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 "Un charpentier ? C'est quoi s't'histoire ?"

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"Un charpentier ? C'est quoi s't'histoire ?" Vide
MessageSujet: "Un charpentier ? C'est quoi s't'histoire ?"   "Un charpentier ? C'est quoi s't'histoire ?" Icon_minitime1Ven 30 Juil - 1:24

Identity


    "Un charpentier ? C'est quoi s't'histoire ?" Splatter
      Prénom(s) : Edvard
      Nom : Xephelos
      Surnom : A part son diminutif, Ed, rien du tout.
      Date de Naissance et âge : 2 mars 2172, 28 ans si mes calculs sont bons.
      Nationalité :Québécoise. (Nan, nan je blague pas.)
      Groupe : Civile Speranza (Même si je déconseille d'espérer quoi que ce soit venant de lui.)
      Manie, habitude, tic : - Lorsqu’il porte son arme dans ses grosses pognes, il ne peut s’empêcher de jouer avec le barillet, le faire tourner avec son pouce…
      - Lorsqu’il est en présence de gens inconnus, il se fait passer pour un boiteux. Plus récemment, depuis qu’il est à Venise précisément il feinte des problèmes de vue et porte de petites lunettes rondes pour lire la Bible ou regarder les choses de loin.
      - Il parle souvent tout seul, pour ne rien dire et souvent tout bas. Répétant même deux fois la même chose, alternant l’intensité des mots.
      Profession : Prêtre (Ouaaaaais, Rulz.)



Dieu a beaucoup d'images quand même...


Physiquement, Edvard est loin de ressembler à un prêtre. D’ailleurs, il est difficile de définir s’il peut être réellement qualifié comme tel. Toujours est-il qu’il a le statut de prêtre, et qu’il en a les habits. En réalité il porte deux tenues très distinctes. Sa tenue de cérémonie, d’homme d’église. Une robe blanche très simple, aux revers pourpres, et tout un tas de petites décorations religieuses. A vrai dire, ça ne fleur pas bon l’argent, mais plutôt la misère. Mais c’est fait pour.
Autrement, il porte en permanence des chemises rouges, une veste noire qu’il pose généralement juste sur ses épaules, un pantalon de costard noir et les chaussures de ville qui vont bien avec. Un ensemble très simple, qui passe partout, mais qui est loin de le faire ressembler à un prêtre.
Là où ça pêche encore une fois, c’est au niveau de la couleur de ses cheveux. A la base il est roux… Enfin, en quelque sorte. Disons que les reflets, les mèches naissantes, et tout un tas de conditions agglutinées au même endroit font que ces mêmes épidermes sur son crâne paraissent étonnement rouge. Ne venez pas dire qu’il est roux, de toute manière, c’est l’une des rares choses qui le met hors de lui. Pour ses yeux, la couleur est parfaitement naturelle. Il paraît qu’à la base c’est une caractéristique typique chez les Albinos. Des yeux rouges. Un rouge foncé, presque bordeaux, écarlate. Des yeux perçants, lui offrant un regard un peu dur, un peu amer de son expérience. Mais en même temps, ils peuvent paraître réconfortants, compatissant même, parfois… Rarement… Pratiquement jamais. Ils reflètent une certaine indifférence, une certaine impartialité qu’ont les gens de son état. Un prêtre ne juge pas, et ne jugera jamais personne. Là, c’est un peu le cas. Un regard confident, à l’écoute, qui rassure, qui invite à la discussion. Un regard qu’il imite parfaitement, mais en réalité, il copie ses confrères… Car la vie des gens, il s’en fout.
Son visage est plutôt fin, l’ovale bien dessinée, des traits fins, un nez plutôt discret… Un teint pâle, qui aurait pu le trahir sur la couleur de ses cheveux, mais heureusement, ce teint dépourvu de toutes tâches de rousseurs. Sans ça, il se serait sentit obligé de porter un sac en papier sur la tête, ou de rejoindre Dieu par la voie de la corde et du tabouret bancal.
Mesurant tout de même un bon mètre quatre-vingt quatre le bougre, cette taille lui offrant une vision plus haute du monde… Ou pas. En réalité, ça bloque parfois certaines personnes de rencontrer plus grand que soit. Mais autant lui, la taille ça ne l’intimide pas plus que ça. Pour sa taille, il paraît bien menu, chétif certains diront, mais en réalité juste un peu maigre. Loin d’être un vulgaire fœtus de paille cependant, il reste plus quelqu’un de fort au niveau psychologique que physique. Bien qu’il soit loin d’être une véritable force de la nature, il est tout de même habile dans ses mouvements et plutôt vif, ce qui compense un peu son poids plume.

Dieu m'a fait ainsi... Je me demande encore pourquoi.


En plus d’avoir une mentalité étrange, l’homme en question serait quelqu’un de très froid et de distant. Mais les choses ont fait que… Sa vie a modifié un peu son caractère de base si on peut dire. Edvard est quelqu’un de très ouvert d’esprit, qui rit un peu de tout et e tout le monde, qui se moque littéralement du monde et des conséquences que cela pourrait avoir. Loin d’être un clown, il juge cependant bon de ne jamais ajouter de la gravité à la vie actuelle des gens. La gravité est le réconfort des imbéciles après tout. Cela ne fait que leur donner de l’importance… C’est du moins son point de vue.
Quelqu’un d’étrange oui… Un type sympathique si il en est, peu causant dans le fond. Il se contente parfois d’écouter et d’approuver en silence. Une solution… Des solutions, il en a a foison. Il est juste déconseillé de l’écouter lorsqu’ ’il prend son air à se foutre de la gueule du monde. Il ne faut jamais le prendre au sérieux, du moins, au début. Cependant, en de certaines circonstances, il s’avère de bon conseil et plutôt avisé le garçon. Même si il y’a eu pire, même si il y’a eu plus traumatisant, ses expériences de la vie ont fait qu’il connait un peu la manière dont fonctionne le monde et les gens. Même si il juge lui-même ne rien comprendre au monde, à l’humanité et aux femmes. Les femmes, une grande intrigue pour tous les hommes. Oui…
Loin d’être un sain, l’homme d’église jure, insulte, et ne se gratte pas une seule seconde sur les termes utilisés. Un langage un peu cru, mais un ton direct et une franchise à toute épreuve. Cela peut en être parfois désarment, surtout que sa logique est parfois bien différente des autres. La bible, aussi, il en a sa vision. Ce livre, très symbolique, il le traduit et le détourne un peu à sa manière. Il se voit plus comme un envoyé de Dieu, pour sauver ceux qui doivent l’être, ceux qui peuvent l’être encore et envoyer le reste à Saint-Pierre, un allez simple en enfer. Lui, il se sait condamné de toute manière, donc bon. Il se juge lui-même comme damné, un pion que le Seigneur utilise pour ses quatre volontés. Il se considère comme étant mort, en entrant dans le monastère et juge sa vie comme un genre de Purgatoire géant, dont jamais il ne lavera la totalité de ses pêchés. Cependant, s’il peut juste sauver une personne des griffes du Diable, peut-être échapperait-il au supplice du Jeudi. (Faut avoir une culture en blague assez poussée et un esprit plutôt mal placé.)
Un homme simple dans sa conception, mais qui peut paraître très compliqué en réalité. Jamais Edvard ne se laissera impressionné ou marché dessus, par qui que ce soit. Il est dur de faire peur à un être qui n’a rien à perdre et qui se considère comme étant déjà mort depuis plusieurs années. Jamais il ne refusera un contact humain, puisant et apprenant chaque fois un peu plus de connaissance sur l’Homme et son comportement en milieu religieux, face à un pauv’ gars censé être un luminaire céleste parmi les macaques. Pourtant, il n’en est rien.

De quoi ?!


    Ce qu'il pense précisement de la Mafia
    : Pas grand chose à vrai dire.
    A t-il déjà eu affaire à la Mafia : Sincèrement, il n'en sait rien. Du moment qu'on ne vient pas lui chercher des poux, il s'en moque complètement...


Dieu a un plan pour chacun de nous... Moi je suis le plan B.


La petite enfance. Cette période qui ne sert à rien à première vue. Trop peu la négligent et pourtant, elle est sans doute l’une des plus importantes de la vie d’un homme… Ou d’une femme, normalement constitué(e)… Elle est la base de la mentalité, de la psychologie d’une personne. Suivant les antécédents, l’éducation, la vie menée dans cette enfance défini l’avenir et le comportement d’une entité humaine. Cependant, le destin d’une même entité peut-être bouleversée par divers phénomènes, divers problèmes, qui altèrent ainsi la mentalité de cette même personne.
Oui, comparé à ce que bon nombre de gens croient, quelqu’un peut changer. Un événement peut bouleverser une vie, une famille, un peuple entier. Une entité humanoïde peut voir ses habitues, sa vision des choses, être modifiées par un seul et même évènement.
Edvard a changé. Au cours de sa vie. Par ses actions, par ses choix. Il était quelqu’un de bien, un homme bon, un homme juste. Et du jour au lendemain, allez savoir pourquoi, le sort le voulait ainsi, une volonté extérieure à la sienne, plus forte, dont il ne pouvait répondre que par un oui, cette « chose » voulait qu’il change… Qu’il commette des crimes, qu’il devienne foncièrement mauvais qu’il aille à l’opposé de son chemin déjà tracé, qu’il s’écarte de ce qu’il a toujours combattu, de ce qu’il a toujours renié, pour qu’il bascule dans un monde dont il n’avait même pas idée.

Québécois de bonne famille, sans pour autant toucher à une « bourgeoisie » capitaliste crasseuse et hautaine, le jeune homme ne manqua de rien. Son éducation fut dés plus saine, il allait à l’école, il faisait ses devoirs, il mangeait sa soupe, il grandissait avec un certain équilibre mental et physique. Rien ne laisse présager qu’il allait sombrer du mauvais côté. Un garçon calme, qui ne faisait pas de vague, qui obéissait à ce qu’on lui disait. Des parents presque exemplaires, des croyants, qui l’emmenaient à l’église tous les dimanches, qui respectaient les jours sains et les croyances catholiques. Sans pour autant l’oppresser. Jamais ils ne l’auraient forcé à croire en Dieu, ils lui laissaient une totale liberté de penser. De cette manière, il serait maître de ses pensées, de ses actes. De cette façon, jamais il viendrait à les regretter. Car oui, si il y’a bien une chose que ses parents lui ont appris, c’est qu’il ne faut rien regretter. Toujours prendre du recul. Un choix est fait car il semble être le plus juste par la personne. Si, il s’avère qu’il s’agissait d’une erreur, car c’est en faisant des erreurs que l’on apprend. On apprend à ne plus en faire, à analyser de meilleur manière avant de se lancer dans l’inconnu.

Un bouleversement. Son père, au fil des années, semblait gagner moins d’argent. Au début cela ne l’affectait pas, l’affection de ses parents n’en était pas altérée, son quotidien non plus. Et pourtant, au fil des semaines, des mois, son père devenait de plus en plus aigri. Damien de son prénom. Un homme charmant, toujours calme, gentil comme tout. Un amour démesuré pour sa famille. Il aurait sans doute donné sa vie à plusieurs reprises, son âme, sa place au paradis, pour sa famille, pour son fils en particulier. Sa mère, Félicia, quant à elle était un peu plus autoritaire. Mais dans le bien du jeune homme. Elle était celle qui imposait les règles, les limites, celle qui donnait les ordres. Mais il n’existait pas femme plus douce et plus aimante envers son mari.
Ce bouleversement… Il rongeait l’esprit des deux adultes. Damien semblait boire de plus en plus, pour noyer son amertume envers ce monde qui le privait de son argent durement gagné au fil des jours. Il aimait la boisson, mais surtout pour la plaisir, pour le goût, comme ça, sans réel attachement. Et pourtant, il semblait s’y attacher, y devenir accro, le rendant encore plus aigri avec le temps. Jamais on ne le voyait, chez lui, sans un verre à la main. Il buvait, buvait constamment, pour tenter d’oublier, pour essayer de penser à autre chose. Car oui, qui dit moins d’argent à la fin du mois, dis moins de facilité à payer le loyer, l’eau, le gaz, l’électricité… Enfin, ce genre de choses que le jeune Edvard ne comprenait pas vraiment. Cependant, l’homme, au bout d’un an ou deux, devenait violent. C’était difficile à croire, surtout venant de lui. Mais l’alcool avait des effets néfastes sur bon nombre de personnes. Mais il aurait été difficile de dire que lui aussi, cela le changerait de manière radicale.
Damien battait sa femme. Oui. Un homme aimant, qui se serait sacrifié pour elle, la frappait. Le soir en rentrant de son travail principalement. Cela horrifiait le jeune homme, témoin, spectateur de cette vision horrifique, traumatisante pour un enfant. Une expérience étrange, qui lui donnait des leçons de vie surprenantes.

Pour échapper à son quotidien, pour se changer les idées, pour effacer ces images de sa petite tête, il faisait ce que beaucoup d’enfants perturbés faisaient. Des bêtises. Cela semblait mineur au départ. Il écrivait des insultes à la craie sur les murs. Il répondait mal. Il devenait violent avec ses camarades. Tout s’enchaînait rapidement. Ses parents ne lui portaient plus vraiment d’attention, trop accablés par leurs soucis, le père par son travail incessant qui ne lui rapportait plus assez, la mère trop peinée pour se rendre compte de quoi que ce soit, vivant dans la peur de son mari qu’elle aimait malgré tout… Presque, malgré elle. L’argent… Il pouvait ruiner une famille, ruiner le moral, ruiner un homme, le détruire, le corrompre totalement. Les hommes riches sont souvent, par définition mauvais. Les hommes pauvres sont jaloux de ces riches. A tel point qu’ils en deviennent eux-mêmes mauvais. Il n’existe pas de bonne personne. La bonté a depuis très longtemps, depuis la création de l’argent disparue totalement de la surface du globe. Les gens vivent pour l’argent, certains tentent de l’oublier par des subterfuges. L’alcool… La cigarette, la drogue pourquoi pas. Des choses qui leur coûtent ce qu’ils n’ont pas. Pourquoi travailler ? Pourquoi dépenser son énergie et sa santé dans le but de gagner quelques misères et vivre comme un moins que rien ? Se forcer à être gentil, serviable et aimable ? Pour être traité comme la pire raclure que le monde ait jamais porté ? Un moins que rien, un déchet. Le respect des autres, de nos jours, ne se gagne plus que par la force et par la violence. Voici ce qui se développait dans la tête du jeune Ed. Une haine pour l’argent, pour la société. Pour se venger, il devait la pourrir. De plus en plus, le garçon fréquentait de mauvaises personnes. Des délinquants. Des jeunes gens qui avaient des visions de grand banditisme. Devenir des terreurs, des bandits, des malfrats. Voler, piller, tuer même, pour de l’argent. Devenir riche sans travailler, en pourrissant le système de l’intérieur. Pourquoi pas après tout…
Les riches allaient payer pour les autres. Aucune distinction ne devait être faite.

Pérégrin. Aaron.Cécillien et Edvard. Des jeunes gens, pleins d’avenirs et qui décidaient de mal tourner. La même vision des choses. Le même âge environ. Ed était le plus jeune, à peine 16 ans, Aaron et Cécillien étaient deux frères, âgés de 17 et 18 ans respectivement. Pérégrin était le plus vieux, son âge flottait autour de 18-19 ans. En réalité, il ne parlait pas beaucoup de ce genre de détails, d’ailleurs il ne parlait pas beaucoup tout court.

Pourtant, Pérégrin, le chef de cette petite bande organisée, était sage. Un homme à part entière, calme et réfléchit. Très méthodique, très calculateur, minutieux… C’est pour ça d’ailleurs, qu’ils avaient pu faire autant de conneries, sans jamais se faire prendre. Son rêve ? Juste s’enrichir, voler aux plus riches, qui ne méritaient rien selon lui, qu’une balle dans la tête et une place dans la fosse commune. Malgré son calme, il était, sur le terrain, stressé. Il se sentait responsable de la vie, de la bonne santé de ses camarades d’infortune. Dans le fond, c’était quelqu’un de bon, qui s’inquiétait pour ce qu’il considérait comme ses frères, ses véritables amis. Jamais, il ne se serrait pardonner la mort d’un de ces derniers, jamais. Dans le fond, c’était un homme plein de compassion, que le sort avait transformé en monstre, en petit voleur, le mettant sur le bord de la société, le poussant au crime. Ses parents étaient morts très jeune et il passa toute sa vie à l’orphelinat où personne ne voulait de lui. Il faisait peur, avec son œil borgne, le dernier restant fleurait bon la haine, ses cheveux cendrés et ses épaules carrés. Le bougre mesurait plus d’un mètre quatre-vingt et avait grandit de manière très rapide. Il était effrayant d’après ce que beaucoup disaient. De plus, il n’était pas amical, pas très social…

Les deux frères étaient fous. Mais réellement fous. La douleur engendrait la cruauté, la violence. Ils mettaient l’ambiance, et les deux savaient bien tirer en plus d’être très persuasif. Le fait d’être deux, leur permettait toujours d’être couvert à l’avant et à l’arrière. Jamais ils ne se séparaient, sauf peut-être pour faire les commissions, et encore. L’un était brun, l’autre blond, mais avaient les même yeux. Il y flottait un regard constant d’incertitude et de fanatisme violent absolument inquiétant. Il était presque impossible de soutenir leur regard. A l’un, comme à l’autre. Ces deux paires d’yeux arboraient une couleur huître, à mi-chemin entre un vert très pâle, frôlant presque le gris, tirant parfois sur un bleu là aussi très pâle. Un mélange plutôt étrange… Mais en accord parfait avec les deux personnages, d’une violence sans commun, qui aimaient faire du mal, aimaient tirer sur les gens, frappé pour rien… Des brutes.
Edvard était sans doute le plus équilibré. Il faisait ça pour vivre, mais aussi pour briser à sa manière le système qui l’avait poussé à devenir ainsi. Lui qui était voué à être un homme naïf, vivant d’amour et d’eau fraîche, vivant dans la religion et dans l’amour d’une femme et d’une famille, d’un petit travail et au jour le jour, pour être succéder par son fils et ainsi de suite. Mais et heureusement dans le fond, le destin en avait voulu autrement.

Petits crimes, grosses emmerdes.

Cette bande de délinquants sévissait tout d’abord dans leur ville natale. Avant bien entendu de s’attaquer à une capitale florissante et en perpétuelle évolution. Le vol. Principal source de revenu de la bande. Cela leur suffisait au début, mais vu les méthodes des deux frères, il aurait été dommage de ne pas profiter de leur potentiel de haute violence et de brutalité primaire. Le pillage. Une activité qui se faisait normalement avec des armées de milliers d’hommes, après avoir mis en déroute l’armée adverse et se servant sur les corps et les villages environnant. Là, c’était à plus petite échelle. On surveillait un homme un peu riche. On tenait compte de ses habitudes, on l’observait, on le suivait. Puis au bout d’environ une semaine ou deux, le groupe attendait qu’il sorte de chez lui, de manière un peu longuette, avant d’entrer par effraction chez lui et dérober tout objet de grande valeur ou de facilement revendable. Sans jamais tuer, sans jamais de violence. Alors les frères n’étaient jamais contents… C’est au cours d’un de ces pillages, qu’Edvard fit l’acquisition d’un objet allant définitivement changer sa vision des armes en général. En pillant l’habitation d’un vieil ermite, vivant à l’orée de la capitale, un collectionneur d’objets anciens. On pouvait y trouver toutes sortes d’armes oubliées, de toutes époques. Mais un attira son attention. Un Colt semble-t-il, un fabricant disparu. Un très vieux pistolet encore en état de marche, utilisé lors des guerres datant de plusieurs siècles. Les guerres de sécessions pour être plus précis. Un colt. Un pistolet plutôt long, avec un étrange compartiment où on y met des balles. Ca ne se faisait plus trop de nos jours. Seulement 6 balles et d’un calibre bien faible. Le jeune homme n’y connaissait rien en calibre, mais on pouvait, en se renseignant un peu dans les archives du vieil homme, voir qu’il s’agissait de calibre 44. L’arme lui plu et donc, plus pour un genre de souvenir et de porte-bonheur, le jeune homme le prit avec lui. Cependant, comme le vieux avait l’air plutôt maniaque, il entreposait sous les présentoirs de ces armes.

Peu de temps après, ils se rendirent compte que cette dites maison était en réalité une réserver, qui avait servie pour l’exposition au musée de L’arme et du Bronze, exposition réalisée à Ottawa en 2005. Ce qui faisait tout de même un bon bout de temps. Et ces objets avaient été entassés, restaurés et cachés ici. Un coup de bol, surtout que certaines pièces valaient une belle poignée de billets. Le jeune Edvard, se disait qu’une arme restait une arme à près tout et se rendit compte bien rapidement qu’elle faisait les même trous dans les gens que les autres. Ca fait toujours mal, une balle.
Plus grave, les braquages. Il n’en eut qu’un seul dans toute leur histoire. Et c’est ce qui mit fin à leur petite entreprise. Leurs magouilles avait durées plus de huit ans. Huit longues années à écumer le pays et à le dévaliser de manière croissante. Ils avaient commencé petit, pour entreprendre des choses de plus en plus grosses. Mais cette fois-ci, cela était peut-être trop pour eux.
Le braquage se passa très rapidement mal, l’alarme retentit très rapidement. Le jeune homme n’en garde que de très brefs souvenirs. Ils étaient entrés, comme des clients normaux. Avaient attendu leur tour, dans une banque, à faire la queue. Avant de demander de l’argent aux caissiers. Sauf que l’argent, dans les banques il n’y en avait plus beaucoup. Sauf peut-être, dans les coffres, et encore. Le temps d’atteindre la salle des coffres, l’alarme avait retentie. Les deux frères couvraient la porte pourtant, mais avaient sans doute oublié de surveiller les caissiers, n’écoutant que leur courage pour appeler les forces de l’autorité. Ce même courage qui coûta la vie à pas mal de monde. Aaron et Cecillien n’écoutèrent que leur folie destructrice et tirèrent un peu dans le tas. S’extasiant devant les morts, le sang. Quelque chose de très surfait en réalité. Un cadavre reste un tas de chair froide, rien de plus. Une carcasse, un être humain à qui on a arraché la vie. Chose malheureuse, il en convient, pour bon nombres de proches.

Suite à cela, une débandade. C’était un peu chacun pour soit et Dieu pour tous. C’est à cet instant que Pérégrin prononça une phrase que jamais l’homme n’oubliera. « Advienne que pourra » ce qui était, plein de sagesse, surtout quand on sait que l’on a approximativement 99% de chance de se faire plomber par des forces armées enragées. Les deux frères étaient partis de leur coté, le doyen de la bande et le plus jeunes avaient taillé leur route. Leur véhicule tomba en panne en pleine campagne et ils décidèrent de se séparer et de prier pour que les méchants policiers aillent dans la direction de l’autre. Edvard ne revit plus jamais ses anciens amis.

Le destin voulait qu’il redevienne quelqu’un de bon. Après s’être joué de lui et lui avoir montré ce qu’était le cruel monde de la délinquance, il était temps pour lui de redevenir un homme pieu, juste et droit. L’homme tomba devant un monastère, froid et isolé. On ne fit pas attention de ses conditions, de ses blessures, de son passé. Il se faisait passer pour un martyre, cherchant refuge chez les hommes de bonne foi. En échange d’un asile, il acceptait de faire partie de leur communauté mourante, car peu de gens avaient encore la ferveur de devenir moine et encore plus de faire vœux de chasteté, de pauvreté et de se couper du monde. Une balle dans la jambe. Voilà ce qu’il avait tiré de cette expérience de braquage. Une cicatrice qui le fit boiter pendant plusieurs mois, voir même un an entier. Dans la presse, dans la rubrique nécrologique, il put voir les noms de ses amis apparaître. Il aperçu les prénoms et noms de deux frères en premier, dés la première semaine de son entrée au monastère. Mais plus grave, ce n’est que 3 ans après que le nom de son acolyte préféré, Pérégrin apparut. Ils l’avaient retrouvé, il avait été jugé et mis en prison. Quant à lui, on le retrouva peu de temps après. Cependant, ils ne voyaient qu’un moine, qui plus est qui avait changé de nom, qui avait renoncé à la technologie. Pas de puce dans son bras, pas d’arme, pas de téléphone incorporé dans son crâne, rien ne pouvant le différencier de ses frères de piété. Sauf peut-être, une patte folle, qu’il mimait pour se faire pleurer. Non, il ne boitait plus, sa jambe lui étant pleinement revenue. Mais pour l’illusion, il valait mieux. Les autorités ne tentèrent pas de contrôler tous les moines et laissèrent tomber. De toute façon, ils avaient retrouvé le chef et les deux violents, lui n’existait déjà plus que de nom.

Cependant, l’église voulut que le jeune homme aille d’épreuves en épreuves. Et pour le « punir » en quelque sorte de son passé douteux et pour qu’il ne cause pas de tort à ses camarades de misère, on l’envoya là où les prêtres n’avaient plus foi qu’en l’argent, qu’en eux. Dans un pays tombé aux mains du mal, et où les croyants et les fidèles n’avaient plus que leurs mains pour prier. Un monde où il serrait bon de prêcher la bonne parole. L’Italie et en particulier, Venise. Il fut envoyé là-bas expressément, comme seul prêtre pouvant ramener la raison et la religion dans cette ville mal famée. L’homme ne se fit pas prier et Edvard se retrouva donc contraint de partir vers un pays totalement étranger, avec une langue dont il ne connaissait pratiquement rien. Pendant ses années au monastère, il avait apprit le latin, le français mais également quelques notions d’espagnol et d’italien. Mais rien de transcendant. Juste assez pour vivre en somme.

Âgé alors de 27 ans, le jeune homme arrivait en Italie. Un homme boitant, sans prétention, n’ayant nulle peine à entrer dans l’espèce de blocus autour de la ville de Venise, empêchant l’armée d’entrer, permettant ainsi au Parrain de contrôler également les entrées et sortie. Il pouvait le contrôler lui, il n’en avait strictement rien à péter. Un simple prêtre, sans arme. Une valise. Des vêtements, son habit d’homme d’église, en rechange. Le sien, le portant principalement sur lui. Aux détecteurs, rien. D’ailleurs, on ne le fouilla pas de trop, il n’avait rien d’effrayant prenant un air de chien battu, de timide, de type que l’on impressionne facilement. De plus, le fait qu’il boîte le rend encore plus insignifiant. De cette manière, il passerait rapidement pour une victime à qui il serait facile de prendre du fric.

A son arrivée à l’Eglise, en tant que nouveau prêtre des lieux, on vint à sa rencontre. Un homme. La vingtaine. Plutôt grand, assez costaud, armé d’un simple pistolet, moderne comme il se doit. Effrayant pour le commun des mortels. Mais il est difficile de faire peur à un homme réfléchit, qui plus est à quelqu’un qui se considère lui-même comme étant déjà mort, condamné à paraître devant le diable pour répondre de ses crimes. Il n’avait pas rejoint l’église pour se faire pardonner, ni pour se trouver une place au paradis. Mais simplement pour envoyer ceux qui le méritent en enfer, pourquoi pas sauver une âme de la damnation en la ramenant vers la lumière. Mais ça, même lui n’y croit pas. Personne ne mérite d’aller au Paradis, alors de là à trouver un être bon à Venise…

Cet homme venait l’importuner, alors même qu’Edvard débarquait. Il lui fit remarquer que cet accueil était loin d’être chaleureux et qu’il regrettait que l’homme qu’il avait devant lui ne cherche pas à se repentir de ses crimes. On lui rit au nez. Le grand chauve, habillé d’une veste noir de chaussures grisonnantes et d’un pantalon noir, devant lui réclama de l’argent. A un prêtre ? A un ancien moine ayant fait vœux de pauvreté ? C’était plutôt cocasse. Ed’ lui fit donc remarquer sa situation, un léger sourire aux lèvres. Le pauvre, n’aurait jamais un sous de sa poche. Mais cependant, l’homme ne semblait pas vouloir comprendre. Il le menaçait, l’insultait. Edvard n’aimait pas ça, mais il avait appris à se maîtriser et tout glissait comme une anguille dans un pot de miel. (Comment ça je suis à court de métaphores ?) L’homme finit par s’énerver et partir en lui laissant tout de même quelques jours pour réunir une dites somme d’argent.

Rien de sa part. Pas de promesse de paiement, pas de supplication. Le jeune homme vint frapper à sa porte tous les jours, lui rappelant ses échéances. Mais Edvard ne semblait pas y prêter attention et l’invitait chaque jour à se repentir, ou aller crever la gueule ouverte un peu plus loin. L’homme s’énerva et en vint évidemment à l’arme à feu. Ed’ était mort. Le chauve s’en était sorti, mais ce dernier s’en retrouva manchot. C’était triste pour lui, mais il avait eu de la chance d’être en vie. Le prêtre déjà en place, enfin, tout du moins le prêtre du moment, avait également des ennuis avec ce genre de gens de la mafia. Quelques semaines avaient passé, pas de nouvelles, rien. Puis un beau jour, le chauve réapparut. Son combat face à un homme d’égalise l’avait affaiblit. Il avait maigri, son bras était semble-t-il complètement paralysé, mais son arme était identique, les vêtements bien distinctifs. Il jurait tout pareil. Ce chauve, il ne l’avait jamais vu, mais il était apparemment responsable de ce type d’établissement. Racketter les prêtres… Quelle belle vocation, vraiment. Ses supérieurs vinrent bien entendu rendre les comptes, un homme pas bien haut placé, mais sans doute plus que lui. L’homme qui prêchait la bonne parole ne pouvait payer, ne pouvait se plier à toutes leurs exigences. Aussi, il en paya de sa pauvre vie. N’ayant jamais rien demandé à personne, le voilà refroidit par quelques brigands.

Les supérieurs du grand chauve se mirent à sa recherche. Disparaître pendant plusieurs semaines, ne pas donner de nouvelles, ne pas pouvoir soutirer de l’argent à un pauvre idiot qui croyait en Dieu et qui tentait en vain de restaurer un régime catholique en ville, il devait payer pour son incompétence. Un sbire le trouva, dans un bar, en train de siroter un bête verre d’eau. Ce même homme, sans doute aussi haut placé que lui, repartit du bar, une balle dans le torse. Cela suffisait amplement à tuer quelqu’un, une bête balle. Cela faisait un peu désordre dans l’établissement, mais bon, on y pouvait pas grand-chose. Le jeune homme sortit, sûr de lui de ce même bâtiment, sa ceinture était différente. Un cuir marron, avec un holster, transportant avec elle une antiquité sans nom, quelque chose qui ne se faisait plus depuis des années, quelque chose que même certains n’avaient jamais eu vent. Le supérieur du chauve. Un homme e taille commune, entre une mètre soixante-dix et soixante-quatorze. La trentaine environ. Les cheveux noirs, plaqués en arrière. Un air mauvais. On venait de tuer un de ses hommes… Et il n’appréciait pas ça. Et il allait sans doute se faire dépecer par ses supérieurs. Difficile à dire s’il agissait pour une branche de la mafia, principale ou non, s’il était réellement haut placé, s’il agissait pour son compte. Et à vrai dire, notre chauve s’en foutait plutôt royalement… Etrangement, son bras semblait fonctionner à merveille. Le holster se trouvait sur son flanc gauche… Dur de tirer l’arme du coté paralysé, n’est-ce pas ? Le jeune homme retira sa veste, laissant apparaître une chemise rouge, banale. Il mena ses chaussures à portée de sa main, cette dernière chassant la poussière qui recouvrait ses chaussures, les faisant devenir ainsi noirs. De sa poche droite, il tira un collier, orné d’une petite croix en argent. Qu’il porta à ses lèvres, où il murmura quelques paroles incompréhensibles. Puis, le chauve posa son regard vers l’homme à présent devant lui. Aucun doute, il ne s’agissait pas de son gaillard de d’habitude. Il était évident qu’il était même mort. Cependant, ile demande une explication. Ce qu’il n’eut évidemment pas. L’histoire se termina par une mort, bête et inutile comme d’habitude. Les morts, ce n’était pas une chose pour lui. Il trouvait cela tellement triste et ça fait toujours des histoires. Il n’est pas envoyé ici pour envoyer les gens devant Saint-Pierre, mais au contraire pour les dissuader et les faire comparaître devant lui le plus tard possible. Car il ne désespère pas d’ouvrir les yeux à quelques brebis.
Son ennemi ne se fit pas prier longtemps. A peine il vit le bout de on nez, qu’il ouvrit le feu. Edvard trouva refuge rapidement derrière un véhicule, se jetant tel un sac de pommes de terre. L’arme utilisée était un pistolet, moderne, crachant une salve de petits clous. Une arme conventionnelle, cependant plutôt limitée sur le principe. Et devenue un peu trop « classique ». Le pour-le-moment chauve se leva brusquement, ayant attendu une baisse de tension au niveau du tir de suppression qui lui était agréablement offert par son nouveau compagnon de jeu. Lui-même tira une balle, cependant les armes de cette époque étaient un peu moins fiables que maintenant. Et des balles, il fallait avouer qu’il en avait peu. Aussi, pour jouer un peu avec sa vie, et pour ne pas que Dieu l’oublie dans de pareils moment, et sachant qu’il ne pense jamais à recharger son barillet, ouvrit le compartiment. Hum… Trois balles. Sur Six. Autant y aller à fond. Il refermât ce même compartiment et lança le système de la roulette russe. Sa couverture semblait ne plus trop servir, Edvard n’entendait plus de coup de feu, alors qu’il faisait mumuse avec son barillet à moitié vide. Ou à moitié plein selon les mœurs. Son copain se trouvait sur sa droite, aussi eut-il à peine le temps d’esquiver et de se planquer derrière un mur, esquivant un peu les balles à la va vite. Les balles ricochaient, percutaient, sans jamais traverser. II attendait, patiemment son tour. Puis lorsqu’il n’entendait plus les balles ricocher contre la pierre, il sortait, appuyant sur la détente. Rien n’en sortit. Une deuxième fois, rien non plus. Décidemment, Dieu voulait qu’il meure le bougre. Il se planque de nouveau, l’autre avait disparu. De son air un peu benêt, il se pencha du mur dans lequel il trouvait refuge. Rien, pas un bruit. Derrière lui, un bruit en réalité. Une vitre qui se brise peut-être. Oui, c’est cela même. Tournant à 180°, réalisant un petit tour sur soit, il pu rapidement voir un forcené lui foncer dessus à travers des éclats de ver. Quel fut son étonnement, que de se retrouver à terre. L’homme brandissait un couteau de plus. Par pur réflexe, voyant cette arme blanche, Edvard porta son antiquité en direction de la main de l’homme, tirant à ce même endroit. Il faut croire que le tout-puissant était clément avec lui, les balles partirent, arrachant les doigts, les tendons, les veines, les phalanges. Sa pauvre main, avec seulement deux balles en fer tirées à quelques dizaines de centimètres ne ressemblait plus à grand-chose. La souffrance. Voilà ce que l’on pouvait lire sur son visage. Cette même souffrance, qu’un prêtre digne de ce nom devait faire disparaître. Même si cette fois, la douleur était purement physique. Edvard attrapa la tête de son ami de toujours, et lui servit une délicieuse salade de phalange, lui encastrant la mâchoire, lui pourrissant littéralement le visage, abattant ses poings sur sa sale trogne de mafieux. Son poing à lui était ensanglanté. Mais au moins, il ne l’emmerderait plus au moins, de cette manière.

L’homme gisait à terre, mort. Cela devait être douloureux. Il se releva, et jeta simplement son collier sur le visage de l’homme qu’il venait de tuer. La mort, il ne l’aimait vraiment pas. Cette saloperie visqueuse, froide et amère qui arrache les âmes. Pour le voyage de l’âme de cet homme, jusqu’en enfer sans nul doute, il prononça juste quelques mots. « Et que Dieu ait pitié de ton âme. » En gros, lui n’en avait strictement rien à carrer.

Sans nul doute, cela allait lui créer du tort. Sans doute…


Ah et pour info, ses cheveux ont repoussé, ils sont de nouveau doux et soyeux 8D /meurt/

Saint Ednoc, martyr de BBW.


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Esther E. Aldisio

Esther E. Aldisio

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MessageSujet: Re: "Un charpentier ? C'est quoi s't'histoire ?"   "Un charpentier ? C'est quoi s't'histoire ?" Icon_minitime1Sam 31 Juil - 13:24

ADMIN' EN GRÈVE ! ADMIN' EN GRÈVE !

...

Non, je plaisante.
En fait, là, je suis en vacances et je m'occupe de mes deux neveux (2 ans et 4 mois 8D) donc je suis vannée quand je rentre. Je m'occupe de ta fiche dès que je rentre T^T (c'est-à-dire mercredi au plus tard) ! Je suis vraiment désolée pour l'attente !
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MessageSujet: Re: "Un charpentier ? C'est quoi s't'histoire ?"   "Un charpentier ? C'est quoi s't'histoire ?" Icon_minitime1Sam 31 Juil - 22:34

C'est intolérable ! Vous êtes rien que des branleurs, si tous les admins faisaient comme vous, à chercher des excuses bidons en plus, pour ne pas valider les fiches et faire exprès pour que les membres meurent dans leur ennui crasseux, forumactif aurait sombré dans l'oubli et le néant originel.


Plus sérieusement, y'a pas de soucis, j'comprends très bien. En plus, en tant que femme, il est logique que tu n'ais pas une très grande endurance et que tu sois vite fatiguée.

Et réellement, y'a pas de soucis, je suis quelqu'un de patient et ma validation peut bien attendre quelque jours, je pense que je m'en remettrais assez rapidement. Après que mon corps se soit vidé de toutes ses larmes, de chagrin et de désuétude, bien entendu.
Merci quand même de donner des nouvelles, c'est rassurant au moins. x)
Bon courage avec tes neveux : o
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Amy Allesandreli

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MessageSujet: Re: "Un charpentier ? C'est quoi s't'histoire ?"   "Un charpentier ? C'est quoi s't'histoire ?" Icon_minitime1Dim 1 Aoû - 7:49

Bienvenue sur Infam Industry =3

Alors d'abord, désolée du retard, j'ai enfin pu me mettre à ta fiche.

J'ai bien aimé, et bien écoute, je ne vois pas ce qui pourrait retarder ta validation

~> Civile speranza

Amuse toi bien parmi nous =D
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MessageSujet: Re: "Un charpentier ? C'est quoi s't'histoire ?"   "Un charpentier ? C'est quoi s't'histoire ?" Icon_minitime1

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