habitués apprirent à tolérer les manières excentriques de l'italien. Il faut dire aussi que quand on sait que Dante avait la gâchette facile, on était prêt à tolérer beaucoup de choses. La vie continua donc son cours tranquillement, Dante de nouveau au sommet de sa gloire et ne remarquant pas du tout les regards convoiteurs que lui lançait Sean, son meilleur ami. L'américain avait en effet commis la grave erreur de tomber amoureux de l'italien, contre son propre bon sens. Mais il ne le dévoila jamais à Dante et celui-ci, aveugle aux sentiments d'autrui, ne le remarqua nullement.

    Dante connu cependant une légère transformation depuis ce nouveau italien que son frère l'avait aidé à construire et ce changement provint d'un terrible accident qui blessa sa petite soeur. Mafalda, en grandissant, connu une soudaine conscience qui lui permit de se rendre compte que le parrain était un homme cruel et méchant et qu'elle n,avait aucune envie de le suivre dans ses plans de domination. Elle était bien malprise, dans une famille qui le voyait comme un dieu parmi le commun des mortels. Mais comme elle avait la personnalité de Dante, passionnée et déterminée, elle refusa de passer ses doutes sous silence. Alors qu'elle n'avait que 16 ans quand la tragédie se produisit. Comme la famille des Valentino ne cache pas grand chose de ce qui se passe en son sein à l'entourage du parrain, il fut très difficile de dissimuler à ce dernier que Mafalda s'époumonnait contre lui à tous les repas du soir... Surtout quand elle s'évertuait à faire entendre ses discours enflammés à tous ceux qui passaient dans un rayon de 3 kilomètres de la maison. La famille Valentino a toujours été et sera sans aucun doute toujours importante pour le parrain, parce qu'elle est riche et puissante, donnant ainsi à l'homme quelques moyens pour financer son règne. Il faut dire aussi que d'avoir une telle famille sous sa botte est quelque chose de bien plaisant pour un homme comme le parrain. Il envoya donc trois de ses serviteurs punir la petite Mafalda de cet affront verbal à son autorité et ce devant toute la famille rassemblée. Dante vit donc trois hommes empoigner sa petite soeur et lui enfoncer une dague dans l'oeil après un gentil message qui ressemblait un peu à ceci : 'Le parrain vous souhaite le bonsoir et souhaite annoncer aux Valentino que quand ils lui ont juré allégeance, ils n'avaient pas l'option de le trahir. Cet acte sera donc une leçon à tirer.' Il voulut réagir, mais son père le retint de peine et de misère. Il observa donc sa petite soeur crier de toutes ses forces, se débattre et subir cette atroce punition. Depuis ce temps quand Dante voit sa soeur, il repense à cet instant et doit détourner le regard. Cet incident fit rapidement comprendre à l'italien que s'il pensait contrôler le parrain, il s'était trompé.

    Car le parrain conrôle les gens ou tue ses ennemis. Il n'y a pas d'autre option.

    Aujourd'hui, Dante est encore au service de ce monstre. Il n'a certes pas exactement les mêmes motivations qu'auparavant et sait que s'il venait à commettre la moindre erreur, le parrain n'hésiterait pas à le punir lui aussi d'une manière sans doute douloureuse. Il passe donc son stress dans l'alcool et le sexe et préfère ne pas trop penser à tout ça. Un air d'insouciance est, après tout, l'un des atouts principaux du jeune italien.



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|| ÉPILOGUE ||
Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Dantejunior Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Epilogue Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Pablod
It was too late to change now... I had tasted violence.
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    Un silence de plomb régnait dans le manoir Valentino en cette soirée froide du mois de Novembre. Un jeune garçon était assit sur son lit et fixait le sol d'un air neutre, attendant patiemment un événement prochain. Ses jambes, pas encore assez longues pour permettre à ses pieds de rejoindre le sols, pendouillaient mollement dans le vide. Le regard de l'italien semblait vide de toute expression, simplement résigné à son sort. Dans son esprit, l'image de cinq gamin riant moqueusement flottait doucement. L'un des visage, celui d'un gamin aux oreilles décollées et au visage horriblement taché de taches de rousseurs, devint soudainement plus important. Le jeune garçon sourit en revoyant cet affreux rouquin changer son rictus pour une expression d'horreur quand il aperçu son chat Blanche mort dans son casier. Un curieux sourire se posa sur les lèvres du jeune italien. Les gens étaient prêts à faire n'importe quoi avec si peu de billets verts, même de tuer une innocente créature. Plus loin, dans une autre salle du manoir, un homme demeurait debout devant un autre, celui-ci assit confortablement dans un immense et décadent fauteuil de cuir bourgogne. L'homme semblait mal à l'aise, si l'on pouvait en juger par ses légers tics nerveux que son vis à vis observait avec une attention particulière. Il semblait aussi bien inconfortable, ainsi debout et ne sachant pas s'il avait la permission de bouger. Une vile envie de se gratter la nuque le prit soudain et il pesta farouchement contre celle-ci. En relevant lentement le regard, il vit que le regard calculateur et imprévisible de l'italien qui lui faisait face était pointé directement sur lui et frissonna doucement, une soudaine sueur froide lui parcourant le corps. L'homme, les doigts entrecroisés sous son menton, finit par afficher un sourire courtois qui semblait plus prédateur qu'il n'aurait sans doute du l'être, puis lança sur un ton mielleux d'aristocrate :

    « Je vous remercie de vous être déplacé pour me faire part de cette... Bien fâcheuse nouvelle au sujet de mon fils, monsieur Fuestelli. J'aimerais maintenant converser avec ce dit fils en privé, si cela ne vous importune pas. Désirez vous quelque chose à manger ou à boire ? Un breuvage chaud peut-être, pour affronter le climat extérieur ? »
    « ... Un breu... ? Eu non merci Don Valentino je eu... Merci. »
    « Très bien, en ce cas bonsoir. »

    Un homme tout de noir vêtu ouvrit la porte du bureau et fit signe à l'homme nerveux de passer, signe clair qu'il avait étiré sa visite assez longtemps. L'homme se passa une langue nerveuse sur les lèvres, jeta un regard furtif au maître de la maison, puis quitta l'endroit d'un pas badaud. Il y eut un léger silence, puis la voix de l'italien tonna dans le vide, sommant son serviteur d'aller quérir son fils. L'homme effectua une courbette rapide, puis partit au travers des dédales de couloirs chercher le jeune Dante d'un air impassible. Le gamin leva les yeux en entendant les pas du serviteur dans le couloir. Il se leva et lui fit face. Sans même que l'homme n'ait besoin de dire quoi que ce soit, Dante le suivait diligemment avec la même expression de résignation sur son visage. Quelques minutes plus tard, un gamin faisait face à un italien dans un fauteuil bourgogne. Il fixait les mains basanées de son paternelle, toujours entrelacées sous son menton. Le silence s'étira.

    « Un homme est venu me visiter aujourd'hui Paolo. Il m'a confié quelque chose de très intéressant. »

    Le jeune garçon eut un tic nerveux à son oeil quand le prénom passa les lèvres de son père. Tout le monde savait que Dante détestait son véritable prénom, tout le monde, même son père. Pourtant l'italien avait cru bon de l'employer. Ce n'était pas de bonne augure.

    « Quelque chose s'est passé à l'école aujourd'hui, n'est-ce pas mon fils. »

    Ce n'était pas une question, Pablo senior savait tout. L'image des ricanements revint et cette fois, ce fut le visage d'un petit être grassouillet qui se fit moins flou, déformant les cadres par ses joues dodues. Dante se souvint des gargouillements qu'il avait produit lorsque son visage avait été submergé par l'eau de toilette qui remplissait la cuvette. Il avait fallut deux adolescents pour tenir ce porc par les jambes. La vision de ses petits bras potelés s'agitant contre la peur avait grandement amusé Dante. L'italien releva nonchalamment le regard vers les iris de son père et dit simplement, sachant que toute autre réponse serait la mauvaise :

    « Oui, père. »
    « Mais pas juste aujourd'hui, à en croire ton professeur. »
    « Non, père. »
    « Combien était-il, ces garçons que tu as punis ? »
    « Cinq, père. »
    « Hmm... »

    Un autre visage, celui d'un petit blond goguenard. C'était lui qui lui avait poussé la tête sur la clôture. Il devait encore être à l'hôpital à l'heure qu'il est... Ces pauvres membres cassés n'allaient pas se réparer tout seuls après tout. Dante empêcha un sourire satisfait de paraître sur ses lèvres et attendit le verdict de son père qui, comme à son habitude, le laissait languir afin de produire un meilleur effet quand il lancerait sa décision. L'homme faisait semblant de réfléchir, mais Dante savait pertinemment que ce n'était qu'un jeu.

    « ... Cet homme m'a raconté tout ceci dans l'espoir que je te punisses, mon fils. »
    « ... »
    « Après tout, ce que tu as fait était très vilain... Surtout en ce qui concerne ce pauvre Tom... »

    L'image de cet affreux brun criant tandis qu'un jeune homme lui volait sa virginité lui vint à L'esprit et il se souvint avec colère des mots venimeux de cet affreux Tom. 'Qu'est-ce que tu fais pour qu'ils te laissent tranquille, hein Dante ? Tu joues les petites putes ? On va te montrer nous ce qui arrive aux putes !' Ha, c'était plutôt lui qui lui avait montré, à ce petit crétin. Dante remarqua le regard scrutateur de son père et retourna immédiatement ses pensées sur le présent, redressant son petit corps d'enfant. L'homme n'avait pas quitté sa progéniture des yeux et n'avait manqué aucune des émotions qui avait traversé l'esprit de celle-ci. Dante sentit un frisson lui parcourir l'échine et la soudaine pensée que son père pouvait être sérieux au sujet de cette punition le fit déglutir de malaise. Pablo sourit d'un air énigmatique.

    « Crois-tu que tu mérites une punition Paolo ? »
    « ... Père ? »
    « Répond à la question. »
    « Je... Non. »

    La question avait prit de court l'enfant. Lui qui s'était attendu à un petit sermon commençait à douter qu'il ne sortirait pas du bureau de son père sans une punition des plus horrible. Mais pourquoi ? Son petit esprit tenta de comprendre ce qu'il avait bien pu faire pour être punis. Après tout, il n'avait rien fait de mal, il avait simplement exécuté une vengeance personnelle pour démontrer aux gens que personne ne sortait idemne d'une ridiculisation de sa personne. Et puis ces gamins l'avaient bien mérité, après l'avoir ainsi défiguré... Alors pourquoi son père réagissait-il de la sorte ? L'enfant troublé ne savait comment analyser la situation, lui qui n'avait jamais apprit à développer un sens moral. La raison de cette confusion continuait de l'observer avec attention et un certain amusement. C'était bien ce père au sens moral tordu qui avait empêché à Dante de se développer une conscience des autres. Et il observait avec délice cette incompréhension totale en son fils. Il se délectait de voir en ce gamin une insouciance totale envers autrui. Il en était fier.

    « Je ne te punirais pas Paolo. En fait, je suis fier de toi. Tu as su démontrer que tu ne tolérerais jamais que l'on t'humilie et que l'on te marche sur les pieds. C'est une qualité que j'apprécie beaucoup. »
    « Merci père. »
    « Va voir ta mère avant de te coucher, elle désire te féliciter elle aussi. »

    Dès que Dante eu le dos tourné à son père, il afficha un grand sourire suffisant. Son père était fier de lui. Il avait bien fait d'agir de la sorte, tout était bien. L'italien se dirigea vers la porte, satisfait de lui-même et bien décidé à recommencer ce genre d'activité au plus tôt...

    « Oh, une dernière chose mon fils. Joli coup pour le ravin, je n'y aurais pas pensé moi-même. »

    L'enfant, la main sur la poignée, se retourna pour fixer son père dans les yeux, un sourire machiavélique sur les lèvres. L'image du dernier blondinet déboulant la colline et s'écrasant au fond du ravin sous les rires de ses camarades traversa ses iris. Le père lut l'image et en sourit lui aussi. Tel père, tel fils.


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THE END

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Dernière édition par Paolo D. Valentino le Mer 20 Oct - 3:41, édité 13 fois
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Dimitri A. Visconti

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MessageSujet: Re: Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE}   Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Icon_minitime1Lun 27 Sep - 23:47

Bonjour, ta fiche avance-t-elle ?
Merci de nous tenir au courant.
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MessageSujet: Re: Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE}   Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Icon_minitime1Mer 6 Oct - 14:05

*accoure en voyant le message* oui oui je vis toujours !!! Pardon de mon affreux retard pour cette fiche, je sais qu'il est impardonnable, seulement en ce moment je jongle avec le travail et l'école et franchement c'est beaucoup plus demandant que je le pensais. Mais je vais la finir cette fiche non de dieu è__é
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MessageSujet: Re: Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE}   Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Icon_minitime1Mer 20 Oct - 3:53

LES DOUBLES POSTS SONT LE MAL

Vous pensiez que ça n'arriverait jamais, mais vous vous êtes trompés car... MA FICHE EST ENFIN TERMINÉE !!!! Je demande pardon pour cet affreux et abominable retard .___.

Oh et en même temps, j'aimerais qu'on supprime mon autre compte, celui de Dylan, comme la dame qui était censée jouer son futur amant a décidé de se faire la malle, je préfère me concentrer sur Dante.

Merci encore <3
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Amy Allesandreli

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MessageSujet: Re: Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE}   Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Icon_minitime1Lun 1 Nov - 23:26

Ah mon Dieu je n'avais pas vu que tu avais fini ta fiche ! ;___;

Je m'occupe de toi au plus vite !
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Amy Allesandreli

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MessageSujet: Re: Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE}   Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Icon_minitime1Mar 16 Nov - 23:52

ça y est ! Je suis enfin parvenue à bout de ta fiche !

Encore désolée pour le retard. D:

~> Soci del diavolo

(tu n'as pas mis de groupe, mais je suppose que Dante est dans les associés du diable..(?) )
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MessageSujet: Re: Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE}   Paolo D. Valentino || Devil's pawn {FINIE} Icon_minitime1

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