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 Alessandro Giacòn

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Alessandro Giacòn Vide
MessageSujet: Alessandro Giacòn   Alessandro Giacòn Icon_minitime1Mar 17 Aoû - 9:36

Identity




    Alessandro Giacòn Sanstitre1ybi
      Prénom(s) : Alessandro.
      Nom : Giacòn.
      Surnom : Ace.
      Date de Naissance et âge : 7 Janvier 2177 - 23 ans.
      Nationalité : Vénitien.
      Groupe : Civile Speranza
      Manie, habitude, tic : Faire tourner sa cigarette entre ses longs doigts, juste avant de l'allumer ; c'est quelque chose d'inexplicable, un tic irrépressible qui le prend quand il est en pleine réflexion. Il y a aussi ses yeux. Des yeux de chat qui vous fixent sans ciller, donnant à ses interlocuteurs la désagréable impression d'être sondé. Et surtout... L'habitude de demeurer invisible. Il se laisse entrapercevoir, laissant voir les flamboyants cheveux blonds vénitiens, les yeux absinthe, laissant entendre cette voix, douce et caressante. Il y a également ces tics de langages, répéter la même expression plusieurs fois dans la même phrase, mélangé les langages, courant, familier et soutenu.
      Profession : « Je te vend du rêve en poudre. » Chacun essaye d'échapper à son quotidien. Ces habitudes, toutes ces petites choses qui font que la vie ici devient infernale. « Juste un peu de rêve. Pour que demain aille mieux. Essaye et tu verras. La première dose est gratuite... » Des mots enjôleurs, enchanteurs, soufflés au coin d'une ruelle, au creux d'une oreille. Chacun essaye de faire son commerce. Ne fais pas confiance aux yeux d'amère absinthe qui te fixent. Ils te trainent sournoisement dans cet autre enfer. Mais qui n'a jamais eu envie de succomber ? « Si tu n'es pas convaincu, on ne se reverra pas. Juré. » Mais ceux qui essayent reviennent. Toujours.


And me? And me?


    Ce qu'il pense (précisément) de la Mafia
    : Tantôt fasciné, tantôt révulsé. Mais chut, on ne dit rien. « Ce n'est pas prudent de dire c'que tu pense à tout bout de champ ; tu ne peux avoir confiance qu'en toi. Viens par là, que je t'explique plus en profondeur. Tu vois, quand t'es gosse et que tu observe tout ça avec tes mirettes de mioche innocent, tu te pose des tonnes de question. « Est-ce bien ? Est-ce mal ? Est-ce cela la justice ? » ; tu vois, tu sais pas trop. Puis tu vieillis un peu, tu constates toujours plus que le monde se désagrège. Dans les bouquins moisis, tu vois des mafieux décrits comme des êtres sombres, des fantômes d'un monde qu'on imagine pas vraiment, un monde dont les noirceurs t'attirent inexorablement. C'est un monde pourri, tu sais gamin. Mais on y vit... De près ou de loin. T'en approche pas trop, tu risquerais de te brûler les ailes. Mais tu seras forcément obligé, gamin, tu sais. La mafia et Venise, c'est Roméo et Juliette tu vois ; Juliette, c'est Venise et la mafia est Roméo, l'un sans l'autre, ce n'est plus rien. La mafia, elle est incrustée dans Venise maintenant. Ça ne sert plus à rien de se voiler la face ; la mafia, c'est Venise maintenant. »
    A t-il déjà eu affaire à la Mafia : De loin surtout, parfois de près. Des mafieux qui viennent prendre leur rêve en poudre, parce que finalement, personne n'échappe vraiment aux ruelles sombres, aux canaux boueux. La ville nous fait suffoquer, et le rêve permet de respirer. Et puis, il est discret l'Alessandro. Il sait se faire oublier ; et puis, il y a cet espèce de « Secret Médical » qu'il applique sans y penser. On ne dénonce pas un client après tout, c'est risquer d'en perdre plus derrière.

And... you?


    Alessandro Giacòn Splatter
      Votre pseudo : Rakuen
      Age, sexe : 17 ans ; fille.
      Avatar de votre personnage : Susumu de Non Tea Room.
      Comment avez-vous connu le forum ? Par Ethan ♥.
      Qu'aimez-vous/Détestez-vous dedans ? J’aime tout tout tout ♥. Surtout l’emploi de l’italien ♥.
      Autres ? Vu par Amy



Dernière édition par Alessandro Giacòn le Ven 20 Aoû - 8:40, édité 8 fois
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Alessandro Giacòn Vide
MessageSujet: Re: Alessandro Giacòn   Alessandro Giacòn Icon_minitime1Mar 17 Aoû - 9:36

Come on ! Let me look at you…


Vingt-trois ans. La majorité des gens, dans le reste du monde, à cet âge, se lance à corps perdu dans une vie faite d'études, de sorties, de coucheries. On cherche quelqu'un dans la foule anonyme, la personne qui fera vibrer notre cœur, celle qu'on aimera « toute la vie ». Foutaise... A Venise, à cet âge, une partie de la jeune populace vénitienne se trempe dans les magouilles mafieuses, l'autre essaye de survivre comme elle peut, sans trop toucher à la mafia. A vingt-trois ans, on veut voyager, découvrir le monde en son intégrité. A cet âge, qui voudrait rester lier sans espoir à cette ville qui se noie ? Personne. Et pourtant, ils sont là. Il est là, lui aussi. Du haut de son mètre soixante-dix-huit, il fait partie de la norme vénitienne. Pas trop grand, pas trop petit. Son activité n'a pas trop d'impact sur son physique : il ne consomme pas. Du moins, pas trop. Comme tous les autres, les yeux absinthes ont cessés de luire d'une lueur naïve et enfantine, prenant des accents plus adultes, froids et indifférents. Comme s'il ne vous voyait pas, comme si vous n'étiez qu'un fantôme qu'il suffit juste d'ignorer. Des sourires amers, des regards glacés, des rictus moqueurs. Il ne rit pas. Un visage glacé, perpétuellement figé dans ce masque d'indifférence, un corps assez imposant pour ne pas avoir trop d'ennuis, sans être trop musclé. Il fait adulte habillé de fringues pas trop chers, parce que l’argent ne se pêche. Il a l’air mature, dominant, rassurant.

Il faut être enjôleur dans ce métier. Il a hérité de sa mère le don della comedia. Faire semblant, toujours, tout le temps. Un sourire charmant, une voix irrésistible, aux accents chauds et prometteurs. Des yeux brillants soudainement alors qu'il approche sa proie, la bouche aux lèvres fines venant s'approcher d'une oreille, avant d'y glisser quelques mots. Ces mots qui révulsent au début, et qui pourtant font succomber bien des victimes. Parce qu'on finit par vouloir y croire, parce que c'est si attirant, on le veut tellement, ce paradis accessible que dans nos rêves. Au début, c'était juste une silhouette anonyme, accoudée au parapet d'un des petits ponts reliant deux ruelles, silhouette perdue au cœur de la cité, une cigarette allumée au coin des lèvres. Puis on distingue les cheveux, qui brillent d'un éclat flamboyant, tache lumineuse dans tout ce qui l'entoure. Des cheveux d'un blond vénitien parfait, aux reflets roux et caramels, aux nuances changeantes dès qu'il bouge légèrement la tête. Des milliers de nuances dans une chevelure soigneusement décoiffée, coupée courte, aucune mèche ne venant chatouiller son visage aux traits fins mais masculinement marqués ou ses épaules. Les yeux en amande, d'une couleur absinthe, qui vous observent avant de se détourner. C'était une silhouette anonyme. S'il s'approche pour vous enjôler, il deviendra quelqu'un à part entière, un être qui ne sort pas de l'ordinaire, mais qui a pourtant ce quelque chose indéfinissable. Avant de redevenir un inconnu, laissant juste le souvenir de ces yeux mentholés.

Wanna' understand you, my friend...


C’est un personnage un peu creux, un peu effacé, ne se souciant que de sa personne et de ses activités. Que sa principale rente d’argent contribue à la fuite d’une partie de la populace vers un imaginaire irréel, cela ne le concerne en rien ; « ce n’est pas moi qui ai besoin de ça », répondrait-il. Une personne un peu éteinte, étrangement calme et rassurante par sa présence. Avant que vous ne croisiez le regard qui vous dira clairement qu’il ne fera pas un geste pour vous aider si vous en avez besoin. Après tout ; « chacun sa merde » comme il le dit, et il ne va pas se jeter la tête la première dans la vôtre, il a déjà assez à faire avec la sienne. Pas de caractère explosif - sauf au lit -, pas de prise de tête, pas de réaction excessive. Assez passif dans sa vie, il attend généralement que les choses se passent, en espérant qu’elles tournent à sa faveur, donnant parfois un coup de pouce à sa chance. Aaah, sa chance… Parlons-en. Objectivement, il est très chanceux. Du moins, le hasard à le plus souvent agit de manière à lui être propice. Ce dont il ne songerait à se plaindre - la chance est très souvent sollicitée avec lui -. C’est, qu’en plus d’être passif dans sa vie, il attire généralement les ennuis. C’est comme un contrecoup de sa chance, comment voulez vous qu’elle agisse si elle n’a rien sur quoi agir ? Alors il se retrouve dans les ennuis, et s’en sort quasi-miraculeusement. Pas toujours, mais souvent. C’est aussi un défaut, cette passivité. C’est à cause d’elle qu’il n’a pas de relation durable, qui voudrait d’un mec qui ne bougerait pas le petit doigt pour sauver son couple ? Alors coucher avec des mecs, oui - le lascar est homosexuel en plus -, mais pas de prise de tête ; « un coup un soir e baste ».

Passif mais imposant. Après tout, avec son mètre soixante-dix-huit, et ses larges épaules, il prend un peu de place quand même. Difficile de passer inaperçu avec ça, mais on peut lui concéder qu’il sait se dissimuler admirablement dans les coins sombres. La ville regorge de petites ruelles et de coins qu’il connaît comme sa poche - comme presque tous les gosses qui ont grandi ici - et il sait où il peut disparaître assez aisément. Concernant ce qu’il aime, le choix est vaste - du moins en matière de bouffe -, il n’est pas difficile et pour peu que le plat soit à peu près mangeable, il le mangera sans rechigner. Pour les gens… Il n’aime pas grand monde, personne même. Les gens qu’il côtoie sont des drogués notoires, plus intéressés par leur came et le sexe qu’autre chose. Mais il s’en accommode assez aisément, après tout, il évolue depuis assez longtemps dans ce monde pour pouvoir glisser près d’eux sans être trop affecté. Parce que la drogue, il la vend mais n’y touche pas. Hors de question, il préfère rester lucide. S’il ne se drogue pas, il boit pourtant - et pas qu’un peu -, et fume aussi. Beaucoup. Énormément. Un paquet par jour en général. Plutôt facile à vivre, Alessandro ne se plaint pas en général, subissant tout dans son silence démesurément glacé, se contentant de vous fixer de ses yeux mentholés. Il en faut beaucoup pour le faire réagir, mis à part pour son métier où il peut se montrer étonnamment loquace.


Dernière édition par Alessandro Giacòn le Mer 18 Aoû - 4:38, édité 5 fois
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Alessandro Giacòn Vide
MessageSujet: Re: Alessandro Giacòn   Alessandro Giacòn Icon_minitime1Ven 20 Aoû - 3:27

Who do you think you're fooling? Everything is dead! Now you welcome me, To a town called hypocrisy


« Pédale, pédale, pédaaaaaale ! MAIS TOURNE ABRUTIIIIIIIII ! »

Le vélo qui dévalait les étroites rues, les cris qui prévenaient les passants de s’écarter. Les deux adolescents, l’un sur la selle et l’autre sur le porte-bagage, serrés l’un contre l’autre, les sourires aux lèvres et les cheveux au vent, des yeux luisants de bonheur. C’est ça, le pied. Dévaler ces rues, perchés sur un vélo. Faire les trucs les plus stupides et les plus dangereux, rien que pour se sentir vivants quelques secondes. Juste avant de finir dans le canal, le vélo sombrant au fond de l’eau et les deux garçons nageant pour se maintenir à la surface. Les cheveux dorés collent à son visage alors qu’un immense sourire mangeant la frimousse du garçonnet de dix ans.

« On raye le vélo, alors ?
- Si t’avais tourné, on en serait pas là imbécile !
- Ouais, c’est des détails tout ça… On essaie le skate la prochaine fois ?
- Tes parents vont pas râler en voyant ce que t’as fait du vélo … ?
- … Il était pas à moi… Je l’ai trouvé dans la rue…
- … Aleeeeess’… T’es pas possible… J’me disais aussi, c’était étonnant que tu le sortes d’un coup comme ça…
- Tu diras rien, hein ?
- T’sais bien qu’non. Allez, on sort, on va être gêlés sinon. Et effectivement, le vélo dans les rues, c’est pas top. On aurait du rester sur la place.
- Maieuh, c’est pas drôle si on reste sur la place… »

Puis chacun retourne à sa vie, avant la prochaine bétise qu’ils feront de concert. Toujours ensemble, liés par la promiscuité et les secrets échangés comme les plus précieux bijoux. Car un secret, pour des gosses, c’est sacré. Alessandro est le seul à savoir que son ami a été abusé par son beau-père, Alfonso est le seul à savoir qu’Aless’ est régulièrement battu par son père. Mais on ne dit jamais rien. Ici, à Venise, c’est chacun pour soi. Et les enfants ont très vite compris cet état d’esprit… Les années passent vite. 2190 arrive à une vitesse hallucinante. Il a treize ans. Malade comme un chien, il était resté chez lui ce jour là. Il y avait du bruit partout dehors. Et puis son père, qui entra comme un fou, un air sadiquement satisfait aux lèvres.

« Ahah ! Ces chiens de grecs vont enfin crever ! Enfin un homme qui est près à tout pour la survie de sa patrie ! »

Les pupilles dangereusement dilatées, l’air jouissif de son père força le gamin à reculer dans l’ombre, à se cacher un peu plus. Il ne savait pas, n’avait rien contre les grecs et ignorait tout ce qui se passait. Alors, se taisant et se cachant dans un banal placard, le gamin ne suivit pas le coup d’état. Il s’en moquait. Lui, un garçon de treize ans… Il s’en fichait, de tout ça. Tout fut progressivement fait, et en 2193, plus personne ne pouvait quitter la ville. Il avait seize ans. Juste seize ans, et des rêves plein le crâne. L’envie de partir, d’aller voir d’autres pays. France, Espagne, Japon, Amérique ! Et tout cela lui était interdit désormais. Qu’avait-il, maintenant ? Des notes médiocres en cours, un talent exceptionnel pour s’attirer des ennuis et s’en sortir sans trop de casse. Lui, il voulait partir d’ici, quitter cette cité qui s’enlise. Et le voilà à jamais bloqué ici. Fuyant la maison familiale après son coming-out - aidé en cela par les menaces de mort de son père qui ne supportait pas d’avoir un « dégénéré » dans sa maison- et accompagné de son fidèle Alfonso, l’adolescent se retrouva à la rue où il commença à subsister en commettant de menus larcins. Les deux garçons finirent par plonger dans la drogue, pour tenter d’oublier un peu l’existence pitoyable à laquelle ils étaient promis. Schéma classique, l’un fait une overdose et assez logiquement, meurt, l’autre se retrouve sur le carreau, tentant difficilement de s’en sortir. Son premier ami, son premier mec, son… Sa seule famille, ouais, crevant dans un coin, l’abandonnant encore un peu. Chienne de vie. Le gamin arrête tout, net. C’est dur, mais il tient bon. Il se remet doucement, enchainant les coups d’un soir, les rechutes et le reste. Puis finalement, il grimpe un peu - ou descend, selon le point de vue -dans l’échelle sociale, commençant la revente de drogue. Comme il le dit, il vend du « rêve en poudre », ce rêve dont les gens ont parfois besoin. Il couche toujours un peu à droite, un peu à gauche. Il se fait charmant et charmeur, convaincant les gens en douceur. Il s’en fiche. Lui n’y touche plus, de toute manière. Il n’a pas de futur dans cette ville. Alors avant de finir à crever dans un coin, autant essayer de vivoter un peu. Gagner de quoi se louer un appartement minable, de quoi manger et boire, de quoi fumer. Vivre un peu, sans trop s’approcher de la mafia. Un éternel indifférent quoi. A moins de lui mettre quelque chose sous le nez, il ne le captera pas.

And no future here, no future for us in this town

OMG. C'est laid. C'est moche. C'est nul. C'est pitoyable. Je vais me pendre. D=.
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Dimitri A. Visconti

Dimitri A. Visconti

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Localisation : En train d'astiquer mes bébés ♥
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Alessandro Giacòn Vide
MessageSujet: Re: Alessandro Giacòn   Alessandro Giacòn Icon_minitime1Sam 21 Aoû - 0:17

Bienvenue sur Infam Industry !

Bon eh bien, ta fiche n'est pas laide, n'est pas moche, pas nul, ni pitoyable. Et ne va pas de pendre, après on aura les flics aux trousses, se serait bête 8D

Bon eh bien, malgré le fait que ton histoire soit plutôt concise, on y apprend le maximum même si ce n'est pas détaillé sur cinq post (et tant mieux pour moi), et puis peut-être que c'était souhaité, pour que le mystère plane ? Enfin bon, ta fiche moi je l'aime bien, et je ne voit aucun problème pour retarder ta validation. [ET OMG JAIME TROP LE YAOI AVEC ALFONSO ♥ ... et c'est vrai que le copain qui crève, c'est genre trop classique ouais, j'avais jamais fait gaffe XD]

Validée - Civile
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Alessandro Giacòn Vide
MessageSujet: Re: Alessandro Giacòn   Alessandro Giacòn Icon_minitime1

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Alessandro Giacòn

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